Ouvrir une boutique de CBD (Page 2 sur 10)

Pour l'instant on se dirige plutôt vers une boutique non franchisée avec pourquoi pas un distributeur h24.
Le site ça sera pour plus tard.

Pour le moment, les Stups de Créteil font plutôt du zèle. Gardes à vue et perquisitions sont le lot de pas mal de vendeurs (en tabac et clope électronique).

Les boutiques de grow indoor tombent aussi.

C'est stupide cette prohibition.

Pacifiés comme les dictatures d'un point de vue extérieur, en effet, ça a l'air calme.

Beh ça doit être une bonne part du PIB dans certains coins quand même. Quant à casser les prix je pense pas que ce soit possible, déja de base c'est pas une drogue très chère et même en vendant au black j'imagine que ce sera dur de s'aligner sur le tarif que pourra proposer une entreprise déja en place dans un produit comparable. Je serais pas surpris que ce genre de considérations fasse un peu trainer la décision parce que à part ça je ne vois pas trop ce qui aurait empêché la légalisation  sous Hollande par exemple pour faire passer des pralines type loi travail.

Oui c'est vrai mais le marché noir de tabac ça doit quand même pas représenter une grosse fraction du total, pas de quoi faire vivre un quartier entier, c'est un business de bolos qui veut pas risquer trop gros... Et puis la marchandise c'est des paquets du bled ou de Belgique pas vraiment un produit concurrent. En fait pour que les trafiquants réussissent à s'imposer/perdurer sur un marché légal et régulé il faut qu'ils soient déjà solidement organisés en mafia stable et structurée avec les connexions politiques et économiques qui vont avec. J'ai l'impression que la grosse valeur ajoutée des cités sur le marché des stups c'est le côté "zone de non droit" où les keufs rentrent et sortent mais ne restent pas, pratique pour une plaque tournante mais une fois le produit légal je ne vois pas trop quelle logistique ils auront à offrir. A la limite les grossistes qui rincent tout le monde seront peut être toujours dans le game mais ça ne fera pas vivre les petites mains.
Enfin je sais pas, c'est juste un sentiment, il doit y avoir des retours d'expériences intéressants sur la question dans les quelques pays qui ont franchi le pas.

La question que je me pose, c'est la part de business illégal qui basculerait dans le légal, après tout, les mecs ont déjà des circuits de distribution. OK, ça demanderait de payer des impôts, mais en même temps le blanchiment ça coûte aussi de l'argent.

pourquoi ne pas ouvrir un bar à chicha ?

Ils ont déjà commencé avec la prostitution low cost.
Je vois dans certains quartiers marseillais pas mal d’immondes négresses à faux cils et à leggins dégueulasse faire le trottoir.