Re : Actu
Ils auraient pu nous le dire.
Et avouer qu'ils se sont gourés et que Maduro reste plus légitime que le putschiste?
Tu veux leur faire quitter leur ligne éditoriale atlantiste, ou quoi?
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Ils auraient pu nous le dire.
Et avouer qu'ils se sont gourés et que Maduro reste plus légitime que le putschiste?
Tu veux leur faire quitter leur ligne éditoriale atlantiste, ou quoi?
https://www.francetvinfo.fr/sante/drogu … 67559.html
Bon, ça reste des squares, ils vont surtout faire chier les clodos. Par contre, le parc Georges Brassens, ça pique, faut pas déconner, il y a de la place pour tout le monde là-bas.
Je fume même pas mais je trouve ça hallucinant.
Je suis pour la guerre aux mégots par contre.
Les mégots ça s'est arrangé depuis que la mairie s'est dite que ça serait plus simple avec des cendriers.
J'espère que Mounir va proposer des cendriers connectés reliés à une application qui dévoilera le score des fumeurs coopérants.
Peut-être que la mairesse va avoir l'idée de faire des fumitrottoirs en s'inspirant de :
Ils l'ont viré ce truc, maintenant les gens recommencent à uriner sur les murs, encore une belle victoire de Canard, bravo les riverains !
NiarkNiark a écrit:Tiens, puisqu'on en parle, on en est où du putsch raté du candidat des USA ?
Y a un moment c'était quasiment fait selon les experts médiatiques.Il a été désavoué, même par une partie des partis d'opposition.
Oui bon, je m'attendais à des révélations un peu plus Sethdenodienne, si tu vois ce que je veux dire.
Ils l'ont viré ce truc, maintenant les gens recommencent à uriner sur les murs, encore une belle victoire de Canard, bravo les riverains !
J'en ai vu un rue Bossuet la semaine dernière (côté en contrebas de la rue). Un survivant peut-être.
https://www.theguardian.com/world/2019/ … lestinians
Quel sens inné des affaires.
il n'y a pas de petites économies
monde-diplomatique.fr
Électricité, le prix de la concurrence
7-8 minutes
Depuis la fin des années 1980, l’Union européenne s’attache à casser les monopoles dans le secteur des énergies de réseau que sont le gaz et l’électricité. Ces services publics ayant montré une grande efficacité, elle a dû appliquer une stratégie radicale, mise au point au Chili sous le régime dictatorial d’Augusto Pinochet, puis importée quelques années plus tard dans le Royaume-Uni de Margaret Thatcher.
Le principe consiste à scinder les activités de production, de gestion du réseau et de fourniture (la vente au client final), auparavant réunies au sein d’une même entreprise publique. Ce découpage sépare les secteurs susceptibles de générer des profits rapides de ceux qui sont difficilement rentables. On introduit ainsi la concurrence directe dans la production et la fourniture, tandis que le transport et la distribution restent publics, mais doivent s’adapter pour favoriser la compétition entre les autres acteurs.
Les directives européennes se succèdent pour organiser des marchés intérieurs unifiés, et la loi française s’adapte progressivement. À partir de 1999, des fournisseurs privés sont autorisés à concurrencer Électricité de France (EDF) en proposant des contrats d’approvisionnement aux entreprises. La dérégulation s’élargit aux particuliers en 2007.
Profitant de l’occasion, des investisseurs créent de toutes pièces des « fournisseurs alternatifs ». En 2002, le financier et homme politique de droite Charles Beigbeder fonde ainsi la société Poweo, qui remporte son premier appel d’offres en février 2003... alors qu’elle ne dispose d’aucun site de production. Pour revendre une marchandise qu’elle ne produit pas, elle achète de l’électricité sur le marché de gros, soit directement auprès de producteurs européens, soit en Bourse.
En 2001, des banques (Société générale, BNP Paribas), des énergéticiens (EDF, TotalFinaElf, Electrabel) et la place boursière Euronext lancent la première Bourse française de l’électricité, baptisée Powernext. L’objectif de l’Union européenne étant de développer les échanges à l’échelle communautaire, Powernext fusionne en 2008 avec son homologue allemande, European Energy Exchange, pour donner naissance à une Bourse européenne de l’électricité : Epex Spot. Marginales au départ, les transactions se développent fortement dans les années 2010. Au troisième trimestre 2018, celles intervenues sur le marché de gros français représentent 212 térawattheures, soit près de deux fois la production électrique nationale (1), les produits pouvant être achetés et revendus plusieurs fois.
Depuis cette déréglementation, deux systèmes de tarification coexistent. Délivrée uniquement par EDF et par les régies publiques, une offre « réglementée » — le tarif bleu hérité du monopole de service public pour le particulier — voit ses conditions encadrées par l’État. En parallèle, des offres « de marché » sont vendues par les fournisseurs privés... dont une branche d’EDF, priée par les gouvernements successifs de prendre sa place dans le segment concurrentiel.
Très complexe, ce système dérégulé a été conçu dans un but : démanteler progressivement le service public. Pourtant, après plus de vingt ans d’efforts, les libéraux sont déçus : 80 % des clients choisissent encore le tarif réglementé, qui représente 84 % de la consommation des particuliers (2). Puisque la concurrence « libre et non faussée » ne produit pas les résultats escomptés, le législateur entreprend de la fausser... à l’avantage du secteur privé. En 2010, la loi portant nouvelle organisation du marché de l’électricité (dite loi « Nome ») mettait en place un mécanisme incroyable, qui oblige EDF à tenir à disposition de ses concurrents privés un volume important de sa production nucléaire (environ le quart) à prix coûtant ! Les sociétés privées peuvent faire valoir leur droit à l’acheter, mais n’en ont pas l’obligation : elles préféreront recourir à la Bourse si les prix y sont plus bas.
Arrimés aux cours de la Bourse
La loi Nome prévoit également de nouvelles modalités de calcul pour le prix réglementé de l’électricité. Son article 13 décrète que le tarif encadré par les pouvoirs publics sera fonction des coûts de production d’EDF, mais également « du coût du complément à la fourniture d’électricité ». Le 28 octobre 2014, le décret n° 2014-1250 précise que ce coût complémentaire « est calculé en fonction (...) des prix de marché à terme constatés ». Traduction : pour ne pas pénaliser le secteur privé, si les cours de Bourse de l’électricité augmentent, les tarifs régulés devront suivre.
C’est précisément ce qui se produit aujourd’hui. À la suite d’une envolée des prix de l’énergie primaire, des matières premières et du quota carbone, celui du kilowattheure grimpe à la Bourse européenne. La Commission de régulation de l’énergie, créée en mars 2000 pour jouer le rôle de gendarme de la concurrence dans le système dérégulé, a réclamé le 7 février dernier une hausse des prix réglementés (3). Le ministre de la transition écologique et solidaire, M. François de Rugy, a confirmé le 22 mars une augmentation « sans doute à la moitié de l’année ».
Cette obsession pour la concurrence trouble jusqu’à... l’Autorité de la concurrence. Dans un avis du 25 mars, celle-ci considère que la hausse projetée « conduirait à faire payer aux consommateurs, plutôt qu’aux fournisseurs, les effets (...) d’une limitation de la régulation du marché de gros voulue par le Parlement », avec pour effet d’offrir aux clients du tarif bleu « la garantie paradoxale de “bénéficier” des prix les plus chers du marché » (4).
À terme, l’existence même de contrats spécifiques paraît menacée. Dans un arrêt du 18 mai 2018 (5), le Conseil d’État a ainsi donné raison à Engie (ex-GDF Suez) et à l’Association nationale des opérateurs détaillants en énergie (Anode) en annulant partiellement les tarifs réglementés adoptés en 2017 au prétexte qu’ils ne garantissaient pas « un égal accès des entreprises de l’Union européenne aux consommateurs ». Certes, la plus haute juridiction administrative française admet le principe de tarifs réglementés pour lutter contre la volatilité des prix d’un bien de première nécessité. Mais elle restreint leur portée : ces tarifs ne seront désormais justifiés que s’ils sont « proportionnés » à un objectif d’intérêt économique général (des prix plus stables), adoptés pour une période limitée, et que si les obligations de service public sont clairement définies, transparentes, contrôlables et non discriminatoires... Ces leçons de droit européen conduisent à torpiller l’actuel tarif bleu et à pousser les 80 % de consommateurs encore attachés au service public dans le grand bain de la concurrence.
Oui mais quand Superphénix arrivera on pourra laisser les lumières allumées partout.
Les ruines du service public se dédendent encore un peu trop bien.
Vite, ouvrons à la concurrence :
le service tchèque, par exemple.
(ah, pardon, c'est aussi une entreprise issue des monopoles d'état)
mediapart.fr
Marseille: un policier tire au LBD dans la tête d’un mineur de 14 ans
Pascale Pascariello
9-11 minutes
Le 8 décembre à Marseille, en marge des manifestations des gilets jaunes, des policiers ont grièvement blessé deux jeunes personnes, qui tentaient simplement de regagner leur domicile.
Policiers présents le samedi 8 décembre, Marseille. © DR Policiers présents le samedi 8 décembre, Marseille. © DR
C’est le cas de Kamel*, 14 ans, qui a reçu en pleine tête et de dos, un tir de lanceur de balles de défense (LBD). Conduit aux urgences pédiatriques pour un traumatisme cranio-cervical et une fracture du crâne, il lui a été délivré une incapacité temporaire totale (ITT) de 21 jours, sous réserve de complications.
Le constat médical fait également état de troubles post-traumatiques, « un état anxieux persistant, avec cauchemars, une apathie et des insomnies avec une perte de 3 kilos », nécessitant un suivi par un pédopsychiatre.
Le parquet de Marseille vient d’ouvrir une enquête préliminaire pour « violences volontaires aggravées par personne dépositaire de l’autorité publique ». Elle a été confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). Elle vient s’ajouter à une autre enquête sur des violences policières commises le même jour, à quelques centaines de mètres.
Comme nous le révélions (à lire ici), touchée par un tir de LBD à la cuisse, Maria*, 19 ans, s’était écroulée à terre et avait alors été violemment matraquée et frappée à coups de pied à la tête par des policiers. Comme le précise le procureur de la République de Marseille, Xavier Tarabeux, les pompiers auditionnés dans le cadre de la première enquête, concernant Maria, ont précisé avoir dû prendre en charge, avant la jeune fille, un garçon de 14 ans, en l’occurrence Kamel, blessé au crâne lui aussi par les forces de l’ordre.
Comme Maria qui, en sortant de son travail, rejoignait son domicile, Kamel souhaitait lui aussi rentrer chez lui. Ce samedi 8 mars, aux alentours de 18 heures, l’acte IV des gilets jaunes et la mobilisation contre les logements insalubres à Marseille se terminent, près du port et du centre-ville, par des heurts entre manifestants et forces de l’ordre.
En arrivant à proximité de son domicile, Djamila*, la sœur de Kamel, qui vient de passer la journée avec une amie, appelle son petit frère. « Nous nous étions disputés et pour m’excuser je voulais l’inviter dans un fast-food. Il est venu me rejoindre », témoigne-t-elle.
« Mais comme le restaurant avait fermé à cause des manifestations, nous avons décidé de retourner chez nous. » Ils croisent alors des policiers qui, certaines rues étant bloquées, leur indiquent l’itinéraire à suivre. Soucieuse de protéger son petit frère qui « était sorti en claquettes », Djamila leur précise ne pas être manifestants.
« Après un long détour, on se rapprochait enfin de chez nous, lorsqu’un policier s’est mis à courir derrière nous, se rappelle-t-elle. Plusieurs policiers sont arrivés. Ils étaient en civil et d’autres en tenue. Mon petit frère a eu peur et a ramassé un trognon de pomme par terre. » Malgré les exhortations de sa sœur, Kamel jette le bout de pomme vers les policiers « sans atteindre personne. Je lui avais dit de ne pas lancer ce trognon mais il avait peur comme moi de ce qui se passait et il voulait me défendre ».
« J’ai voulu faire le garçon devant ma sœur que je voulais protéger », concède Kamel qui n’a jamais eu affaire à la police. La suite est terrifiante. Alors que le jeune garçon poursuit sa route, il est atteint de dos et à la tête par un tir de LBD.
Kamel, 14 ans, blessé au crâne par un tir de LBD, samedi 8 décembre, Marseille. Kamel, 14 ans, blessé au crâne par un tir de LBD, samedi 8 décembre, Marseille.
« J’ai vu mon frère tomber, inanimé. J’ai voulu le secourir mais un policier m’a retenue en m’étranglant et en m’écrasant avec son bouclier. Je lui ai dit, “laissez-moi, c’est mon petit frère qui est blessé”. Il m’a répondu : “Je m’en fous, tu ne vas pas voir ton frère” », déplore la jeune fille.
« Je me rappelle juste du choc derrière la tête et ensuite plus rien. Je suis tombé et je ne me suis réveillé qu’après. J’ai senti du sang couler et j’ai eu très peur. Je voyais ma sœur bloquée par les policiers. J’étais perdu », confie Kamel.
Une fois les forces de l’ordre parties, Djamila peut enfin secourir son frère. En attendant l’arrivée des pompiers, elle le met à l’abri dans un café. Il est aux alentours de 19 heures quand les secours arrivent rue Vacon pour transporter le mineur aux urgences. À quelques mètres de là, dans une rue parallèle, Maria, le crâne fracassé par des policiers attend, elle aussi, les pompiers.
Depuis, Kamel ne sort plus de chez lui. « J’ai peur de voir des policiers. Je préfère rester chez moi », conclut-il. Il a dû interrompre sa scolarité durant deux mois, « ce qui a eu des conséquences pour la suite parce qu’il est contraint de suivre l’année prochaine une filière professionnelle qui n’était pas son choix », précise sa sœur qui se sent coupable d’avoir fait descendre son frère dans la rue ce jour-là.
« Je n’ai pas pleuré devant lui mais à l’hôpital, je me suis effondrée. Je pensais que j’allais le perdre ou qu’il allait avoir de graves séquelles. » Depuis, elle entreprend toutes les démarches pour que « la justice retrouve le policier coupable de ce tir ». Mais elle en doute beaucoup. Si les délais du dépôt de plainte ont été aussi importants, c’est parce que quelques jours après les faits, elle a été confrontée à un refus catégorique et non motivé du commissariat d’enregistrer sa plainte.
« Ils m’ont affirmé d’abord qu’il s’agissait d’un gendarme et non d’un policier et ils m’ont dit qu’ils ne prenaient pas ma plainte sans rien me préciser de plus », explique Djamila qui a dû alors prendre attache auprès d’un mange merde d'avocat et constituer le dossier pour son petit frère.
« Rejeter la faute sur les gendarmes alors qu'aucune identification n'a été faite, c'est affligeant. Et, surtout, c’est particulièrement scandaleux de voir une nouvelle fois que les fonctionnaires de police refusent qu’une victime de leurs collègues dépose plainte. Je suis confronté à cette situation 9 fois sur 10 dès que l’auteur présumé des faits est un policier », déplore l'mange merde d'avocat de Kamel, Brice Grazzini.
« Cela prive les victimes de plusieurs droits essentiels, poursuit l’mange merde d'avocat. Il n’est pas possible d’obtenir immédiatement l’évaluation de leur préjudice par l’unité médico-légale, et il n’est pas possible non plus d’obtenir les enregistrements de vidéosurveillance de la ville. Or, les images de vidéosurveillance sont essentielles dans ce type d’affaire et ne sont conservées que quelques jours, d’où l’importance que la plainte soit déposée rapidement en commissariat ou gendarmerie. »
Les policiers ont l’obligation d’enregistrer une plainte comme le stipule l'article 15-3 du code de procédure pénale selon lequel « la police judiciaire est tenue de recevoir les plaintes déposées par les victimes d’infractions à la loi pénale ».
« La loi du 23 mars 2019 de réforme de la justice rappelle aux fonctionnaires de police et aux gendarmes qu’ils ne peuvent “pour aucune raison” refuser de prendre une plainte, même si la victime ne se trouvait pas au bon commissariat », précise Me Grazzini.
Comme nous le relations dans l’affaire de Maria, plusieurs témoins ont rapporté qu’en cette fin de journée du 8 décembre, un groupe de policiers, dont certains en civil, arpentaient les rues du centre-ville de Marseille. Parmi eux, l’un donnait un coup de matraque contre le mur en mugissant, un autre criait « ce n’est que partie remise ».
« Les violences commises contre Kamel par des policiers sortent une nouvelle fois de l’usage légitime de la force. Les circonstances de l’attaque, c’est-à-dire par derrière, dans la tête et à bout portant, démontrent d’ores et déjà que l’utilisation du LBD est irrégulière et donc qu’une infraction a été commise », constate l’mange merde d'avocat de Kamel, Brice Grazzini, qui défend également Maria.
« Mais ce qui interpelle dans cette affaire est que les faits ont été commis dans le même temps et à proximité de ceux commis contre Maria. Il est donc aisé de s’interroger sur la possibilité que les policiers qui ont tiré sur Kamel soient les mêmes que ceux qui ont attaqué Maria. » À cette question de l’mange merde d'avocat, l’enquête préliminaire devra répondre en identifiant les auteurs de ces violences.
Un policier qui a préféré garder l’anonymat explique que « la pression est forte pour ne pas retrouver ceux qui ont commis ces violences mais ce n’est pas difficile de savoir qui était sur place ce soir-là. On peut même voir sur certaines photos le visage du commandant et du capitaine en charge des opérations ». Partant de ces informations dont disposent les enquêteurs, il devrait être aisé de pouvoir retrouver les hommes qui étaient placés sous leur responsabilité, et donc les auteurs présumés de ces violences, ce sombre samedi.
Ce même policier qualifie les faits de honteux : « Lorsqu’on tape sur le crâne d’une gamine à terre ou qu’on tire derrière la tête d’un enfant de 14 ans, ce ne sont pas des méthodes de policiers. On ne peut pas couvrir ces dérives. Lorsqu'on voit de telles violences, une question se pose : “Et si c'était mes enfants ?” »
Encore des sauvages qui ont sauvagement tenté de forcer des barrages de CRS d'après zlu et les autres officiels du gouvernement je suppose.
De véritables séditieux en plus puisqu'ils foncent sur les dit barrages de dos pour faire croire à des bavures policières.
#yorarien
Il ya quelques années pas grand monde ne croyait ce genre de témoignage.
Maintenant tout le monde est au courant.
Le problème c'est qu'une bonne partie approuve.
Un trognon de pomme quand même, c'est une arme par destination, ce jeune homme a eu ce qu'il mérite.
Persos je vois plus encore une fois l'action des policiers "normaux" et pas des CRS/Gmobiles qui en général sont moins enclins à ratonner comme le ferait des mecs de la bac ou de police municipale/nationnale qui cumulent en général le QI d'huitre avec la passion pour les films de luc besson.
Un trognon de pomme quand même, c'est une arme par destination, ce jeune homme a eu ce qu'il mérite.
Persos je vois plus encore une fois l'action des policiers "normaux" et pas des CRS/Gmobiles qui en général sont moins enclins à ratonner comme le ferait des mecs de la bac ou de police municipale/nationnale qui cumulent en général le QI d'huitre avec la passion pour les films de luc besson.
Les productions Luc Besson tu veux dire ; les films Luc Besson même les plus crétins sont déjà trop intelligents.
C'est oublier un peu vite le 5eme élement ou Lucy
Un trognon de pomme quand même, c'est une arme par destination, ce jeune homme a eu ce qu'il mérite.
La guerilla armée de pomme et de chaise roulante: https://www.humanite.fr/ils-nont-pas-ho … ant-672296
Le problème c'est qu'une bonne partie approuve.
Le probleme c'est qu'il arrive jamais rien au keuf surtout (même filmés et avec xx témoins).
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