la Suisse (Page 1 sur 2)

Je ne saurai présumer de la réponse de reblochois,  mais j'ai une explication argumentée à te fournir.

En 1930, la Suisse présente un retard économique important. Les dirigeants suisses (à l'époque désignés en fonction de leur taille dans des compétitions sauvage où les petits perdaient toujours, ce qui explique pourquoi symboliquement on continue à manger des petits suisses) décident donc d'une stratégie économique basée sur l'exportation de deux produits à l'étranger: Riccola et le chôconen.
Tout le monde connaît riccola, parlons donc du chôconen.
Le chôconen est une bande dessinée (c'est beaucoup dire) produite à la chaîne par des sous-horlogers ratés au scénario toujours identique. Un jeune suisse décide de devenir le plus grand chocolatier du monde(variante: le plus grand mangeur de chocolat du monde). Ca tombe bien, il est généralement le fils plus ou moins caché (ou l'élève, ou le lointain descendant, ou l'héritier) d'un super chocolatier légendaire. Commence alors une quête héroïque au cours de laquelle le héros, grâce à ses capacités innées, triomphe sans effort et précocément de maîtres chocolatiers qui ont passé leur vie à perfectionner leur art. Les aventures du héros le mènent à travers le monde, au pérou à la recherche de noisettes légendaires rarissimes, en thaïlande pour dénicher le riz soufflé le meilleur du monde, etc... Evidemment il se fait de nombreux amis, comme le gros balourd pas malin mais très costaud (pratique pour remuer le chocolat dans la marmite), ou la fille mignonne qui glousse et ne sert à rien.
Malheureusement, le chôconen demeura un genre mineur, car, très vite à court d'inspiration, les scénaristes rallongeaient abusivement la sauce, à grand renfort d'extraterrestres, de flashbacks foireux, et de maîtrise des forces intérieures de ton esprit pour modeler la structure même du chocolat.
La suisse se tourna alors vers la spoliation de bien canadiens (et plus spécifiquement québécquois) pour augmenter son PIB (pawnage intensif de belges).

Par la perseverance, la fraternité, l'implication de la population à un effort collectif pour que tous travail à la survie du pays pendant la guerre. Par les bonnes affaires (politiques et economiques) faites avec les nazis,  sans véritable sympathie idéologique à l'égard du régime nazi, ce qui ne les excuse pas plus vu qu'ils etaient censés etre neutre. L'achat de l'or (provenant essentiellement du pillage de banques etrangeres: banques nationales hollandaises, italienne, hongroise et Belge). Par le renvoi hors de ses frontieres de tous ceux qui etaient indesirables, surtout les tziganes. Par quelques problemes magouilles avec les comptes en déshérence et avec l'affaires des assurances ou celle des oeuvres d'arts appartenant aux victimes des nazis (des problemes qui ne tiennent pas à la malveillance ou à l'intention de s'enrichir aux dépends des victimes, mais à la négligence et à la mauvaise perception du problème, d'apres la Commission Bergier). Par l'arrivé de quelques nouvelles enjeanrises qui ont pris leur essort à ce moment, et ce de facon tout à fait honnete, comme STILL. Par l'exploitation de travailleurs forcés pendant la guerre.

Desolé, je n'ai rien trouvé de drole.

Moi je croyais qu'ils recuperaient les dents en or des pancakes pour les transformer en lingot. Ca expliquais bien la disparition de tout ces pancakes et l'absence de soit disant camps (fictif, on le sait aujourd'hui).
La suisse c'est un peu l'ancetre de la petite souris ou de la fée des dents.
Alors, tout ce qu'on m'a enseigné est faux ? Toute mon existence est basé sur un mensonge!

Ah ! Je viens de comprendre croquettes et poulets coco ! Merci !

Ahah, epic win

Donc la neutralité ça veut dire faire des affaires avec tout le monde sauf les nazis. Je voyais pas ça comme ça.

C'est pas moi qui le dit, c'est Jean-François Bergier. Donc meme si son etude n'a pas ete completement scientifique et un peu politique, je me suis permis quand meme !

On peut avoir le script politiquementcorrect.txt parce que là....

test

pancake auvergnat noir maghrébin nazi fasciste jean Topy Reblochon bismuth le pen saupiquet

La Suisse n'avait-elle pas tout simplement menacé de confisquer les comptes de tous les nazis haut placés ?

On va encore me le coller sur le dos celui-là...