26 Dernière modification par Antipathique. (18-06-2020 14:21:37)

Re : Dé-confinement et révolution française

Faut aussi comparer ce qui est comparable : les infirmiers, le climats, les services publics, ça coute des milliards, laisser les flics étrangler deux trois auvergnats par an, c'est pas cher.

Quand tu parles à un grand porte feuille, c'est la ligne en bas à droite qui compte.



Je ne suis pas Niark²

Re : Dé-confinement et révolution française

Antipathique. a écrit:

Faut aussi comparer ce qui est comparable : les infirmiers, le climats, les services publics, ça coute des milliards, laisser les flics étrangler deux trois auvergnats par an, c'est pas cher.

Quand tu parles à un grand porte feuille, c'est la ligne en bas à droite qui compte.

Voilà si ça coûte rien et que ça rend service...

Re : Dé-confinement et révolution française

J'ai bien aimé aussi les 8 manifestants anti-UE qui se sont fait serrer et verbaliser par plusieurs dizaines de flics pour attroupement illégal (car plus de 2) en pleine manif contre le racisme quelques rues plus loin.

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

29

Re : Dé-confinement et révolution française

https://www.youtube.com/watch?v=3M7gX6G9JUU

La marque distinctive des âmes modernes, ce n'est pas le mensonge, mais l'innocence, incarnée dans le moralisme mensonger. Faire partout la découverte de cette innocence - c'est peut-être la part la plus rebutante de notre travail.
Nietzsche

30

Re : Dé-confinement et révolution française

DÉFENSE DE LA FRANCE

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

Re : Dé-confinement et révolution française

La famille perronne, des révolutionnaires depuis des génération. Vive le péronisme.

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

32 Dernière modification par Conrad (19-05-2021 09:18:21)

Re : Dé-confinement et révolution française

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

33

Re : Dé-confinement et révolution française

C'est partis pour 2 semaines sur la réouverture des bars & co dans tout les medias.

34

Re : Dé-confinement et révolution française

Je comprends pas trop le délire, on est moins déconfiné que l'année dernière et les gens s'excitent comme si c'était l'armistice de 45.

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

35

Re : Dé-confinement et révolution française

Kefka a écrit:

C'est partis pour 2 semaines sur la réouverture des bars & co dans tout les medias.

Hâte de voir quand est-ce qu'ils vont passer la quenelle des retraites ou de l'assurance-chômage en sous-marin.

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

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Re : Dé-confinement et révolution française

Conrad a écrit:

Je comprends pas trop le délire, on est moins déconfiné que l'année dernière et les gens s'excitent comme si c'était l'armistice de 45.

Ils ont réouvert les centre commerciaux, ca à l'air de rendre les gens hyper content.

37 Dernière modification par Mastikator (19-05-2021 17:48:42)

Re : Dé-confinement et révolution française

Kefka a écrit:

C'est partis pour 2 semaines sur la réouverture des bars & co dans tout les medias.

Entre les 2, spam sur le retour de Benzodaïne en équipe de Fronce

Kefka a écrit:
Conrad a écrit:

Je comprends pas trop le délire, on est moins déconfiné que l'année dernière et les gens s'excitent comme si c'était l'armistice de 45.

Ils ont réouvert les centre commerciaux, ca à l'air de rendre les gens hyper content.

Hyper-contents dans leurs hyper-marchés, ça fait sens.

38

Re : Dé-confinement et révolution française

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

39

Re : Dé-confinement et révolution française

La revolution du houblon.

desperate husband

40 Dernière modification par Conrad (20-05-2021 07:27:54)

Re : Dé-confinement et révolution française

https://preview.redd.it/su3j9a6g13071.jpg?width=1024&auto=webp&s=5e783b525617b1dbd2eb9e0682071fe2b5af0bfc

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

Re : Dé-confinement et révolution française

Je suis à ça de proposer qu'on monte un canular sur le fait que le gouvernement manipule la météo à grande échelle pour éviter un soulèvement général, mais vu l'époque et les commentaires des articles nordpresse, j'ai franchement trop peur que le truc nous échappe et qu'on lance une révolution mondiale.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

42

Re : Dé-confinement et révolution française

thedarkdreamer a écrit:

mais vu l'époque et les commentaires des articles nordpresse

Je sais pas si c'est à ça que tu fais référence, mais on t'a déjà devancé sur FB :

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

Re : Dé-confinement et révolution française

hohun a écrit:
thedarkdreamer a écrit:

mais vu l'époque et les commentaires des articles nordpresse

Je sais pas si c'est à ça que tu fais référence, mais on t'a déjà devancé sur FB :

Je n'avais pas vu, mais c'est moins bon. Le mobile du gouvernement pour traficoter le temps est moins crédible. On voit mal l'intérêt de provoquer la faillite des bars et restaurants, alors que chacun peut comprendre l'envie de ne pas être lynché par une foule en colère.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Dé-confinement et révolution française

Bah, ce troupeau de lopes obéissantes va rager lorsque l'on va lui expliquer que ça ferme en Septembre car les hôpitaux sont pleins.

"C'est souvent avec une femme idiote qu'on vit en bonne intelligence."
Albert Willemetz

Re : Dé-confinement et révolution française

C'est marrant hier y avait zemmour, de villiers, shrek, les keufs et globalement toute la racaille de la nation qui battaient le pavé pendant que la glorieuse frensse progessiste des lumières des droits de l'homme célébrait la libération des mojitos. J'ai l'impression que mon équipe est pas affûtée affûtée pour les compets à venir.

46

Re : Dé-confinement et révolution française

Pourtant tout ce monde-là aurait pu se retrouver autour d'un bon verre.

La marque distinctive des âmes modernes, ce n'est pas le mensonge, mais l'innocence, incarnée dans le moralisme mensonger. Faire partout la découverte de cette innocence - c'est peut-être la part la plus rebutante de notre travail.
Nietzsche

47

Re : Dé-confinement et révolution française

Mais le verre est dans le fruit.

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

48

Re : Dé-confinement et révolution française

M. Porcin a écrit:

J'ai l'impression que mon équipe est pas affûtée affûtée pour les compets à venir.

Y a combien de manifs du à des mouvements sociaux comparés au manifs de keufs/manif pour tous franchement ?
Je pense que ca va.

Re : Dé-confinement et révolution française

Ils étaient occupés à être débiles :

https://www.lemonde.fr/culture/article/ … _3246.html

Dialogue de sourds au théâtre de l’Odéon occupé, qui reste fermé

Stéphane Braunschweig a décidé de ne pas ouvrir au public tant que le lieu reste occupé la nuit par les militants qui, au-delà des revendications pour les intermittents, s’opposent à la réforme de l’assurance-chômage.

Par Laurent Carpentier
Publié aujourd’hui à 09h18, mis à jour à 09h31

Temps de Lecture 4 min.

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Occupation de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, 27 mars 2021.
Occupation de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, 27 mars 2021. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP

Stéphane Braunschweig, le directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe, à Paris, nous reçoit sous les cintres, derrière la scène et le décor sur lesquels le rideau ne se lèvera finalement pas. La Ménagerie de verre, de Tennessee Williams, mise en scène par Ivo van Hove, avec Isabelle Huppert, dont la reprise post-pandémie avait pourtant été annoncée dès le mercredi 19 mai, a été annulée jusqu’à nouvel ordre.

La faute aux intermittents et aux militants de la CGT qui occupent le théâtre et refusent de quitter les lieux, plaide le directeur. « Ne nous faites pas porter le chapeau ! », s’étranglent ceux-ci. Ils ont promis de laisser les spectacles avoir lieu, moyennant trois points non négociables : la continuation de l’occupation jour et nuit, garder leur visibilité sur la façade, et une intervention sur scène en préambule des spectacles. Entre la direction et ses occupants, après quinze jours de discussions, mardi 18, la négociation a été rompue.

Assis sur une chaise pliante, épaules tombantes, Stéphane Braunshweig n’en peut visiblement plus : « Je comprends leurs revendications. Je leur ai proposé une occupation diurne, de garder les banderoles sur la façade, de leur céder un lieu qui leur permette d’exister. Lundi, on n’était pas loin de trouver un accord. Mais je ne peux les laisser occuper le théâtre la nuit. C’est aussi simple que ça. Je suis responsable d’un bâtiment public. Il est temps de revenir dans la légalité. »
Deux mois et demi de lutte

Discours inverse sous les arcades du théâtre, où Denis Gravouil, le secrétaire général de la CGT-Spectacle, tient une conférence de presse : « Nous avons fait énormément de concessions pour garantir que le spectacle puisse se tenir sans difficultés. Ce n’est pas nous qui interdisons la représentation. Mais nous savons que si on ne dort pas là, ils enlèveront les banderoles, ils ne nous laisseront pas continuer les forums [que les occupants mènent depuis le balcon avec les sympathisants sur la place du théâtre], nous n’avons plus confiance. » Dialogue de sourds.

    Denis Gravouil, de la CGT-Spectacle : « 11 milliards d’euros pour la culture, 140 millions encore hier, oui, mais aucune de ces aides n’est fléchée vers l’emploi… »

En remontant la rue de l’Odéon, le théâtre offre, depuis le 4 mars, un visage aux relents de révolte utopiste avec ses grandes banderoles dégoulinant de la terrasse. Les « Culture sacrifiée », « Réouverture : la grande comédie », et autres « Soutien au peuple palestinien » y ont remplacé les traditionnels programmes de la saison. Deux mois et demi de lutte.

« On a voulu nous réduire à une demande de réouverture », mais ce n’était là qu’une partie des revendications, explique Denis Gravouil à la petite assemblée – « 11 milliards d’euros pour la culture, 140 millions encore hier, oui, mais aucune de ces aides n’est fléchée vers l’emploi… » –, admettant des victoires en demi-teinte (« Droits des intermittents prolongés, oui, mais que jusqu’en décembre ») pour mieux justifier la nécessité de poursuivre le combat, avec appel à la grève le 22 mai et manifestation qui partira à 13 heures de… l’Odéon pour rejoindre le Louvre. « Nous voulons des droits sociaux pour tous et toutes », martèle celui qui est aussi négociateur assurance-chômage pour la centrale syndicale. Car c’est la nouvelle loi dont l’application est attendue au 1er juillet qui est au cœur désormais du conflit.
Lire aussi Covid-19 : prolongation des aides pour les intermittents du spectacle
« Précarité accrue »

Marc Slyper a 73 ans. Casquette vissée sur la tête et foulard rouge, il participe aux négociations avec la direction. « Au moment de la réouverture, faire comme s’il ne s’était rien passé, ce n’est pas possible. La précarité accrue de toute une partie de la population. Les jeunes, les petits lieux, les petites équipes… Ce sont eux qui ne vont pas résister. » Tromboniste klezmer, ex-responsable du syndicat des musiciens, aujourd’hui en « retraite active », Il était déjà là, lycéen, en 1968, et encore là, en 1992, à occuper.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Au théâtre, des retrouvailles retardées à travers la France

    Stéphane Braunschweig, directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe : « Le vrai bras de fer, aujourd’hui, il est avec le gouvernement, pas avec nous »

Au début de l’année, c’est lui qui a rappelé à ses camarades la force symbolique de l’Odéon. A juste titre : plus de cent théâtres ont été occupés à sa suite. Et s’ils reconnaissent qu’ils sont moins nombreux et moins suivis qu’au début, les occupants de l’Odéon savent qu’en rendre les clefs serait prendre le risque de voir le château de cartes militant s’effondrer. Déjà, la police est intervenue à Toulouse et à Rennes, les grévistes ont levé le camp ici et là…

« Pris en otage, je ne sais pas, mais pris en étau, oui, soupire, amer, Stéphane Braunschweig. Le vrai bras de fer, aujourd’hui, il est avec le gouvernement, pas avec nous. Je ne cherche pas à faire la police. Je n’ai pas envie d’appeler la police. Je suis un artiste. » On sent l’émotion qui perce : « Comment peut-on penser que, moi, j’ai pu vouloir bloquer l’ouverture et la représentation ? Je suis le premier à vouloir jouer. C’est le sens même de mon existence. Je la subis, cette occupation », souligne le directeur qui, dans un texte commun avec Serge Dorny, à l’Opéra de Lyon, Macha Makeïeff, à Marseille, et Muriel Mayette-Holtz, à Nice, a appelé, le 13 mai, à la levée des occupations. « Je ne suis pas là pour faire le service après-vente du gouvernement. Beaucoup de choses ont été données. J’entends que cela puisse paraître insuffisant. Mais ce n’est pas mon sujet. Moi, je veux ouvrir mon théâtre. »
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Au théâtre de La Criée, à Marseille, une occupation très politique

Laurent Carpentier



Je ne suis pas Niark²

50 Dernière modification par Monsieur Maurice (20-05-2021 10:09:02)

Re : Dé-confinement et révolution française

Voilà une occasion rêvée pour bombarder ce théâtre pendant son occupation.

Spectacle garanti !

No pussy blues.