Re : PICS DE TEUCHIO
Le retour de Porcin sur ces pages me fait chaud au cœur, tellement chaud que je pourrais chier porte ouverte dans son TEUCHIO par un petit matin grisâtre du début du mois de janvier
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Le retour de Porcin sur ces pages me fait chaud au cœur, tellement chaud que je pourrais chier porte ouverte dans son TEUCHIO par un petit matin grisâtre du début du mois de janvier
Mais pourquoi ?
C'est l'avenir.
L'avenir a tout de même un petit goût de TEUCHIO du début du siècle dernier. Souvenir du TEUCHIO de chez mes grands vieux qui était dehors parce qu'il n'avaient pas de TEUCHIO intérieur chez eux à l'époque, souvenirs aussi du pot de chambre qu'on balançait dans la rivière par la fenêtre.
Tu l'as déjà dis tout ça putain
Putain arrête de te droguer fdp ton cerveau il a des trous gros comme le cul de niarkette
Je réponds à ta connerie de TEUCHIO sec que c'est l'avenir l'oracle, pas de ma faute si tu m'obliges à me répéter
T'as pas lu les misérables Jim ?
Attends je te retrouve la ref, tu vas rêver caca sec ce soir.
Je réponds à ta connerie de TEUCHIO sec que c'est l'avenir l'oracle, pas de ma faute si tu m'obliges à me répéter
Toujours mieux que de sortir une phrase faussement philosophique Jimmy style : "le futur n'est qu'un lointain passé, tempus fugit merdicus est".
Ton avenir il a goût de passé pas très simple, perso j'ai déjà du mal avec la caisse du chat donc le TEUCHIO sec c'est un grand non, je veux chier dans l'eau potable moi bordel
Moi je pense que Niark refuse fe filer une pix de son teuch parce qu'il sait pertinemment qu'une fois que Nuage aura ce vide dans sa vie, ça va être la chute libre.
Merci pour ta dévotion à l'équilibre, Niark.
Moi je pense que Niark refuse fe filer une pix de son teuch parce qu'il sait pertinemment qu'une fois que Nuage aura ce vide dans sa vie, ça va être la chute libre.
Merci pour ta dévotion à l'équilibre, Niark.
Y a un peu de ca, je me sens responsable.
Et si je devais chier dehors dans le froid j'irai directement chier dans le compost afin de supprimer l'étape ou je vide le seau et je le nettoie. D'ailleurs vu l'endroit ou je vis, j'irai plus probablement directement chier dans les bois à un endroit différent chaque jour pour égayer le quotidien et ne pas tomber dans une sordide routine déshumanisante.
hohun a écrit:Moi je pense que Niark refuse fe filer une pix de son teuch parce qu'il sait pertinemment qu'une fois que Nuage aura ce vide dans sa vie, ça va être la chute libre.
Merci pour ta dévotion à l'équilibre, Niark.
Y a un peu de ca, je me sens responsable.
C'est vrai que si tu postes ton TEUCHIO, je risque d'être fort dépourvu ensuite. Qu'est-ce qu'il me restera après ça ? Vers quel but pourrais-je m'orienter ? Qu'est-ce qui pourra guider mon cœur et mon esprit vers la félicité ?
LA TERRE APPAUVRIE PAR LA MER
Paris jette par an vingt-cinq millions à l’eau. Et ceci sans métaphore. Comment, et de quelle façon ? jour et nuit. Dans quel but ? sans aucun but. Avec quelle pensée ? sans y penser. Pourquoi faire ? pour rien. Au moyen de quel organe ? au moyen de son intestin. Quel est son intestin ? c’est son égout.
Vingt-cinq millions, c’est le plus modéré des chiffres approximatifs que donnent les évaluations de la science spéciale.
La science, après avoir longtemps tâtonné, sait aujourd’hui que le plus fécondant et le plus efficace des engrais, c’est l’engrais humain. Les Chinois, disons-le à notre honte, le savaient avant nous. Pas un paysan chinois, c’est Eckeberg qui le dit, ne va à la ville sans rapporter, aux deux extrémités de son bambou, deux seaux pleins de ce que nous nommons immondices. Grâce à l’engrais humain, la terre en Chine est encore aussi jeune qu’au temps d’Abraham. Le froment chinois rend jusqu’à cent vingt fois la semence. Il n’est aucun guano comparable en fertilité au détritus d’une capitale. Une grande ville est le plus puissant des stercoraires. Employer la ville à fumer la plaine, ce serait une réussite certaine. Si notre or est fumier, en revanche, notre fumier est or.
Que fait-on de cet or fumier ? On le balaye à l’abîme.
On expédie à grands frais des convois de navires afin de récolter au pôle austral la fiente des pétrels et des pingouins, et l’incalculable élément d’opulence qu’on a sous la main, on l’envoie à la mer. Tout l’engrais humain et animal que le monde perd, rendu à la terre au lieu d’être jeté à l’eau, suffirait à nourrir le monde.
Ces tas d’ordures du coin des bornes, ces tombereaux de boue cahotés la nuit dans les rues, ces affreux tonneaux de la voirie, ces fétides écoulements de fange souterraine que le pavé vous cache, savez-vous ce que c’est ? C’est de la prairie en fleur, c’est de l’herbe verte, c’est du serpolet et du thym et de la sauge, c’est du gibier, c’est du bétail, c’est le mugissement satisfait des grands bœufs le soir, c’est du foin parfumé, c’est du blé doré, c’est du pain sur votre table, c’est du sang chaud dans vos veines, c’est de la santé, c’est de la joie, c’est de la vie. Ainsi le veut cette création mystérieuse qui est la transformation sur la terre et la transfiguration dans le ciel.
Rendez cela au grand creuset ; votre abondance en sortira. La nutrition des plaines fait la nourriture des hommes.
Vous êtes maîtres de perdre cette richesse, et de me trouver ridicule par-dessus le marché. Ce sera là le chef-d’œuvre de votre ignorance.
La statistique a calculé que la France à elle seule fait tous les ans à l’Atlantique par la bouche de ses rivières un versement d’un demi-milliard. Notez ceci : avec ces cinq cents millions on payerait le quart des dépenses du budget. L’habileté de l’homme est telle qu’il aime mieux se débarrasser de ces cinq cents millions dans le ruisseau. C’est la substance même du peuple qu’emportent, ici goutte à goutte, là à flots, le misérable vomissement de nos égouts dans les fleuves et le gigantesque vomissement de nos fleuves dans l’océan. Chaque hoquet de nos cloaques nous coûte mille francs. À cela deux résultats : la terre appauvrie et l’eau empestée. La faim sortant du sillon et la maladie sortant du fleuve.
Il est notoire, par exemple, qu’à cette heure, la Tamise empoisonne Londres.
Pour ce qui est de Paris, on a dû, dans ces derniers temps, transporter la plupart des embouchures d’égouts en aval au-dessous du dernier pont.
Un double appareil tubulaire, pourvu de soupapes et d’écluses de chasse, aspirant et refoulant, un système de drainage élémentaire, simple comme le poumon de l’homme, et qui est déjà en pleine fonction dans plusieurs communes d’Angleterre, suffirait pour amener dans nos villes l’eau pure des champs et pour renvoyer dans nos champs l’eau riche des villes, et ce facile va-et-vient, le plus simple du monde, retiendrait chez nous les cinq cents millions jetés dehors. On pense à autre chose.
Le procédé actuel fait le mal en voulant faire le bien. L’intention est bonne, le résultat est triste. On croit expurger la ville, on étiole la population. Un égout est un malentendu. Quand partout le drainage, avec sa fonction double, restituant ce qu’il prend, aura remplacé l’égout, simple lavage appauvrissant, alors, ceci étant combiné avec les données d’une économie sociale nouvelle, le produit de la terre sera décuplé, et le problème de la misère sera singulièrement atténué. Ajoutez la suppression des parasitismes, il sera résolu.
En attendant, la richesse publique s’en va à la rivière, et le coulage a lieu. Coulage est le mot. L’Europe se ruine de la sorte par épuisement.
Quant à la France, nous venons de dire son chiffre. Or, Paris contenant le vingt-cinquième de la population française totale, et le guano parisien étant le plus riche de tous, on reste au-dessous de la vérité en évaluant à vingt-cinq millions la part de perte de Paris dans le demi-milliard que la France refuse annuellement. Ces vingt-cinq millions, employés en assistance et en jouissance, doubleraient la splendeur de Paris. La ville les dépense en cloaques. De sorte qu’on peut dire que la grande prodigalité de Paris, sa fête merveilleuse, sa folie Beaujon, son orgie, son ruissellement d’or à pleines mains, son faste, son luxe, sa magnificence, c’est son égout.
C’est de cette façon que, dans la cécité d’une mauvaise économie politique, on noie et on laisse aller à vau-l’eau et se perdre dans les gouffres le bien-être de tous. Il devrait y avoir des filets de Saint-Cloud pour la fortune publique.
Économiquement, le fait peut se résumer ainsi : Paris panier percé.
Paris, cette cité modèle, ce patron des capitales bien faites dont chaque peuple tâche d’avoir une copie, cette métropole de l’idéal, cette patrie auguste de l’initiative, de l’impulsion et de l’essai, ce centre et ce lieu des esprits, cette ville nation, cette ruche de l’avenir, ce composé merveilleux de Babylone et de Corinthe, ferait, au point de vue que nous venons de signaler, hausser les épaules à un paysan du Fo-Kian.
Imitez Paris, vous vous ruinerez.
Au reste, particulièrement en ce gaspillage immémorial et insensé, Paris lui-même imite.
Ces surprenantes inepties ne sont pas nouvelles ; ce n’est point là de la sottise jeune. Les anciens agissaient comme les modernes. « Les cloaques de Rome, dit Liebig, ont absorbé tout le bien-être du paysan romain. » Quand la campagne de Rome fut ruinée par l’égout romain, Rome épuisa l’Italie, et quand elle eut mis l’Italie dans son cloaque, elle y versa la Sicile, puis la Sardaigne, puis l’Afrique. L’égout de Rome a engouffré le monde. Ce cloaque offrait son engloutissement à la cité et à l’univers. Urbi et orbi. Ville éternelle, égout insondable.
Pour ces choses-là comme pour d’autres, Rome donne l’exemple.
Cet exemple, Paris le suit, avec toute la bêtise propre aux villes d’esprit.
Pour les besoins de l’opération sur laquelle nous venons de nous expliquer, Paris a sous lui un autre Paris ; un Paris d’égouts ; lequel a ses rues, ses carrefours, ses places, ses impasses, ses artères, et sa circulation, qui est de la fange, avec la forme humaine de moins.
Car il ne faut rien flatter, pas même un grand peuple ; là où il y a tout, il y a l’ignominie à côté de la sublimité ; et, si Paris contient Athènes, la ville de lumière, Tyr, la ville de puissance, Sparte, la ville de vertu, Ninive, la ville de prodige, il contient aussi Lutèce, la ville de boue.
D’ailleurs le cachet de sa puissance est là aussi, et la titanique sentine de Paris réalise, parmi les monuments, cet idéal étrange réalisé dans l’humanité par quelques hommes
Et surtout, à qui pourrais-je ensuite réclamer en permanence une PIX DU TEUCHIO ?
LA TERRE APPAUVRIE PAR LA MER
Paris jette par an vingt-cinq millions à l’eau. Et ceci sans métaphore. Comment, et de quelle façon ? jour et nuit. Dans quel but ? sans aucun but. Avec quelle pensée ? sans y penser. Pourquoi faire ? pour rien. Au moyen de quel organe ? au moyen de son intestin. Quel est son intestin ? c’est son égout.
Vingt-cinq millions, c’est le plus modéré des chiffres approximatifs que donnent les évaluations de la science spéciale.
La science, après avoir longtemps tâtonné, sait aujourd’hui que le plus fécondant et le plus efficace des engrais, c’est l’engrais humain. Les Chinois, disons-le à notre honte, le savaient avant nous. Pas un paysan chinois, c’est Eckeberg qui le dit, ne va à la ville sans rapporter, aux deux extrémités de son bambou, deux seaux pleins de ce que nous nommons immondices. Grâce à l’engrais humain, la terre en Chine est encore aussi jeune qu’au temps d’Abraham. Le froment chinois rend jusqu’à cent vingt fois la semence. Il n’est aucun guano comparable en fertilité au détritus d’une capitale. Une grande ville est le plus puissant des stercoraires. Employer la ville à fumer la plaine, ce serait une réussite certaine. Si notre or est fumier, en revanche, notre fumier est or.
Que fait-on de cet or fumier ? On le balaye à l’abîme.
On expédie à grands frais des convois de navires afin de récolter au pôle austral la fiente des pétrels et des pingouins, et l’incalculable élément d’opulence qu’on a sous la main, on l’envoie à la mer. Tout l’engrais humain et animal que le monde perd, rendu à la terre au lieu d’être jeté à l’eau, suffirait à nourrir le monde.
Ces tas d’ordures du coin des bornes, ces tombereaux de boue cahotés la nuit dans les rues, ces affreux tonneaux de la voirie, ces fétides écoulements de fange souterraine que le pavé vous cache, savez-vous ce que c’est ? C’est de la prairie en fleur, c’est de l’herbe verte, c’est du serpolet et du thym et de la sauge, c’est du gibier, c’est du bétail, c’est le mugissement satisfait des grands bœufs le soir, c’est du foin parfumé, c’est du blé doré, c’est du pain sur votre table, c’est du sang chaud dans vos veines, c’est de la santé, c’est de la joie, c’est de la vie. Ainsi le veut cette création mystérieuse qui est la transformation sur la terre et la transfiguration dans le ciel.
Rendez cela au grand creuset ; votre abondance en sortira. La nutrition des plaines fait la nourriture des hommes.
Vous êtes maîtres de perdre cette richesse, et de me trouver ridicule par-dessus le marché. Ce sera là le chef-d’œuvre de votre ignorance.
La statistique a calculé que la France à elle seule fait tous les ans à l’Atlantique par la bouche de ses rivières un versement d’un demi-milliard. Notez ceci : avec ces cinq cents millions on payerait le quart des dépenses du budget. L’habileté de l’homme est telle qu’il aime mieux se débarrasser de ces cinq cents millions dans le ruisseau. C’est la substance même du peuple qu’emportent, ici goutte à goutte, là à flots, le misérable vomissement de nos égouts dans les fleuves et le gigantesque vomissement de nos fleuves dans l’océan. Chaque hoquet de nos cloaques nous coûte mille francs. À cela deux résultats : la terre appauvrie et l’eau empestée. La faim sortant du sillon et la maladie sortant du fleuve.
Il est notoire, par exemple, qu’à cette heure, la Tamise empoisonne Londres.
Pour ce qui est de Paris, on a dû, dans ces derniers temps, transporter la plupart des embouchures d’égouts en aval au-dessous du dernier pont.
Un double appareil tubulaire, pourvu de soupapes et d’écluses de chasse, aspirant et refoulant, un système de drainage élémentaire, simple comme le poumon de l’homme, et qui est déjà en pleine fonction dans plusieurs communes d’Angleterre, suffirait pour amener dans nos villes l’eau pure des champs et pour renvoyer dans nos champs l’eau riche des villes, et ce facile va-et-vient, le plus simple du monde, retiendrait chez nous les cinq cents millions jetés dehors. On pense à autre chose.
Le procédé actuel fait le mal en voulant faire le bien. L’intention est bonne, le résultat est triste. On croit expurger la ville, on étiole la population. Un égout est un malentendu. Quand partout le drainage, avec sa fonction double, restituant ce qu’il prend, aura remplacé l’égout, simple lavage appauvrissant, alors, ceci étant combiné avec les données d’une économie sociale nouvelle, le produit de la terre sera décuplé, et le problème de la misère sera singulièrement atténué. Ajoutez la suppression des parasitismes, il sera résolu.
En attendant, la richesse publique s’en va à la rivière, et le coulage a lieu. Coulage est le mot. L’Europe se ruine de la sorte par épuisement.
Quant à la France, nous venons de dire son chiffre. Or, Paris contenant le vingt-cinquième de la population française totale, et le guano parisien étant le plus riche de tous, on reste au-dessous de la vérité en évaluant à vingt-cinq millions la part de perte de Paris dans le demi-milliard que la France refuse annuellement. Ces vingt-cinq millions, employés en assistance et en jouissance, doubleraient la splendeur de Paris. La ville les dépense en cloaques. De sorte qu’on peut dire que la grande prodigalité de Paris, sa fête merveilleuse, sa folie Beaujon, son orgie, son ruissellement d’or à pleines mains, son faste, son luxe, sa magnificence, c’est son égout.
C’est de cette façon que, dans la cécité d’une mauvaise économie politique, on noie et on laisse aller à vau-l’eau et se perdre dans les gouffres le bien-être de tous. Il devrait y avoir des filets de Saint-Cloud pour la fortune publique.
Économiquement, le fait peut se résumer ainsi : Paris panier percé.
Paris, cette cité modèle, ce patron des capitales bien faites dont chaque peuple tâche d’avoir une copie, cette métropole de l’idéal, cette patrie auguste de l’initiative, de l’impulsion et de l’essai, ce centre et ce lieu des esprits, cette ville nation, cette ruche de l’avenir, ce composé merveilleux de Babylone et de Corinthe, ferait, au point de vue que nous venons de signaler, hausser les épaules à un paysan du Fo-Kian.
Imitez Paris, vous vous ruinerez.
Au reste, particulièrement en ce gaspillage immémorial et insensé, Paris lui-même imite.
Ces surprenantes inepties ne sont pas nouvelles ; ce n’est point là de la sottise jeune. Les anciens agissaient comme les modernes. « Les cloaques de Rome, dit Liebig, ont absorbé tout le bien-être du paysan romain. » Quand la campagne de Rome fut ruinée par l’égout romain, Rome épuisa l’Italie, et quand elle eut mis l’Italie dans son cloaque, elle y versa la Sicile, puis la Sardaigne, puis l’Afrique. L’égout de Rome a engouffré le monde. Ce cloaque offrait son engloutissement à la cité et à l’univers. Urbi et orbi. Ville éternelle, égout insondable.
Pour ces choses-là comme pour d’autres, Rome donne l’exemple.
Cet exemple, Paris le suit, avec toute la bêtise propre aux villes d’esprit.
Pour les besoins de l’opération sur laquelle nous venons de nous expliquer, Paris a sous lui un autre Paris ; un Paris d’égouts ; lequel a ses rues, ses carrefours, ses places, ses impasses, ses artères, et sa circulation, qui est de la fange, avec la forme humaine de moins.
Car il ne faut rien flatter, pas même un grand peuple ; là où il y a tout, il y a l’ignominie à côté de la sublimité ; et, si Paris contient Athènes, la ville de lumière, Tyr, la ville de puissance, Sparte, la ville de vertu, Ninive, la ville de prodige, il contient aussi Lutèce, la ville de boue.
D’ailleurs le cachet de sa puissance est là aussi, et la titanique sentine de Paris réalise, parmi les monuments, cet idéal étrange réalisé dans l’humanité par quelques hommes
Je suis l'heureux possesseur d'une fosse dite sceptique qui fertilise mon jardin au moyen de drains et transforme la merde en petites fleurs des champs tout en m'évitant la corvée de TEUCHIO et la gestion du compost qui est chez moi; je dois bien l'admettre, désastreuse.
Lutèce, la ville de merde
Le texte aurait du finir comme ça.
Bon, un teuchio sec à la fois, on va sauver la mer. Souvenir de la conférence gesticulée sur les teuchios secs et la conclusion de l'échec de leur projet. Mais on y croit !
Question tèche nique ta mère : ça a l'air chiant pour le vider ton truc, une fois de plus ça ressemble à un « seau » que tu dois sortir par derrière. Même pas une brouette, un truc déjà sur roue, enfin je veux dire quelque chose de pratique, d'ingénieux (comme dans ingénieur).
Bravo pour ton talent en menuiserie, on doit être au même niveau, soit proche du zéro.
Bordel il va meme à des conférences de chiottes, quel expert intégral, ça force le respect.
Même pas besoin de te déplacer.
https://www.youtube.com/watch?v=Iv5QUkJ2aU0
Mais on y croit !
T'as pas besoin de croire, juste a chier dedans en fait
Ouais, je ne doute pas de tout ce que tu nous vends comme rêve. Et perso, j'aurai rien contre ce genre de chiotte à la campagne. Je me foutais de la gueule des arguments canardesque de Porcin. Son chiotte sec en pleine campagne parce que Paris tue la mer.
Je crois que faut pas le lire au 1er degré Porcin, enfin je crois la dernière fois il a dit qu'à la place d'un père de famille il m'aurait étranglé de ses propres mains.
N'importe quel père de famille aimant aurait fait pareil Rhum
L'autre il sait mieux qu'un père de famille ce qu'il aurait fait, il n'a même pas de gamin. Champion !
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