Re : Votre pire cuite
ce soir, 4 litre de binouz, une bagare évité, une guele de bois pour demian, bonne nuit.
J'adore me branler sur le visage d'une jeune pucelle, et lui fouillez le cul avec ma langue
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ce soir, 4 litre de binouz, une bagare évité, une guele de bois pour demian, bonne nuit.
Toujours trop bouré pour faire apel a ma mémoire...
[trucs pas chouettes]
Je démens toute responsabilité dans les cuites 2 et 3.
Bordel, on en a fait des trucs cette année.
Allez, à mon tour :
Cuite 1 : L'année passée, dans les landes, vacances avec moults potes. Fumage + buvage tous les soirs, avec des soirs plus égaux que d'autres. Je vais poser les bases : nous nous levions vers 17-18h, on commencait par un pétard, puis le déjeuner&binouzes. Le Rythme étant de 100 bières/jour à 4, nous sommes rapidement passé à la koenig pour des raisons évidentes de budget (puis blanc limé et vin-coca -tiens donc- pour les débuts de soirées). Soirée sur la plage avec drogue et alcool à foison jusqu'à 7-8h du matin, tout ca, pendant 2 joyeuses semaines. Exemple, le premier vendredi, je rentre de la plage pieds nus (après s'être baigné et caché la chaise des sauveteurs) et je marche sur une teille de vodka cassée, il pleut. J'ai mis 5 minutes pour m'apercevoir que sur les 200 derniers mettres, il y avait de magnifiques empreintes de mon pied droit en sang dilué, même Quentin T. n'aurait osé en mettre autant. Arrivé devant le camping, obligé d'aller voir les vigiles avec qui on s'était embrouillé en sortant en chantant à 2h00 du mat', dialogue :
"-Grumphhh, pied ! saigne, désinfectant ?
-Non. *rires*
[les pourris, on se barre]
-Si si, on en a, attendez"
Là, ils regardent, et ils appellent les pompier (les cons). Les pompiers arrivent, comme zorro (sans se presser).
mon pote :"Il a peut être consommé des drogues, je sais pas si ca gene...." (putain, le con).
Les pompiers ésinfectent, mettent un pensement et se cassent. On rentre, il pleut, je suis bourré, ca fait une heure et demi que j'ai le pied percé, ca y est, j'ai mal.
Je vous passe le lendemain, les 4 points de sutures par un médecin qui t'explique que t'arrive 8 heures trop tard, qu'elle sait pas recoudre un bouton, qu'elle désinfecte à l'iode (aïe, connasse), qu'elle me transperce le pied pour me demander si c'était déjà anesthésier (ca l'était pas), qui tord son aiguille mais la change pas, et qui fait le dernier point sur une zone visiblement pas endormie.
2ème : Toujours au même endroit. Etat d'ébriété légerement plus avncé que la fois précédente, on raccompagne des jeunes filles chez elles, un pote va chier dans les bois, il se torche avec sa chemise, et revient torse nu... UNe des demoiselles lui prête gentiement une nuisette (wtf ?). Sur le retour, on croise une cabine, raisonnement de bourré :
"-Dire qu'il y a des connards qui casse ces trucs
-Ouaip, sont vraiment trop con !
-...
-...
-N'empêche, ca doit être jouissif !
-...
-On essaie ?
-OUAIS §§"
Résultat, ca casse pas, sauf le combiné quand on essaie de péter le plexi. Nous voilà reparti avec en plus un demi combiné de téléphone (que je fais voir à tout le monde bien entendu, du style : "tiens, c'est pour toi"). On rencontre des potes, la folie destructrices ne nous a pas quittée, on enlève tous les panneaux du chemin (on surfe même sur le dernier). Là, L'ERREUR de la soirée, on balance le panneau dans le camping... sur une tente visiblement, ca gueule, on court. On se fait choper par les vigiles (de vrais cow-boys là bas, c'est fou !). On s'assied en rond, j'arrive miraculeusement à jeter mon demi-combiné (mais comment y ai-je pensé ?), ils cherchent ce qu'il s'est passé. Ils veulent nous mettre un tag sur le dos, peinture soit disant fraiche et argentée. Ils appellent les flics, discussions pendant deux heures, on leur dit de regarder nos mains s'ils nous croient pas, ils nous laisse partir (comme de par hasard, personne n'est majeur, et personne n'a sa carte d'identité -hum..., nous avions entre 17 et 25 ans-). On a échapé miraculeusement à la fouille (et heureusement), on rentre, je regarde mes mains, toutes brillantes et argentées, WTF ? J'en ai déduis que c'étit probablement les panneaux.
Bon, voilà, je vous raconte que des cuites où c'est ce qui arrive une fois bourré qui est drôle.... Passons à la suite.
Cuite 3 : Voyage scolaire... ON est 4 dans la chambre, 5 bouteilles de liqueur, ca va, on va tiendre. Onn fait notre soirée, une fois terminée (ou presque), on est plus que deux debout, cool, on s'acheve un TGVRW (tequila, gin, vodka, rhum, whiski) un verre en plastique (genre gobelet) cul sec. Je me souviens de la minute qui suit (je me suis essuyer le visage, posé sur mon lit, péter une latte et virer mon matelat pour la remettre, ca s'arrête là, et la remise de latte est resté à l'état de projet), il est 4h du matin, je m'endors. Il est 7h, je me réveille, du vomi partout, sol, lit, sac de voyage... Je me douche et vais là où il le faut pour prendre le bus. J'ai le droit à des réflexions : "Ah, putain, t'es pas blanc, t'es vert !". Bus, routes de montagnes, j'ai vomi partout, ca a commencé à aller mieux vers 21h, j'ai pu remettre ca.
Cuite 4 : Bizutage section d'assaut (SA), vin coca, 19 culs secs (dans des vrais verres MOI ), je suis bourré, l'acidité brule l'estomac, je m'endors à moitié, dis de la merde. On me dégage du lit (chambre étudiante, on était 4), je dors par terre (d'aucuns dirait dans ma bassine), je m'en fous, j'ai vomi que par la fenêtre (d'ailleurs, la 5e et derniere fois, personne n'a compris comment j'ai pu ouvrir cette fenêtre, même bourré, je suis classe). Et finalement, j'arrive pas à dormir, cool, ca m'a permi d'entendre les deux sur le lit faire des trucs... pas glop, on était 4.
On pourrait aussi dire qu'à l'image de choobaka, j'étais dans l'Erdre ce fameux soir, mais point trop n'en faut.
L'année dernière j'ai passé une bonne vingtaine de minutes à caresser un coussin comme si c'était un chat, et après j'ai fait des déclarations d'amours à toutes les filles présentes. Cela dit j'en suis pas sûre sûre, c'est des trucs qu'on m'a raconté le lendemain.
Tu l'as fait exprès, ou je suis le roi des calembours ?
Tu es le roi des calembours.
Je te remercie, t'es pas mal non plus.
Enfin... ou pas.
17 ans.
Soirée un peu trash (du genre qui se finit soit chez les flics, soit à l'hosto).
Moi pas trop l'habitude, je me siffle un peu de tout très vite et à un moment je zappe complet.
Je "reviens" à moi avec un trou de deux heures dans la soirée, une bière à la main, assis sur un banc, impec le gars.
Troublé par cette faille spatio temporelle, je me lance dans une grosse introspection, petit à petit le reseau neuronale redémarre et j'aime pas les infos que je reçois.
UnBBrRRrrZZzz 00011100100100011.
Idaho v0.4 Beta
Restart.
Wait..............................
......................................
System check
Cerveau [fault] [statut normal]
Nez [fault] [douleurs]
Mains [fault] [douleurs]
Jambes [fault] [reste assis]
Sex [fault] [c'est pas ce soir que tu vas le sortir connard]
Bon ok, j'ai mal partout et y'a du sang sur mes fringues. Et je sais même pas comment j'en suis arrivé là.
Après une petite enquête, on m'aurait vue sortir avec un type et on m'aurait finalement retrouvé en train de latter les cotes du mec en question...
Enfin ça c'était après que je lui ais pété le nez.
La pour moi c'est la grosse angoisse, je me bats jamais et j'ai horreur de ça, en plus je suis pas du genre costaud. Je suis plutot du genres très cool à me marrer quand on m'insulte, mais là j'ai envoyé un mec à l'hosto et je sais pas pourquoi.
Et bien sur personne n'a jamais put me dire qui était le mec qu'on a bien sur jamais revu.
Ce qui me lourde le plus, c'est que j'ai jamais eu le moindre commencement de début de souvenirs, nada. J'ai jamais réussi à savoir comment j'avais réussi à me retrouver dans ce genre de situations de merde. On pourrait tuer un mec comme ça, sans même savoir pourquoi. C'est flippant.
Et je vous parle pas de la tronche de bois qui allait avec la cuite en question, une horreur.
Depuis, toutes mes cuites, c'est que du bonheur.
Donc, c'était toi. Je vais te tuer, je suis rester 3 mois a l'hosto...
C'est marrant, il m'est arrivé la même chose récemment, sauf que j'étais à peu près conscient, que le mec qui s'est fait éclater la tronche avait éclaté une porte vitrée, un pack de keonigs ainsi qu'un bloc de boites aux lettres avant de perdre son nez, et qu'il a fini en GAV et moi à payer mon cul pour rentrer gratos en soirée étudiante.
Ou tu t'es vautré comme une merde et tes postes te font marcher depuis.
Parce que le mec qui se bat jamais et qui en envoit un autre à l'hosto à 3 grammes...
Je me suis longtemps posé la question. Même que je trouvais cette solution plus simple.
Le soucis c'est que ça a jamais fait rire mes potes cette histoire.
Et pourtant dans le genre débiles ils se posaient là à l'époque.
13 ans après, j'en vois plus qu'un et ça le fait toujours pas marrer quand il m'en reparle à la fin d'une soirée bien arrosé.
Doute donc.
(le Marquis, trois mois pour un tarrin et éventuellement deux ou trois flottantes félées, tu pousses un peut je mérite pas de mourir pour ça. Pour d'autres trucs éventuellement, mais pas pour ça).
..et à la fin, j'ai vomi, mais je ne me souviens plus trop.
Franchement, je peux pas trop savoir quelle cuite était la meilleur, vu qu'on se souvient jamais de ce qu'on a fait pendant celles-ci.
Moi c'était l'année de mes 18 ans, pour fêter la fin des épreuves du bac. Avec des potes ont est aller skatter un champ, allumer un feu et commencer a boire.
J'avait pas trop l'habitude de boire et j'ai direct enchainer les verres de vodka citron et de sky, au bout de 4/5 je commencais un peu a me sentir mal mais comme jétais posé dans une chaise ça allait. Et là un de mes potes commence à rouler un joint, et moi deja presque dead j'arrete pas de gueuler " Laisse moi tirer ptin .." exceder il me le passe, je tire 3 lattes jlui rend et là ma chaise bascule en ariére, 30 min de black out ou j'entend plus que des sons lointain. Aprés je me "reveil " j'ai envis de pisser , je me leve commence a bouger, je retombe et je lache une belle gallette.
Je fini par m'endormir comme une merde au milieu du champ avec mes potes qui se foutaient de ma gueule.
Bref depuis j'ai appris a boire et ce genre de trip m'arrive presque plus.
La première. (houlala)
L'une des pires, que j'ai bien aimée parce que ç'a été la nuit la plus courte de ma vie:
"- Allez les gars, j'ai ramené des trucs d'Espagne, ce soir c'est absinthe !
- Ouaiiiis !
- Oh ben on est pas des tapettes, on boit sec !
- Ouaiiiis !"
Résultat, je me suis réveillé 12h plus tard dans le lit d'un pote avec une nana inconnue à côté de moi. On avait tous les deux des crampes à la langue. Un copain dormait par terre devant le lit, couché sur une pizza à demi mangée, le distributeur de pizza d'en face était couvert de gerbe, et le sol de tout l'appart et sur une bonne partie du trottoir d'en bas était recouvert de miettes de chips. Enfin, pratiquement tous les murs de l'étage étaient couverts de traces de pas.
...On n'a jamais su ce qui s'était vraiment passé.
Et la nana, elle était bien au moins ?
C'est pas la pire, mais...
Pas plus loin que jeudi soir. Je m'étais pas couché à moins d'une heure du mate de toute la semaine, et moults activités sportives ponctuaient (et ponctuent encore) mes journées. Tout ça pour dire que quand je suis arrivé, j'étais déjà crevé. Ah oui, et j'avais bu quelques bières à l'apéro chez moi. Aussi.
Bref. On attaque gentiment, avec des gâteaux apéro, tout ça, et des bières. Ah. La Sainte-Bière. Foutredieu. Je m'en enfile cinq-six en moins d'une heure (de la bière bien dégueu, qui plus est), avant d'aller manger... du cassoulet et de la tartiflette. Et des steaks hachés quasi-crus (Bernard Loiseau n'était pas des nôtres... Heureusement, il y a le surgelé). Et des bières.
Autant vous dire que des mélanges comme ça, c'est pas bon. On mange, on boit, on retourne au salon, et les choses sérieuses commencent.
Je suis tout seul à boire à grandes quantités. Mais personne me freine. Dommage. Pour eux, notez.
J'enchaîne bière sur bière, puis viennent les... merde, comment ça s'appelle ? Bon, on va dire les "packs" de rosés. Des litres et des litres sous carton. On s'allonge dessous, et on boit, et glou et glou. Eh, putain.
Pour tout vous dire, à la fin, je me finissais avec des gobelets remplis à ras bord de whisky pur.
Et puis, à partir de là, je crois que le cassoulet est intervenu. Seulement le cassoulet, hein. Rien d'autre.
À partir de là, je commençais à parler tout seul aux chiottes, et je regardais à chaque passage que j'y faisais (et putain, ils ont été nombreux ce soir-là) mon visage se dégrader peu à peu. Par contre, j'arrivais à soutenir une conversation normale avec des gens normaux. Comprenez, ceux qui n'étaient pas dans mon état, quoi. C'est-à-dire tous.
Durant cette soirée, j'ai ainsi traduit des textes en anglais (ne me demandez pas pourquoi), et j'ai réussi à imposer mon avis sur un débat dont le sujet m'échappe. Enfin.
Quand je sens que j'ai besoin d'un Bio... pardon, d'un Activia, que ça va pas à l'intérieur, avec le stress des exams, et tout, je sors. Et je gerbe tout ce que je peux. Jusqu'à ce que la soirée se termine.
Après, je me fais reconduire chez moi, je prends un saladier, et je me pieute. Non sans m'être préalablement fait gerber pendant une demi-heure aux chiottes. Je suis propre, moi. Même que j'ai trouvé le moyen de tout bien nettoyer avec la brosse qui sert jamais à rien. C'est là que j'ai compris que si mes parents l'avaient acheté, c'est qu'ils devaient faire la fête beaucoup aussi, et s'en mettre des bonnes. Ouais, en fait, non.
Ce que j'ai conclu le lendemain, en me réveillant dans ma gerbe, c'est que j'avais du vomir dans le saladier, avant de le renverser en m'endormant dessus. Ou alors que j'avais pas vomi dans le saladier, tout simplement.
Ou alors que le voisin est venu gerber dans mon lit. Je sais plus.
Conclusion : fermez votre maison aux voisins la nuit, et achetez une brosse pour les chiottes. Ça sert. Des fois.
Et la nana, elle était bien au moins ?
Jolie, sympa, déjantée juste comme il faut.
...En fait, elle s'est fiancée il y a quelques semaines avec un très bon pote.
Des fois, c'est con la vie.
Suis complétement bouréK...j'arrive a rien...bvai gerber...dlormir
L'année dernière, en vacances en espagne, premier, jour super cuite.
Je danse avec une fille qui passe ses vacances dans le même appart que nous, je suis complètement pété, je cligne des yeux, sa langue cherche mes amygdales, étrange....
Je recligne des yeux, cette fois-ci c'est ma langue qui s'y met, elle cherche un truc dans son foufouyon, quoi ? je ne sais pas, donc je la laisse chercher encore. Ma tête tourne, je suis en caleçon dans la rue en train de demander une capote dans toute les langues, même certaines qui n'existent qu'une fois le cap dees 5 grammes franchi. Une fois mon trophée de latex en poche, je franchi la porte de l'immeuble tant bien que mal en l'ouvrant avec ma tête, me retrouve téléporté dans la demoiselle, puis s'ensuis une partie de sexe torride et chaotique, à coup de vas-y que je te prend par devant mais que je croyais que c'était l'arrière. La demoiselle est fatigué, moi dur comme un rock, je me retire, vais prendre ma douche, puis je me couche dans une autre pieux, le lendemain je me lève, la regarde, et me rend compte qu'une cagoule lui irait très bien pour l'été....
AHHA je m'en rappelle, qu'est ce qu'elle était moche. Mais sa copine, qu'est ce qu'elle est devenue, tu as pu sortir avec elle en fin de compte?
Mouais non.. Me suis fait avoir sur ce coup, par contre en ce moment je bosse à l'usine, il y a des étudiantes mignonne, avant hier je me suis coupé le doigt et yen a une qui m'a touché le doigt quand je me suis mis un pansement, c'est un signe j'vous dit, c'est un signe !
Putain pareil pour moi, il y a une petite élève ingénieur super mignonne (attention, j'ai pas dit qu'elle était bonne, en plus elle a les bras poilus, mais elle est super jolie et gentille quand même), j'ai tellement la méga gaule que j'arrive à porter mes paniers de 7 kg de silicium pur sans les mains.
Ca aurait pu te suivre toute ta vie Ridicule, tu t'en es bien sorti.
Mouais, c'est surtout que je n'ai plus de contact avec les gens au courant de cette affaire
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