Re : [COVID-2N] Ite missa non est
T as les stats concernant ceux qui ont des sequelles?
Méchant Israël, alors que ses voisins étaient si ouverts à son existence même
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Le Vrai Asile » LA FIN DU MONDE » [COVID-2N] Ite missa non est
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T as les stats concernant ceux qui ont des sequelles?
Oui, 1 millions de personnes de plus sous le taux de pauvreté en 2020.
Le seul problème avec le toussapoursa, c'est que cela ne prend pas en compte le nombre de décès projetés si on n'avait pas fait toussapoursa. Pour comparer faudrait rien faire à la troisième vague et voir si ça valait le coup ou pas.
Qui a parlé de ne rien faire ?
Alors avec quoi compares-tu le toussapoursa ? Fallait faire comme la Suède ?
Les chiffres de morts sont équivalents entre la Suède et le Québec mais dans un seul de ces deux endroits la police venait chercher les gens chez eux parce qu'ils étaient trop nombreux.
Les chiffres de morts sont équivalents entre la Suède et le Québec mais dans un seul de ces deux endroits la police venait chercher les gens chez eux parce qu'ils étaient trop nombreux.
Et quand ils t’emmèneront, il ne restera plus personne pour protester.
Les chiffres de morts sont équivalents entre la Suède et le Québec mais dans un seul de ces deux endroits la police venait chercher les gens chez eux parce qu'ils étaient trop nombreux.
D'accord Conrad, alors trêve d'ironie et de demi phrases. Quelle aurait dû être la politique de la France selon toi?
METTRE LES ZARABES DEHORS !
Au lieu de les confiner !
En plus si on avait laissé tout le monde crever dans la rue, y'aurait eu moins de retards de traitements de cancers !
Bon ben au moins ça baisse pas.
Oui, 1 millions de personnes de plus sous le taux de pauvreté en 2020.
Alors Sache que je pense comme toi, que l'on aurait dû laisser tout ouvert TOUT en imposant des mesures strictes concernant le port du masque et les mesures barrière. Mais finalement on préfère rajouter des règles chaque semaine.
PAR CONTRE, là où nos avis diffèrent c'est sur le "tout ça pour ça". C'est à dire? les +70 sont dispensables?
Ensuite, assumez votre désir de vivre la vie à pleine dent, mais commencez par signer une décharge dans laquelle vous dites que vous viendrez pas chouiner si vous avez un "covid long".
Tu peux pas avoir le beurre l'argent du beurre et le cul du boomer.
Et sinon Michael Burry (le gars qui avait prédit la crise des subprimes) annonce une hyperinflation de type république de Weimar (le volume d'argent de toute l'Allemagne avant crise qui pouvait plus acheter un ticket de bus). La crise du covid pourrait accélérer ça.
Oui et puis tout ça pour ça, ça ne veut rien dire, impossible de savoir ce que ça aurait donné si on n'avait pris aucune mesure. On a perdu de vu la problématique de départ : si on laisse filer le nombre de contamination, les hôpitaux sont saturés et c'est là que les gens commencent à mourir (y compris de l'appendicite). Il y a un tel consensus parmi les gouvernements du monde entier, quelqu’en soit le régime, qu'il est difficile de penser que ce soit une décision sans fondement.
Et pour les "mesures barrières" draconiennes de Bidule c'est un peu illusoire, c'est sûrement compatible avec ton mode de vie mais pas avec celui de la majorité, comment tu fais dans un bar ? Dans un restaurant ? Comment tu répètes une pièce de théâtre avec un masque ? Comment tu fais dans une salle d'escalade ?
Je pense que si on prends en compte le taux d'imposition en France (le plus élevé du monde?), la taille de l'administration, l'augmentation du taux d'endettement et la baisse du PIB, la restriction sans précédente des libertés, les morts Covid, l'échec de la politique vaccinale et la répercussion de tout ça sur les prochaines années on est sans doute le pire des pays industrialisés.
Avec l'argent que coute au pays cette pandémie imagine ce qu'on aurait pu faire pour le système de santé et pour mettre les moyens pour isoler et supporter les personnes à risque.
Et ce n'est pas une surprise, février 2019 : https://www.academie-medecine.fr/wp-con … e-Nati.pdf
Le nombre de lits et le nombre de personnels soignants sont devenus la variable d’ajustement de la moindre dépense, ce qui provoque une autre course : celle du taux d’occupation des lits et de la réduction des personnels induisant une surchauffe (83 % d’occupation des lits en hôpital public) et une inadaptation aux épidémies.
PAR CONTRE, là où nos avis diffèrent c'est sur le "tout ça pour ça". C'est à dire? les +70 sont dispensables?
Ensuite, assumez votre désir de vivre la vie à pleine dent, mais commencez par signer une décharge dans laquelle vous dites que vous viendrez pas chouiner si vous avez un "covid long".
Ils ne sont pas dispensables mais ils sont aussi plus faciles à isoler non ? Finalement les boomers auront vraiment tout eu toute leur vie, et ils ont eu leur trentes glorieuses en tuant la génération d'avant, eux.
Avec 15% de croissance prévu l'année prochaine, le problème est résolu.
Quelle aurait dû être la politique de la France selon toi?
Fermeture des frontières dès l'apparition des premiers cas, donc fin janvier et pas en mars : ils venaient d'ou ? Bingo, du Wuhan. Les premiers foyers arrivent en février. Deux mois de retard sur une pandémie, c'est tellement pas graaaaaave.
Incitation/réquisition de l'appareil productif pour faire masques et gel dans de bonnes conditions (quitte à utiliser l'armée, comme c'était le cas ailleurs dans les pays qui ont réussis). Ca va faire chialer les pleureuses libérales forcenées mais y a que nous qui sommes assez cons pour pas utiliser ce genre d'outils quand c'est nécessaire parce que faudrait pas qu'on nous traite de vilains rouges.
Arrêt total des mesures d'austérités budgétaires idiotes pour les hôpitaux (bon ça sérieux c'est du bon sens mais bon).
Un autre type de gestion de la communication pour ne pas effrayer (difficile quand on ne maitrise rien du tout) les gens. Ca c'est fait ailleurs avec une transparence journalière, des décisions qui ne changent pas d'une semaine sur l'autre, etc. Non mais sans déconner, pesonne ne se rappelle de ce truc : https://www.bfmtv.com/people/emmanuel-e … 70063.html ? Même pas une semaine après l'OMS déclare la pandémie.
Et bien sur ne pas fermer tout le pays pendant un an avec comme seule alternative et comme plan pour le futur le "quoiqu'il en coute", ne pas utiliser les artifices dégueulasses de communications qu'on se tape maintenant de manière normale (les ballons d'essais à base de fuites dans la presse pour voir si ça passe ou pas).
Au pire on pouvait aussi copier la Chine a base de clouage de porte, désinfection massive des rues, cosmonautes qui t'amènes à bouffer et peine de mort pour les connards qui toussent pas dans leurs coudes.
Franchement, en passant tout le grand Est au napalm, on aurait perdu quoi, en vrai ?
Franchement, en passant tout le grand Est au napalm, on aurait perdu quoi, en vrai ?
T'es rageux que ça pousse mieux qu'en Occitanie, stout !
thedarkdreamer a écrit:Quelle aurait dû être la politique de la France selon toi?
Fermeture des frontières dès l'apparition des premiers cas, donc fin janvier et pas en mars : ils venaient d'ou ? Bingo, du Wuhan. Les premiers foyers arrivent en février. Deux mois de retard sur une pandémie, c'est tellement pas graaaaaave.
Apparemment on avait déjà des cas en novembre, à partir de là c'était foutu, tu pouvais fermer les frontières tant que tu veux. En Occident, la dernière pandémie massive a un siècle, c'est un peu normal que personne ne soit préparé.
Pour le reste, je suis d'accord, c'est nawak de filer la logistique aux soignants quand ce n'est pas leur métier alors qu'on a l'armée au point là-dessus et qui a plus utile à foutre que du vigipirate.
https://www.lemonde.fr/idees/article/20 … _3232.html
plz
« La crainte engendrée par le Covid-19 semble en relation inverse de sa létalité »
TribuneHervé Le Bras
directeur d’études à l’Institut national d’études démographiques
Chiffres à l’appui, le démographe Hervé Le Bras examine les conséquences de l’épidémie sur les statistiques de mortalité et d’espérance de vie. Ses calculs nuancent la gravité de l’épidémie.
Publié le 09 février 2021 à 05h22 - Mis à jour le 09 février 2021 à 20h44 Temps de Lecture 5 min.
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Tribune. En 2020, le nombre des décès a augmenté de 7,3 % en France. Les personnes les plus âgées ont été particulièrement frappées par l’épidémie de Covid-19. Selon l’Insee, au cours de la deuxième vague, la mortalité a augmenté de 19 % entre septembre 2020 et janvier 2021, pour celles qui sont âgées de plus de 75 ans.
Selon Santé publique France, le site officiel du ministère, de la mi-mars 2020 à la mi-janvier 2021, 59 % des personnes décédées pour cause de Covid-19 étaient âgées de plus de 80 ans alors que cette classe d’âge ne représente que 6 % de la population totale. Ces données ont pesé dans les décisions prises par le gouvernement pour combattre l’épidémie.
Ces chiffres ne prennent cependant de la valeur que lorsqu’on les compare à d’autres données. Prenons par exemple ce pourcentage de 59 % et comparons-le à celui de la mortalité habituelle. Cela est possible grâce à la répartition des décès par âge publiée par l’Insee. En 2018, dernière année disponible, 61 % d’entre eux provenaient de personnes de plus de 80 ans, soit, à 2 % près, la proportion des personnes âgées parmi les décédés du Covid-19 qui vient d’être citée. Le Covid-19 ne discrimine donc pas plus les personnes âgées que ne le font les causes habituelles de mortalité en son absence.
Causes culturellesOn peut penser que ce constat contre-intuitif résulte des mesures prises par le gouvernement pour protéger les personnes âgées. Pour le vérifier, il faudrait comparer la situation française réelle à un groupe contrôle où aucune mesure n’aurait été prise, mais cela est impossible car aucune partie du territoire national n’a été dispensée de ces mesures.
Le seul moyen disponible consiste à étudier le comportement de pays proches. Deux groupes de pays apparaissent : en Allemagne, en Suisse, en Autriche, en Suède, au Danemark et aux Pays-Bas, la proportion de personnes âgées de plus de 80 ans décédées du Covid-19 excède de plus de dix points celle des décès de cette même classe d’âge en période hors épidémie.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi La pandémie de Covid-19 creuse le fossé en Europe, entre le Sud dépendant du tourisme et le NordInversement, en Italie, en Espagne, au Royaume-Uni, les deux proportions sont voisines, à l’instar de la France. Les politiques de lutte contre l’épidémie menées dans les pays de chacun des deux groupes ont été tellement différentes qu’on ne peut pas déceler lesquelles auraient été plus favorables que d’autres aux personnes âgées.
La liste des pays dans les deux groupes suggère plutôt des causes culturelles. Les pays où les personnes âgées ont été plus atteintes que d’habitude ont en commun des rapports familiaux plus fréquents entre générations. L’Allemagne, la Suisse, l’Autriche, la Suède, le Danemark et les Pays-Bas sont caractérisés par la « famille souche » où trois générations cohabitaient autrefois. Dans les pays où la mortalité des personnes âgées est demeurée à sa proportion habituelle, les rapports familiaux se concentrent traditionnellement au sein des familles « nucléaires » limitées à une ou deux générations. Or, la propagation de l’épidémie est fonction de la fréquence des contacts interpersonnels, en particulier entre générations.
« Seulement » six mois et demi en moinsMême si la surmortalité des personnes âgées n’est pas caractéristique de l’épidémie en France, la hausse générale de la mortalité causée par le Covid-19 reste inquiétante.
A titre de repère, lors de deux des trois épidémies de choléra du XIXe siècle, la mortalité annuelle avait augmenté de 16 %. Les 7,3 % d’augmentation constatés en 2020 sont encore au-dessous, mais au train où l’épidémie pourrait se poursuivre, ils pourraient s’en rapprocher.
On en déduit souvent que l’espérance de vie va chuter dans une proportion analogue à celle de la hausse de la mortalité. Ce n’est pas le cas. En 2020, les 7,3 % de décès supplémentaires ont entraîné seulement une baisse de 0,55 an, soit six mois et demi. Ce sera le recul le plus important depuis la Libération, mais un recul modeste quand on le compare aux vingt ans d’augmentation de l’espérance de vie depuis 1946.
Lire aussi : l’excès de mortalité en 2020 en sept graphiquesComment 7,3 % de décès supplémentaires entraînent-ils seulement 0,7 % de baisse de l’espérance de vie (0,55 an sur 82,5 ans) ? Cela est dû au niveau élevé des risques annuels de décès des personnes âgées auxquelles il reste donc peu d’années à vivre.
A 15 ans, le risque annuel de mortalité est de un pour 10 000. A 88 ans, il est de un pour dix, soit mille fois plus. A partir de l’âge de 50 ans, la hausse du risque annuel de décès est rapide et régulière, au rythme d’un accroissement de 12 % d’un âge au suivant. Les 7,3 % d’augmentation des décès en 2020 ne représentent donc que 60 % (12 % divisé par 7,3 %) de l’accroissement des risques de décès d’un âge au suivant.
Plus un risque est faible, plus il fait peurAutrement dit, la conséquence de l’épidémie de Covid-19 aura été de décaler de 0,6 année vers les âges plus jeunes les risques de décès, donc de faire perdre 0,6 année à l’espérance de vie. Par exemple, le risque de décès d’une personne âgée de 75 ans est devenu le même que celui d’une personne de 75,6 ans quand le Covid-19 ne sévissait pas.
Il est douteux que ce changement soit perceptible, étant donné toutes les autres causes de variation de la mortalité, que ce soit la condition physique, l’environnement, la classe sociale et, il ne faut pas l’oublier, le sexe (l’espérance de vie des femmes est encore supérieure à celle des hommes de 5,9 %, selon l’ Insee).
Jusqu’ici, on a raisonné en moyenne sans tenir compte de l’observation de l’Insee sur les quatre derniers mois, rappelée au début, selon laquelle l’augmentation de la mortalité de 16 % en moyenne s’est élevée à 19 % au-delà de 75 ans (elle a été de 13 % entre 65 et 74 ans et faible en deçà). Dans le détail, cela signifie que les risques de mortalité ont à peine varié jusqu’à 65 ans. De 65 à 74 ans, au lieu de 0,6 an de décalage, il faut en compter les 13/16es, soit 0,5 an et, après 75 ans, les 19/16es, soit 0,7 an. Le risque de décès couru par une personne de 82 ans l’an passé a donc été le même que celui d’une personne de 82,7 ans en l’absence de l’épidémie de Covid-19, ce qui ne modifie pas les ordres de grandeur déjà fournis.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi « La peur de la mort remet aux commandes le principe de sécurité contre le principe de liberté »Ces calculs nuancent la gravité de l’épidémie. Ils aboutissent à un paradoxe : la crainte engendrée par le virus semble en relation inverse de sa létalité. Mais on sait que plus un risque est faible, plus il peut faire peur car plus il semble injuste à celui qui est frappé alors que presque tous les autres en sortent indemnes. C’est l’une des raisons de la vogue du principe de précaution.
Hervé Le Bras est historien et démographe, directeur d’études à l’EHESS, directeur de recherche émérite à l’INED. Il a dirigé le Laboratoire de démographie historique (CNRS) et publié une soixantaine d’ouvrages dont « Naissance de la mortalité » (2000, Gallimard).
Avec 15% de croissance prévu l'année prochaine, le problème est résolu.
La seule croissance prévue dans ce pays ce sera 15 % d'immigrés clandestins enculeurs de blanches blafardes à gros culs flasques en plus.
Conclusion, le problème du covid, c'est que notre système hospitalier est pourris et qu'on peut pas gérer les vieux qui seraient morts de toute façon 6 mois après et le reste des vivants en même temps.
Maintenant, je sais pas pourquoi on avait déjà des cas en novembre 2019 et pas à Taiwan, j'ai pas la solution.
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