Sujet : Votre pire cuite
Le jeu étant de raconter votre pire cuite, comme ca s'accompagne souvent d'une bonne honte c'est tout bénef pour jean.
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Le jeu étant de raconter votre pire cuite, comme ca s'accompagne souvent d'une bonne honte c'est tout bénef pour jean.
Jamais eu.
18 ans d'un copain, peu après le bac (d'aucuns diront que la fatigue, toussa, mais en fait c'est n'imp), je suis invité. Comme tous mes potes se pointent a 22h, j'en fais autant. On discute, bières pour jeunes qui sont dégueux, ca se passe tranquillement. Au bout de 3 bières je décide d'aller un peu voir ce qui se passe dehors, sait on jamais, ca pourrait être plus intéressant que cette fille soit-disant bourrée qui l'était autant que moi.
Oh, tiens, une bouteille de vodka. Arrosée de grenadine (je suis une petite nature), je commence a boire, et je remarque des sales machins sur la bouteille de grenadine, genre traces de vomi, miam miam. Bah, un connard qui a foutu un truc dedans, j'enlève les merdes. Mais quand même ca a un léger arrière-goût. Me concentrant intensément pour que mes yeux arrêtent de regarder mes cils (que voulez vous, trois bières ca m'embrume) qu'est-ce qu'elle a cette grenadine : péremption le 4 juillet.... 2004. Mais qu'est-ce que Damien laisse trainer ces trucs dans un bar ? A la suite d'une intense délibération avec moi-même, je la laisse là et je ressors en quête de la bouteille.
Mais elle est vide, bande de connards. Une heure plus tard, la bouteille de chartreuse (liqueur a 55°) commence a tourner. En compagnie de plaisantes filles et d'un de mes potes qui encaisse bien mieux que moi (et qui le montre), et m'étant fait pour ainsi dire plaquer en début de mois, je fais le con, et j'en bois 5 bonnes gorgées avant de me mettre a toussoter pour cracher les restes de ma gorge. Après quelques mots échangés avec ces dames, je décide de prendre congé. Conscient (ou presque) que j'avais rien bouffé de la soirée, je vais me promener.
Et c'est a partir de là que ca devient flou, puisque mes conneries commencaient a me monter a la tête. Je fume un cigarillo qu'on m'offre (et je ferais pas deux fois la même erreur : un cigarillo, ca se crapote, et c'est dégueu de toute manière). Je vais vider mes tripes dans les buissons un peu plus loin, faut bien. Flou artistique. Prise de tête avec un copain anti-tabac/shit, il tente de me frapper gentillement mais je suis trop souple pour lui.
Et là, ma mémoire se limite a : "Lacrymo", mes yeux qui me grattent, et moi qui vais pioncer.
[Blackout]
Je me réveille le lendemain, bide en vrac, yeux pétés de sang, portable bloqué (WTF ?), et tout le monde parti. Vais chercher mes pompes et je me tire, saluant la maitresse de maison, visiblement je suis pas frais puisqu'elle me demande deux fois si j'ai besoin d'aide. Et je marchais normalement.
En arrivant a la maison, tentative de boire un peu de flotte, elle remonte. Je croise un miroir, et je comprends pourquoi la mère a absolument tenu a m'aider. Quelques heures plus tard, du pain ? galette. J'arrive quand même a assimiler le reste. Premier vrai repas a 20h.
En fin de compte, deux jours pour me remettre, et 3 kilos de moins au compteur (et je crains de ne plus pouvoir boire de chartreuse/vodka). Je recommencerais pas (du moins pas dans l'an qui va suivre). Semblerait que j'ai pété tous les records de bouletitude ce soir là, mes potes m'ont ramassé et aéré a cause de cette lacrymo, puis recouché. Je m'en souviens pas. Mais ! J'ai gerbé que là ou il fallait. Chuis propre moi. Si les susdits potes passent par ici, complétez, je vous saurais gré (ou pas).
Jamais eu.
Oiseau rare.
PS : Je suis quand même pas le seul a m'être cuité ici ?? Ceacy !
J'ai jamais reussi a me cuiter a l'alcool fort , malgré une session vin rouge, kir, vin blanc ,whisky, liqueur de poire, chouchen, puis cognac accompagné d'un cigarillo (qu'on crapote pas d'ailleurs , n'est ce pas bite imberbe?) . Meme que je marche droit et me tiens sur une jambe tranquille.
Neanmoins je continue ardemment d'essayer
Par contre, une Kro agen et je zigzague. Ben oui je sais c'est pas logique tout ca
Apres le bac de francais de ma 2eme première, je devais avoir 18 ans (putain ça fait plus de 10 ans, je suis vieux )
Mega teuf pour feter les vacances, j'ai bu de la bière et quelques conneries, puis on a tapé dans le vrai rhum de la soeur de l'hôte (hotesse de l'air, donc c'est bien ça ramène pleins de trucs cools). 5 verres à whisky de rhum pur (enfin un peu de citron vert pressé et beaucoup de sucre pour que ça passe mieux) dans on va dire environ une heure.
Je me souviens etre tombé du banc (table d'été dehors avec deux gros bancs), m'être relevé, avoir fini mon verre, puis ecran noir jusqu'au lendemain 10h00 ou je me suis retrouvé entouré d'une vieille couverture pleine de vomi (le mien) au milieu du garage (bah qu'est ce que je fous là?)
Je me suis douché dans la douche d'été aussi pile à coté du garage, et avec le seul truc que j'ai trouvé cad un truc de meuf avec des granulés exfolliant ou en me frottant vigoureusement je me suis arraché la peau et j'étais le premier lévé et tout propre.
J'ai mis une bonne année sans pouvoir sentir un truc au rhum sans avoir envie de gerber.
Apparament mes potes se sont bien amusé car pendant mon black out, je parlais encore, et ils faisaient des questions du genre
-"machine elle est comment"
-"elle est bonne"
-"et bidule" (un mega thon d' 1m80 et 120 kilos, présente bien sur)
-"heu..." (gros blanc) "ca va"
Même totalement raide, je fais des efforts
Depuis j'ai fait que des cuites "normales" ou au pire je gerbe un coup ou deux (ou 3 ) mais ou je me rappelle de ce qu'il se passe.
Reaction chimique avec la whey, surement
C'est marrant, une fois j'ai fait un mini coma éthylique (blackout complet entre 23h et 4h du mat, avec réveil dans c4c4 et vomito), ben heureusement que j'ai vu des vidéos de moi entre 23h et minuit, sinon, je me serais senti con.
Le truc bien, c'est que personne l'a su (pour le mini coma éthylique) vu que j'ai tout fait chez moi (par contre, pour nettoyer, paye ton litre de javel).
Et j'avais même pas bu énormément !
Sinon, ce WE, j'ai bu sans arrêt entre 23h et 7h vendredi et samedi (dont des vrais alcool genre aussi alcoolisé que l'eau de cologne), j'ai mangé comme un cochon en parrallèle, ben rien, pas même un rototo.
L'année dernière, pour "fêter" le bac de français sur la plage avec des "amis". Beaucoup bu, même énormément : disons, une demi-bouteille de mojito (orthographe ?) maison, au moins autant de vodka, quelques bières et d'autres machins. Rien fumé, par contre.
Gros blanc, bien entendu. Pour la deuxième ou troisième fois de ma vie, un black-out total. Je me réveille le lendemain, dans une douche, chez quelqu'un que je ne connais pa (ça se passait sur une plage, wtf ?), torse nu, sans mes lunettes.
Gueule de bois incroyable toute la journée, lunette massacrées sur la plage. Ma mère ne m'a pas vraiment engueulé, j'étais trop pitoyable.
Et trois mois plus tard, il y avait des photos de moi, ivre et nu sur la plage du Pouliguen, qui circulaient sur Internet. Merci les potes.
Il y a quelques mois, pendant l'hiver, avant de partir bosser, je m'envoyais un petit verre de rhum, histoire de me réchauffer. Puis un jour, j'essaye le whisky, comme ça, pour tester. Mmmhhhmmm, c'est bon. J'en prends un deuxième verre. Mais je pense que ça comptais au moins comme un double. Donc j'y vais.
Le trajet vers mon lycée se passe sans problême. Je monte les escaliers vers ma classe sans difficultés. Par contre, en plein cours, je commence à avoir envie de rire, je me sens flotter, j'ai plus d'angoisses. En bref, je me sens bien. C'est cool.
Puis là, le prof d'anglais m'interroge. Une question débile sur un texte. Je commence à répondre, sans trop savoir se que je dis. Après que j'ai terminé, il me regarde et me dit "Très bien. T'as bien revisé".
Sur le coup j'ai pas compris. Mais ensuite, une hypthèse m'est venue : boire un alcool d'un certain pays permet de mieux parler la langue du pays pendant un laps de temps proportionnel à la quantité d'alcool ingeré.
Par contre, en sortant, je ne tenais plus très droit. Donc j'ai petit à petit arêté.
Sinon, autre histoire toujours dans le registre beuverie :
Il y a un an, à Salzbourg, en autriche, pour la dernière soirée, tout le monde décide d'aller dans un bar. Moi, j'accepte, tout en me promettant que je en boirais rien d'autre que du Coca ou de la limonade.
Quand on arrive, moi et mon corrès, on retrouve les autres et une situation problêmatique. Une des filles, qui se croyait invulnérable à l'alcool avait un peu abusé, et, avant même que tout le monde ne soit arrivé, était completement torchée. Elle tenait à peine debout, et sa corrès, c'était pas mieux. Le pire, c'est qu'elle voulait y retourner. Donc après une rapide discussion avec le reste des personnes, je suis chargé de la ramener chez elle. D'ailleurs, comment ils ont réussit à me donner cette tache ingrate est et restera un mystère pour moi.
Donc bon, elles n'habitent pas loin, c'est déjà ça de gagné.
Donc on y va.
Bon, la fille en question est du genre mignonne : asiatique, visage doux et beaux, petite, bien habillée tout ça. J'en étais même plus ou moins amoureux, mais passons. Mais elle est bourrée comme le cul d'une pornstar et donc me tiens des propos d'alcoolo...
Ca ne pourrait pas être pire.
Ah si, il se met à pleuvoir.
Au bout d'un moment, elle ne marche tellement plus droit que je dois la porter sur mon dos. Instant d'extase suprème quand sa poitrine touche mon dos. Mais bon, heureusement que ce n'était plus très loin, sinon je serais mort de fatigue avant la fin.
Donc bon, je la laise chez elle, en lui faisant jurer de se coucher et de dormir.
Donc retour vers le bar sous la pluit de nuit. Quand j'y suis, j'en ai tellement marre que je ne fais même pas gaffe à ce qu'on m'offre à boire. Un petit verre d'eau avec une rondelle de citron... En plus, il n'y en a pas beauoup de l'eau, ils sont radins par ici. Donc je bois ça d'un coup, esperant me desalterer. Vague impression de chaud.
En deux secondes, je comprends, ce que j'ai bu était tout sauf de l'eau. Ca devait être de la Vodka ou autre. Et merde, je m'étais encore fait avoir. Donc j'attends un peu de voir les effets. Pas grand chose, legère euphorie, legereté. Bon, on ne m'aura pas deux fois, je commande une bière pour boire quelque chose d'alcoolisé sans risquer de terminer la soirée comme l'autre fille.
Après deux bierres et une ou deux cigarettes (je ne fume jamais, sauf en de très très rares occasions), les gens commencent à s'en aller. On finit par s'en aller à notre tour. Sur ce coup ci, je tiens bien, j'arrive même à courir pour rattraper le bus.
De retour à la maison, le premier truc que je fais, c'est vider ma vessie, étant donné que j'ai été trop pudique pour aller pisser dans le lac comme tout le monde.
Le lendemain, la fille me demande de ne rien dire à son copain. Je lui réponds qu'il ne s'est rien passé.
[Rien]
Dans le titre, il y a le mot "cuite".
Et il s'est en effet rien passé avec elle, tu l'as juste ramenée comme elle tenait plus droit.
Ben la seule cuite que j'ai eu n'a rien de particulièreemnt exitant (bourré au rhum tout seul car déprimant devant la télé) donc j'ai preferé parlé de trucs plus romanesques.
Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence ou que Scarlett Johansson, ferme ta gueule.
Jamais de grosse cuite mais bon en gros:
L'année de mes 15 ans, première grosse fête, première grosse cuite, alcoolisé j'usqu'au bout je me retrouve une partie de la soirée collée avec la cousine d'une copine de 13 ans et demi tandis qu'un pote à moi bourré refuse d'aller se reposer pour cause de tueur en série cachée dans le noir.
Cinq heures du matin je me retrouve en train de jouer à la console avec ce dit ami m'énervant de voire cette greluche toujours collé à moi...
... Pensant n'ayant que peu bu j'avais fait tout simplement l'impasse sur mon black out de plusieurs heures, j'en ait été bon pour des relations tendues avec la jeune fille..
18 ans d'un pote, grosse nouba, l'alcool coule à flot. Avec quelques amis on était sensé faire un strip tease, on se retrouve tellement bourré que l'on manque de s'affaler a chaque mouvement. Afin de me rafraichir, je sors en terasse de la j'apercois des racailles qui nous apostrophes gentiement "whesh connard!". A quoi je leur réponds par un discours proche de celui que l'on s'imagine utiliser par un chevalier galant avec emploi tatonnant du subjonctif de l'impatfait de gentilhomme et tout. Les racailles se barrent, tandis que certains se sentent de résonner un ami occupé dans un délire alcoolique basé sur "laché moi j'vais tous me les faire, j'tombe pas vant u'y en ai cinq qui tombent" je me retrouve nez à nez avec un autre de mes amis qui avait chosi comme occupation outre de pisser sur le toit, celle de veiller à l'entrée de l'impasse armée d'un magnifique couteau de cuisine afin de prévenir toute intrusion...
... bien sur la je passe sous silence la foi où j'ai embrassé un crapaud, quasiment pleurer dans les bras d'une copine super bonne en assurant que je n'ai pas le droit de montrer mon "vrai visage" et d'autres moins glorieuses.
C'est toujours celle à venir.
ben je m'en souviens pas de ma pire cuite, d'ailleurs, de toutes celles que j'ai oubliées, j'ai bien du mal à savoir quelle est la pire
J'avais 17 Ans, j'organisais ma première grosse fête : des potes, de la bouffe et de l'alcool à profusion, mais aussi la responsabilité de la salle et de la soirée.
Mais je ne suis pas fait pour les responsabilités : après avoir enquillé vodka et bière, à 4h, je finis au beau milieu de la salle à cheval sur une chaise deux bières dans les mains à gueuler sur quiconque ose tenter de me les reprendre sous prétexte d'avoir déjà trop bu.
Puis je décide de me lever d'un seul homme, je me dirige vers le couloir/dortoir, marche sur un mec allongé, m'éclate la tête contre le mur d'en face et retombe tout net sur le même mec qui amorti ma chute.
Le lendemain matin, lundi, au lycée, pas frais, j'apprends que juste avant j'avais dansé avec moultes demoiselles, dont pas mal de slow sans qu'il ne m'en reste le moindre souvenir.
C'était pas la première ni ma dernière cuite.
Next episode : mon bad trip dans les douches d'une AJ à Amsterdam à cause d'un space cake mal dosé.
Je devais avoir 17 ans. On se rejoint avec des potes pour passer une soirée pépère vu qu'on avait tous cours le lendemain. Mais bizarrement plusieurs potes avaient ramené de la boisson. Il est 21h30. Je commence donc par me boire 4 - 5 bières en tirant sur quelques pétards . Je suis déja a être bien grisé et défoncé.
Un pote me tend une bouteille de malibu- orange ou un truc bien dégueulasse du style. J'avais peu d'expérience dans l'alcool et je bois l'équivalent d'un verre cul sec. La bouteille tourne et reviens à moi et paf je refais la même.
Il restait un fond de whisky mais pas de coca. Je bois alors quelques gorgée mais plus modérement ce coup ci.
Je suis putain de bien bourré et j'atteins facilement la troposphère à ce stade de la compétition.
Puis, un pote sort de sa poche une pipe à shit. On décide alors de s'en faire une chacun bien chargée. Je tire dessus comme un déménageur et je m'envole rapidement pour la ionosphère. Il est 23 h, mes potes sont bien détruits, moi aussi et tout le monde part se coucher.
Sur le chemin du retour, je me casse la gueule dans des putains de buissons dont je mets bien 5 minutes a m'en défaire. La lumière des réverbères semblent flotter dans l'air. D'ailleurs, je me rends compte que je les vois en double.
Je reussis à esquiver mes parents qui regardent la télé dans le salon. Je me couche et là le coup classique : Cette putain de maison bouge bordel de merde. Je pose une gerbe à coté de mon de mon lit et je me m'endort sans nettoyer.
Je me lève le matin vers 8 h pas frais du tout. Je sens une putain d'odeur de gerbe et du coup j'en reclaque une dans le lavabo. Je nettoie tout ca et je part en court tant bien que mal.
Je n'ai tellement pas aimé ça que c'est la première et la dernière fois que j'ai gerbé à cause de l'alcool. Maintenant, à chaque soirée ou je suis bien bourré, je ne dépasse pas le seuil critique et je me concentre comme un moine shaolin pour ne pas gerber. Ducoup j'ai un putain de mal au bide le lendemain. J'aime bien l'effet de l'alcool mais j'aime pas les lendemains de cuite ( bouche pâteuse, mal au casque et au bide, impression de pas controler correctement mes muscles, envie de boire tout les quarts d'heure ... ) donc je préfère fumer du shit.
Burp.
Trop bourré pour me rapeler quoi que ce soit.
Après le bac, un pote décide de faire un barbecue chez lui, on ramène tous un truc et moi je ramène une bouteille de whisky. On commence à manger sauf que les brochettes et les merguez sont dégueulasses, après avoir manger ces saloperies, on picole et je décide de boire la bouteille de whisky tout seul dans mon coin.
Tout ce passe bien, j'ai la tête qui tourne, je rigole sauf que je tiens de moins en moins debout, mes potes m'installent dans le canapé avec une bassine et eux vont faire les cons sur un terrain de jeux. Je me retrouve seul et je commence à partir dans un délire, j'ai un gros fou rire, mes potes entre temps reviennent et se foutent de ma gueule.
Au bout d'un moment ils décident de m'allonger dans le lit du pote toujours avec la bassine mais je leur dis que j'ai envie de pisser, j'y vais et m'endors sur les chiottes, ils me réveillent et m'allonge , ils m'emmerdent encore un coup avec des glaçons dans le froc et autres conneries de ce genre et finalement ils se lassent et vont continuer de s'éclater dans leur coin, toutes les 5 minutes, un pote vient me voir pour vérifier si tout va bien.
Au bout d'un moment ils oublient de venir et c'est le drame je gerbe partout sauf dans la bassine et je m'endors dans mon vomi. Un pote arrive, appelle les autres, ils décident de me foutre à poil et de me doucher, je ne me laisse pas faire et commence à hurler comme un malade. Ils me trainent sur le sol car je suis trop lourd, je gueule de plus en plus et sous la douche je commence à m'énerver et je donne des coups de poing dans le mur.
Finalement, ils réussissent à me laver et me couchent par terre dans une couverture dans le salon. C'est ma seule et pire cuite pour l'instant, tout ça à cause des merguez toutes dégueulasses.
blah blah
Et c'est a partir de là que ca devient flou, puisque mes conneries commencaient a me monter a la tête. Je fume un cigarillo qu'on m'offre (et je ferais pas deux fois la même erreur : un cigarillo, ca se crapote, et c'est dégueu de toute manière). Je vais vider mes tripes dans les buissons un peu plus loin, faut bien. Flou artistique.
yada yada
J'ai pas souvenir de grosse cuite.
Mais vers mes 16 ans, j'ai fait exactement la même erreur que toi. D'où une superbe galette qui resta figé un bon moment façon chutes du niagara sur les marches d'une cave (température négative oblige).
Ma premiere cuite, vers 14/15 ans en troisieme, était sans doute la pire, un aprés-midi avec les potes du collége on a picolé de la biere et du punch dégueulasse en plein soleil; j'ai bien du gerber 10 fois, dont la derniere devant mon pére qui rentrait du boulot.
Depuis j'ai appris boire; je vomis moins mais j'oublis tout.
Quel est l'intérêt de se taper des cuites si c'est pour avoir la gerbe pendante sur la luette ?
la gerbe pendante sur la luette
De toute ma misérable vie sur les forums internet merdiques tel que celui-ci, je crois n'avoir encore jamais croisé une forme écrite pareille. Bon ok il y a les phrases de GTO. Mais là c'est trop horrible faîtes quelque chose, ou expliquez-moi.
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