Re : [lecture] now reading
Perfidia , le dernier Ellroy. Une tuerie, comme d'habitude.
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Perfidia , le dernier Ellroy. Une tuerie, comme d'habitude.
J'ai pas reussi a finir, il m'a perdu au bout de 200 pages.
Perfidia , le dernier Ellroy. Une tuerie, comme d'habitude.
Cool je note.
Dans le Contrevent, je n'ai pas accroché aux plagiats de Nietzsche jetés dans un délire de Deleuze chez Star Wars.
J'ai testé, pour toi Asile mon amour, de la vulgarisation historique : http://www.lefigaro.fr/histoire/livres/ … ombres.php
Pourquoi ?
je ne sais pas trop. Un moment de faiblesse dans le rayon biographie historique ? Je n'avais pas remarqué le petit logo "Figaro histoire" sur le devant, sinon je me serais peut-être un peu méfié, quand même. c'est con, parce que la liste des auteurs est quand même pas mauvaise non plus :
Jean Barbey, Lucien Bély, Yves-Marie Bercé, de l'Institut, Emmanuel Bury, Jean-Philippe Cénat, Jean-Marie Constant, Joël Cornette, Bernard Cottret, Mathieu Da Vinha, Sylvio De Franceschi, Jean-Paul Desprat, Françoise Hildesheimer, Jean-Claude Le Guillou, Alexandre Maral, Emmanuel Pénicaut, Jean-Pierre Poussou, Thierry Sarmant, Jean-François Solnon.
Protip pour Reblochon : ici, pleins de noms d'historiens que je ne déteste pas.
Autant être clair tout de suite, les ceussent qui ont déjà une connaissance historique de la France du 17ième n'apprendront rien, à parte quelques anecdotes et bons mots de Louis XIV.
Pour les autres, ça ne sera pas du gateau non plus. En vrac, les problèmes, tous liés il me semble avec le découpage du bouquin en une série d'articles :
- Incroyable le nombre de répétitions d'un chapitre sur l'autre.
- Certains sujet (le Roi et la Guerre) sont traités plusieurs fois par des auteurs différent plutôt qu'un seul article faisant la synthèse. Idiot.
- Les articles sur la religion sont illisibles. Franchement, ça s'adresse à des non-spécialistes ? Celui sur le jansénisme est l'archétype de la production universitaire imbuvable.
- On survole tout sans donner les clés nécessaires pour comprendre. De plus, l'agencement des articles est quand même douteux : il faut attendre le dernier quart du bouquin et le 4ième texte sur la guerre pour avoir les nombres sur la démographie de la France et de son armée. Sans eux, comment on est censé comprendre les 3 productions précédentes ?
Tout n'est pas à jeté. L'effort est mis sur la psychologie de Louis et les différentes dimensions de ce roi hors-norme.
Du coup, on peut éventuellement glaner quelques informations sympa au fil de la lecture et avoir une vision un peu plus nuancé que l'image d'Épinal du Roi Absolu.
À celui où celle qui serait quand même tenté, il est largement préférable de se taper un (bon) manuel sur la période ou aller chercher dans la biblio de certains des auteurs (notamment Cornette et son excellent bouquin "Le roi de guerre").
Pour me purger, j'ai choisi d'attaquer la bio de Saint-Louis par Le-Goff en 1200 pages (ouch).
Tu n'as plus qu'à te consoler avec Gaxotte et son Siècle de Louis XV dont le titre à lui seul est un troll
Et il remue le couteau dans la plaie, en plus !
Sinon, j'ai d'autres références à te filer pour ta demande la dernière fois. Tu as pu commencer un truc ?
Nope, je termine ce que j'ai commencé, Sophocle, et c'est surtout que je n'ai pas encore eu le temps de passer en librairie pour trouver tout ça, mais envoie toujours je note tout !
Ok.
Alors j'avais pas pensé tout de suite à Clive Barker mais c'était tellement évident (King dit de lui que c'est le "futur de l'horreur", après tout) : tu as le recueil de nouvelle livre de sang qui à l'air pas mal du tout.
Tu peux aller voir du côté de Lucius Shepard qui a écrit Aube écarlate. Pour moi c'est un peu trop classique mais ça peut éventuellement passer. Sinon, il y a évidemment Richard Matheson. I am Legend se lit (si on oublie Will Smith) et La maison des Damnés a un petit quelque chose de pervers (mais un peu trop oldschool pour moi).
Je te donne les références que je connais et que j'ai lu pour chaque auteur mais ça ne veut pas dire que le reste est à jeter. D'ailleurs, si tu tombes dans ta recherche sur des pépites, ce serait bien que tu les partages ici aussi parce que je suis aussi en maque d'horreur.
Il y a de bons Masterton (quand il ne fait pas une fin scoubidou à la Edika "mais en fait c'est lui le tueur hop the end").
Ouais livre de sang de clive barker est sympa.
Je recommande chaudement les adaptations bd faites de ses trucs aussi.
Surtout Dread (à offrir a tout les vegans du monde), tapping the vein et the life of death.
Ah j'ai lu Barker et Matheson. Barker j'aime moins que King quand même, quoiqu'il a écrit Candyman et quelques trucs vraiment barrés. Mais par contre j'avais beaucoup aimé les comics, même si je n'ai lu que la série sur Hellraiser, je vais jeter un œil à ceux dont tu parles Kefka.
la liste des auteurs est quand même pas mauvaise non plus :
comme quoi, même quand tu les aimes, ça reste de la merde.
Tu as oublié le fromage ou ?
Parce que la plupart des articles ne sont pas mauvais (à l'exception de celui sur le Jansénisme, inutilement compliqué). Normal, les gens qui les ont écrits sont des historiens de métier : Bely, Cornette, Cénat, Constant, Hildesheimer, par exemple. D'ailleurs, il suffit d'aller voir leurs autres publications (livres, conférences, articles) et d'être un minimum curieux pour voir la différence entre un historien et un homme politique ou un journaliste se prenant pour un...
(En parlant de ça, j'ai toujours en tête cette allocution de Le Goff au sujet du métier d'historien : https://www.canal-u.tv/video/universite … stoire.947 C'est cadeau. Ca commence vraiment à partir de la 2ième minute environs. C'est long et chiant, comme toute bonne conférence.)
Ce que je critique, c'est surtout le travail éditorial qui fout en l'air une bonne idée. Maintenant, si on veut lire sur la période, il y a des tas d'autres bouquins bien mieux foutus.
Mais bon, j'imagine que c'était juste une pirouette histoire de dire quelque chose.
Je pense que tu as oublié le fromage dans ta critique alors. Tu as même du te purger ! Pour une liste de grands historiens ... ça laisse songeur. Comment ces gens ont accepté de faire un bouquin aussi pourri qui ressemble à une suite d'articles, avec des répétitions et cela en survolant avec légèreté des sujets sans en donner les clefs. Merde, je me serais attendu à mieux. Ils avaient besoin de sous ?
(je déballe jamais mes cadeaux avant noël)
Ils avaient besoin de sous ?
Ils ont eu les miens, en tout cas, les bâtards.
Ils avaient besoin de sous ?
Comme tout le monde. Sans déconner quand tu participes à ce genre d'entreprise, tu envoies ton article et c'est tout, tu n'as pas de droit de regard sur le recueil général. Cela arrive souvent qu'il y ait du drama parce qu'au final le livre est différent de ce qui avait été promis. C'est généralement le directeur qui est en cause.
Qu'on l'exécute !
Ça semble être un sacré monde de merde au moins égal au showbiz.
L'édition ? Ça fait cinq siècles que ça dure.
Seul sur Mars
C'était vraiment cool.
L'arbre aux haricots 1 et 2 De Barbara Kingsolver. Je suis vers la moitié du premier j'editerai pour donner mon ressenti.
Taylor Greer n'a pas l'intention de finir ses jours dans le Kentucky, où les filles sont mères avant d'apprendre leurs tables de multiplication. Le jour où elle quitte le comté de Pittman au volant de sa coccinelle Volkswagen, elle est bien décidée à rouler vers l'Ouest jusqu'à ce que sa voiture rende l'âme. Mais, dans le désert de l'Oklahoma, sur le parking d'un bar, elle trouve une petite Indienne. Ce mystérieux cadeau du destin va changer radicalement son existence
Sinon j'ai relu "no pasaran, le jeu". Ma soeurette l'a emprunté à sa bibliotheque au lycée et je l'ai bouffé en deux heures. Plein de clins d’œil gamer old school c'est sympa
Thierry, Éric et Andreas sont trois camarades de classe liés par leur passion commune pour les jeux sur ordinateur. Pendant un voyage scolaire à Londres, ils font une escapade qui les mène dans un magasin spécialisé, une caverne d'Ali Baba pour fanatiques de simulation sur petit écran. Mais le marchand, un vieil homme, remarque sur la poitrine d'Andreas un insigne auquel ses camarades n'avaient pas accordé d'attention. Il murmure "Ça ne finira jamais…" et leur donne un jeu. En leur ordonnant d'y jouer. Un jeu "d'enfer". Quand le virtuel rejoint le réel, quand le passé pare l'actualité d'un désagréable air de déjà vu, le frisson n'est pas loin. Celui qui attend les trois héros de cette histoire est du genre "grand frisson". Ils en ressortiront profondément bouleversés, tout comme le lecteur de ce roman qui se déroule sur fond de guerre, proche et lointaine à la fois, en Bosnie, et où ressurgissent les fantômes des poilus de 14-18, des martyrs de la guerre d'Espagne, des déportés de la Seconde Guerre mondiale. Une plongée passionnante dans l'étrange et dans la réalité, en même temps qu'une terrifiante approche des sentiments humains les plus vils. Pour une prise de conscience aussi, de l'importance du savoir et du souvenir.
C'est très gentil à toi de recopier les quatrième de couverture
Oui, c'est plus pratique pour faire un choix !
oui mais il manque les critiques, du coup c'est pas facile de se laisser convaincre.
"Sublime" - Figaro Madame
"Un roman générationnel qui fera ressortir la bête qui sommeil en vous" - Elle
"Le meilleur polar depuis La Bible" - les inrocks
Tout ce que je retiens, c'est qu'Aeneman vient de perdre vingt balles…
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