Re : Les aphorismes de Bernard-Henri Lévy
LeChat il aime pas gâcher...
Méchant Israël, alors que ses voisins étaient si ouverts à son existence même
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LeChat il aime pas gâcher...
C'est pour nous faire constater le nivellement par le bas de l'orthographe depuis 2008.
Putain le mec, "l'antisemitisme c'etait mieux avant".
Du coup l'antisionisme c'est effectivement de l'antisémitisme ?
Oui je crois qu'il le dit aussi à un autre moment.
L'anti-BHLisme est un antisémitisme
J'ai l'impression qu'il est invité dans cette émission tous les six mois. Est-ce qu'au moins il critiquent un peu ses livres ?
Et merde, sur deux ou trois choses, je suis d'accord avec BHL http://www.liberation.fr/debats/2016/02 … e-_1430829
Vous ne croyez pas à «l’identité malheureuse», telle que la décrit donc Alain Finkielkraut ?
Finkielkraut est quelqu’un, je vous le répète, pour qui j’ai de l’estime. Mais il commet, à mon sens, deux erreurs. D’abord, se fixer sur cette question d’identité : toute la philosophie moderne, d’Adorno à Foucault et Lacan en passant, à nouveau, par Sartre, est là pour dire que ce qui est intéressant, c’est ce que l’on devient au moins autant que ce que l’on est. Et puis surtout, entre sa défense de Renaud Camus et sa fixation sur l’islam, il nourrit, à mon sens, une conception dangereusement batailleuse de cette identité : qu’il y a une bataille à l’intérieur de l’islam, c’est évident ; que cette bataille (en gros, l’islam des Lumières versus l’islam fondamentaliste et jihadiste) soit la grande bataille de notre époque, c’est aussi mon avis ; mais que l’islam, comme tel, soit en bataille avec la France, ça, je ne le crois pas - et je crois que le donner à croire est terriblement périlleux.
Vos adversaires vous taxent de naïveté historique. Ils vous reprochent d’avoir cru que les droits de l’homme pouvaient l’emporter partout et qu’il suffisait d’écarter les tyrans pour que l’évidence du bien triomphe.
Je n’ai jamais pensé cela. J’ai cru, en revanche, que quand un peuple se soulève, quand il est étripé pour cela et qu’il vous appelle désespérément à son secours, votre devoir est de lui répondre. Ça, pour le coup, c’est la vraie mémoire de la gauche. L’internationalisme contre le non-interventionnisme. Le souci du monde contre le nationalisme. La générosité contre cette saloperie qu’est, aujourd’hui comme hier, le souverainisme. C’est quoi, le souverainisme ? C’est l’idée que le droit n’existe pas ou qu’il est, plus exactement, sujet à la loi des frontières.Prenez l’exemple de la Libye, où la chute de Kadhafi, provoquée par une intervention militaire occidentale, a instauré un chaos meurtrier dont profitent les islamistes.
L’islamisme est une histoire ancienne qui remonte - au minimum - à l’Algérie des années 80 et à l’Iran de la révolution khomeyniste. Réduire cet ébranlement colossal, cette révolution, à l’épisode libyen n’a pas de sens.Avec le recul, beaucoup disent qu’il valait mieux laisser Kadhafi en place.
Recul pour recul, et si on veut vraiment jouer au jeu de prophéties rétrospectives, savez-vous ce qui est le plus probable ? Si on n’était pas intervenu, si on avait laissé Kadhafi aller au bout de ses projets meurtriers, la Libye serait devenue une deuxième Syrie.Une «deuxième Syrie» ?
Oui. Parce que je veux bien que l’on ait, avec la Libye, un modèle de ce que peut donner, en mal comme en bien, une intervention. Mais alors, il faut admettre que l’on a, avec la Syrie, le modèle, symétrique encore, de ce que donne la non-intervention. Bilan ? Un pays vidé de ses habitants. Le flot des réfugiés et des migrants. Et 300 000 morts. Et Daech, non pas dans trois villes, mais dans la moitié du pays.
Donc, aucun regret ?
Aucun, bien sûr.
Heureusement, la dernière question et sa réponse me conduisent à mettre en doute la vertu de sa génitrice et à évoquer l’hypothèse qu'elle se soit donnée pour de l'argent.
Non-intervention en Syrie ?
Non-intervention en Syrie ?
oui : la DGSE n'a pas coordonné les rebelles "choisi" pour le prochain gouvernement pendant que la marine bombardait massivement
Et merde, sur deux ou trois choses, je suis d'accord avec BHL
De la grosse démagogie à deux balles et tu sautes à pieds-joints dedans. Ta crédulité n'a d'égal que ton appétit.
Et qu'est-ce qu'il est capable de raconter comme merde sans trembler du menton. Chapeau l'artiste. Un vrai pro. Il aurait pu devenir président... si ça rapportait plus.
En plus de sa capacité à éluder les questions et a mentir, il est aussi bien incapable de reconnaitre la moindre de ses erreurs.
Cela dit il n'a pas tord pour l'antisémitisme, on est passés de Drieu la Rochelle à « Stéphane Guillon, j'ai baisé ta femme ».
Ah ? Soral c'est l'antisémitisme de France à lui tout seul ? J'avais plutôt entendu dire l"autre ex-président de SOS-Racisme, député PS, que c'était surtout dans « les cités » que l'antisémitisme prenait de la vigueur en France. D'ailleurs il s'était bien fait engueulé par ses copains PS qui lui ont dit qu'il racontait n'importe quoi.
Non mais c'est comme dire que le cinéma est passé de Godard à Dubosc.
Ah, dire que c'était mieux avant. Ok. Comme tout le reste.
Oui regarde Hitler c'était autre chose que Fofana.
Ah ? Soral c'est l'antisémitisme de France à lui tout seul ? J'avais plutôt entendu dire l"autre ex-président de SOS-Racisme, député PS, que c'était surtout dans « les cités » que l'antisémitisme prenait de la vigueur en France. D'ailleurs il s'était bien fait engueulé par ses copains PS qui lui ont dit qu'il racontait n'importe quoi.
Islamistes, tripoteurs et antisémites, ben dis donc. Salauds de pauvres, quand même.
C'est les costumes. Ils étaient forts sur les costumes.
Et avant que tu dégaines, je conçois tout à fait qu'on puisse être exclu économiquement ET dire et faire de la merde.
thedarkdreamer a écrit:Et merde, sur deux ou trois choses, je suis d'accord avec BHL
De la grosse démagogie à deux balles et tu sautes à pieds-joints dedans. Ta crédulité n'a d'égal que ton appétit.
Rien n'égale mon appétit.
Et avant que tu dégaines, je conçois tout à fait qu'on puisse être exclu économiquement ET dire et faire de la merde.
Bah oui car si ils étaient intelligents ils ne seraient pas pauvres.
Non mais c'est comme dire que le cinéma est passé de Godard à Dubosc.
Et alors, on attend pas Camping 2?
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