Sujet : 1408
C'est un écrivain qui rédige des best-sellers sur les hôtels hantés sans y croire. Il apprend qu’il ne faut surtout pas dormir dans la chambre 1408 d’un hôtel New-Yorkais. Samuel L. Jackson, le manager, fait très bien semblant de l’en dissuader pour le pousser à y aller, ce qui démontre bien la méchanceté gratuite des noirs (assimilés ici au diable) tout en lui précisant que personne ne reste vivant plus d’une heure dans cette chambre condmanée (oui car il y a eu 50 morts dedans).
Notre valeureux homme s'installe donc et très vite la télé s’allume toute seule, les fantômes traversent les pièces et le radio-réveil devient un compte à rebours de 60 minutes, puis la chambre devient seule au monde comme dans Cube.
Petit problème, on se demande bien vite si tout ça est vrai et donc ça fait pas vraiment peur. A un moment on essaye de nous faire croire que le gentil héro a rêvé tout ça pendant accident de surf. Mais en fait non, alors du coup l’écrivain revoit sa fille décédée quelques années auparavant puis arrive à sortir de la chambre en foutant le feu, ce qui fera sourire le manager mi-noir/mi-diable et re-mi-noir derrière qui est finalement beau-joueur tout en restant un enculé qui facture 12$ un sachet de cacahouètes. Du coup l'écrivain se remet avec sa femme et découvre que tout était vrai.
Ce film étant une adaptation d’une nouvelle de Stephen King, j’ai comme le sentiment diffu que le scénariste n’a pas du bien comprendre l’histoire, comme en son temps le surestimé Kubbrick avec Shinning. En fait on voit pas trop où cette connasse de chambre veut en venir à part forcer mollement le mec à se tuer.
John Cusack joue pas mal, ce qui est plutôt bien vu qu'il est quasiment seul tout le film.
Ca sort en 2008 en France, certainement pour permettre de pirater le dvd ricain afin de ne pas aller le voir au ciné.