Re : [lecture] now reading
on note que la tête de la femme a une forme de gland, c'est donc cela le bon goût vénézuélien
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on note que la tête de la femme a une forme de gland, c'est donc cela le bon goût vénézuélien
si ça trouve ce truc coûte une fortune aujourd'hui
combien mettez vous sur la table pour l'obtenir, zeuch ?
ahh les couilles sont bien faites aussi dites donc. Une bouteille de Label 5 de 2012 vous irait ?
j'ai aussi ces beaux stylos billes ramenés de Ensenada
A l'instar de la corne de rhinocéros, certains peuples asiatiques prêtent aux ongles de Maurice des vertus aphrodisiaques. Malin le vieux : pour ne pas se faire braconner il se les bouffe jusqu'au sang !
j'imagine que ces beaux objets sont offerts pour toute location d'une prostituée de 19 ans, superbes
Le film va être un désastre aussi, plus on en apprend plus les facepalms s'enchaînent : le look horrible du clown qui ressemble plus à un super-vilain d'une merde de comics, les enfants qui deviennent des ados, l'action transposée dans les 70s, et le montage complètement idiot.
Oh tu exagères, je suis persuadée qu'il a marqué des générations ce film ... (vu pour ma part vers mes 8/9 ans, ce qui est certes pas énorme pour être bien regardant, mais quand même, y'a des scènes limite cultes je crois).
Ah merde j'ai coupé Maurice qu'allait nous raconter son expérience putesque à Madagascar
Il sert à quoi sinon cet objet avec les genre de singes qui font l'amour? Ça se fume?
Je ne parle pas du truc avec Tim Curry mais de celui qui va sortir en septembre.
Je sais pas, tout ce que tu décrivais me faisait penser à celui là justement (l'adaptation de 1990)
L'adaptation de 90 est vraiment cheap aussi, je l'ai revue l'autre jour, ça fait pitié. Le bouquin aurait dû être adapté en série, c'est trop dense pour un film, il y a un nombre hallucinant de personnages, il y a des scènes géniales qui pourraient faire un épisode d'une heure facile — l'incendie du Black Spot. Le personnage principal du film, au final, c'est la ville, Derry. C'est trop compliqué d'expliquer ça en deux heures.
Pour autant, le téléfilm avec Curry essayait de coller au roman, mais là ils vont changer tout l'ADN du livre : rien que mettre des ados à la place d'enfants, ça n'a plus aucun sens.
Je suis sortis de ma zone de confort avec ceci :
Je ne lis que très peu de polars et j'ai réussi l'exploit de ne jamais lire de Dantec jusqu'ici. Rien d'intentionnel cela dit. Arrivé à la moitié, je ne sais pas vraiment si je vais avoir la force d'arriver au bout.
L'enquête est très sympa, j'aime assez l'univers et la réflexion autour du "crime absolu" et de la modernité et l'auteur a une plume, aucun doute.
Mais putain, il aime s'écouter écrire. A côté de l'écriture typique polars vraiment maitrisé et à la fois percutante et exigeante, il y a des passages entiers presque métaphysique et surtout imbitables.
C'est comme ça tout le temps chez lui ?
Je n'ai pas de problème à lire quelque chose de très théorique et abstrait mais là ça coupe inutilement les très bons passages qui suivent l'enquête.
Edit : je ne parle volontairement pas de la discussion sur le remake de It, je vais devenir grossier très vite sinon. Le téléfilm original a de nombreux défauts mais le clown était terrifiant, au moins. Là, j'ai juste envie de pleurer.
Non, Dantec il faut lire les premiers, après sa conversion il commence à partir un peu en vrille, c'est souvent intéressant, mais parfois c'est barbant et ampoulé, mais il a toujours des moments de lyrisme qui le mettent au-dessus du lot.
Le téléfilm original a de nombreux défauts mais le clown était terrifiant, au moins. Là, j'ai juste envie de pleurer.
Oui, voilà.
Pour Dantec, le summum ce sont les racines du Mal et peut être Babylon Babies.
Pour Dantec, le summum ce sont les racines du Mal et peut être Babylon Babies.
Les racines du mal, sirène rouge (qui bute) et à la limite babylon babies, mais ça commence déjà à être meta.
Merci mes bons, je met ça sur ma liste et je pose Villa Vortex sur le chevet en attendant que l'envie me revienne. Mais Aliocha a trouvé les mots : "barbant et ampoulé".
Le mec sait écrire, impossible de dire le contraire, mais ça fait plus "j'ai envie de t'en mettre pleins les mirettes" qu'autre chose.
Bref.
Pour passer le mauvais gout, j'ai lu deux petites perles dans une collection sublime :
Cérès d’un côté, Vesta de l’autre. Deux astéroïdes colonisés par l’homme, deux mondes clos interdépendants qui échangent ce dont l’autre est dépourvu — glace contre roche. Jusqu’à ce que sur Vesta, l’idée d’un apartheid ciblé se répande, relayée par la classe politique. La résistance s’organise afin de défendre les Sivadier, cible d’un ostracisme croissant, mais la situation n’est bientôt plus tenable : les Sivadier fuient Vesta comme ils peuvent et se réfugient sur Cérès. Or les dirigeants de Vesta voient d’un très mauvais œil cet accueil réservé par l’astéroïde voisin à ceux qu’ils considèrent, au mieux, comme des traîtres…
100 pages de très très haute qualité. Le sujet est traité de manière très adulte, le mec ne prend pas ses lecteurs pour des idiots. On est loin des poncifs "il faut sauver l'humanité/La terre/L'univers" qui polluent le genre.
Direct dans mon Top 10 des "nouvelles" (bon c'est un poil plus gros qu'une nouvelle classique quand même) SF.
Kit Meinem d’Atyar est peut-être le plus doué des architectes de l’Empire. Peut-être… et tant mieux. Car il lui faudra convoquer toutes ses compétences, l’ensemble de son savoir pour mener à bien la plus fabuleuse qui soit, l’œuvre d’une vie: un pont sur le fleuve de brume qui de tout temps a coupé l’Empire en deux. Un ouvrage d’art de quatre cent mètres au-dessus de l’incommensurable, cette brume mortelle, insondable, corrosive et peuplée par les Géants, des créatures indicibles dont on ne sait qu’une chose : leur extrême dangerosité… Par-delà le pont… l’abîme, et pour Kit une aventure humaine exceptionnelle.
Le pitch ne rend pas du tout honneur à la qualité du truc. Des personnages attachants, une pointe de fantastique/fantasy et de naturalisme, des réflexions sympas autour du progrès et de ses implications.
Là aussi, t'en sors avec l'envie de lire 100 pages de plus.
L'adaptation de 90 est vraiment cheap aussi, je l'ai revue l'autre jour, ça fait pitié. Le bouquin aurait dû être adapté en série, c'est trop dense pour un film, il y a un nombre hallucinant de personnages, il y a des scènes géniales qui pourraient faire un épisode d'une heure facile — l'incendie du Black Spot. Le personnage principal du film, au final, c'est la ville, Derry. C'est trop compliqué d'expliquer ça en deux heures.
Pour autant, le téléfilm avec Curry essayait de coller au roman, mais là ils vont changer tout l'ADN du livre : rien que mettre des ados à la place d'enfants, ça n'a plus aucun sens.
Vu pour la première fois au début des années 2000, ça avait déjà bien vieilli. La première partie faisait toujours flipper mais la partie "araignée" était ridicule, un peu comme l'adaptation film TV des langoliers ou des tommyknockers.
Du coup j'oserais pas le revoir aujourd'hui.
Tiens je repense a Maximum Overdrive du coup : une merde qui ne vaut que pour la scène de la cannette.
Et encore, les effets spéciaux des Langoliers sont hilarants, mais ce n'est pas grave, parce que la scène dure trois minutes, mais l'essentiel du film suit l'intrigue du livre, c'est essentiellement des dialogues et de l'enquête, donc ça passe crème.
Une enquête sur comment les plus hautes instances on géré le processus qui a aboutit à la guerre du vietnam et ensuite la guerre elle-même. Pourquoi l'administration Kennedy (puis Johnson après le malheureux accident de Kennedy) avec tous ces super-cracks se sont plantés comme des merdes.
C'est très détaillé, ça explique le parcours de chacun des acteurs dans le détails, pour tenter d'expliquer leur réaction lors de cette escalade de la connerie. Quand tu te tapes un résumé de la bio de Dean Rusk (secrétaire d'état) tu fais un peu la gueule parce que c'est pas palpitant, en revanche quand ça s'attaque à McNamara c'est plus drôle, le mec est quand même impressionnant. Évidemment ça s'attarde aussi grandement sur le contexte historique, guerre froide, sortie du mccartisme. Résultat: 800 pages.
À l'époque "establishment" avait vraiment un sens. les mecs ont tous fait les mêmes écoles, se rencontrent dans les même clubs, l'administration Kennedy (démocrate) hésite pas à nommer des républicains à des postes clés (ont est entre gentlemen). Bref tout ça a bien changé.
Un des titres que l'auteur avait imaginé pour ce bouquin est "the establishment war."
Ce qui est cool c'est qu'ils prennent tous super cher (à part Kennedy qui est mort avant de pouvoir faire les plus grosses boulettes et qui avait été refroidi par la baie des cochons de toute façon). Ce bouquin marque un peu la fin du respect pour l'establishment aux US (il est sorti en 1972, donc avant même la fion de la guerre, il a été amendé après je crois).
J'ai commencé la saga The blade itself, https://www.goodreads.com/book/show/944 … ade_Itself
C'est pas mal du tout comme fantasy, ça se lit bien. Un petit long à rentrer (peu de contexte sur le monde dans lequel l'histoire se passe) dedans, mais ça se passe bien.
Je viens de lire Peste et choléra, la bio romancé du découvreur du bacille de la peste.
C'est mignon mais ça m'a pas passionné (et les phases ou l'auteur se projette dans le passé en fantôme invisible au secours)
en revanche quand ça s'attaque à McNamara c'est plus drôle, le mec est quand même impressionnant.
Hors Vietnam mais de mémoire c'est quand même lui qui a théorisé le mutually assured destruction. J'hésite entre pas si con car on a effectivement pas eu de guerre nucléaire malgré l'escalade idiote de la guerre froide, et complètement timbré tout de même
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