Re : [lecture] now reading
Je n'arrive pas à comprendre comment on peut croire que l'on va obtenir quelque chose de quelqu'un en se montrant désagréable avec lui.
JC Denton: My vision is augmented.
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Je n'arrive pas à comprendre comment on peut croire que l'on va obtenir quelque chose de quelqu'un en se montrant désagréable avec lui.
Va expliquer ça à un patron connard.
Niark, dévoue toi et suce-le.
suce-le jusqu'à ce que mort s'en suive
J'enquille avec l'anime pour voir
Il a vécu à Lolif dans la Manche juste à coté de chez moi, ça en fait un chic type
J'ajoute que lorsqu'il fait un plateau tv, et bien il donne vraiment envie d'acheter ses bouquins, il spoile à mort en rigolant, "arf s'ils n'achètent pas le livre ils iront voir le film ou les deux"
tout est pratiquement adapté
maqué avec Miou Miou
Dr Adder de Jeter :
On en parle souvent comme du premier roman Cyberpunk (avec Neuromancien) mais l'auteur est très critique à propos de cette appellation. Il est fini en 1972, publié dix ans plus tard, un peu parce que K. Dick va faire du lobbying pour que ça arrive.
C'est excellent, exagérément violent, cru, sans trop d'espoir.
10 bites sur 10.
Jette toi dessus, pute vierge.
Voici le pitch :
L.A. est partagé entre d'un côté la Zone-Rat, où échouent les marginaux et les membres du Front de libération, et de l'autre le comté d'Orange, repaire des nantis drogués à leur poste de télévision. Entre les deux, l'Interface, zone neutre où déambulent les putes modelées selon les désirs et pulsions secrètes des clients par le bistouri du Dr Adder, idolâtré par certains, voué aux gémonies par d'autres.
E. Allen Limmit a quitté son Phoenix natal et son Unité de ponte pour vivre lui aussi la grande aventure de L.A. Poussé à rencontrer le fameux chirurgien, il ne se doute pas qu'il va être pris entre les feux croisés du docteur et ceux de son ennemi juré, John Mox, télévangéliste à la tête de l'armée des Forces morales au sein d'une ville à l'âme aussi vérolée que désespérée…
Dr Adder de Jeter :
On en parle souvent comme du premier roman Cyberpunk (avec Neuromancien) mais l'auteur est très critique à propos de cette appellation. Il est fini en 1972, publié dix ans plus tard, un peu parce que K. Dick va faire du lobbying pour que ça arrive.
C'est excellent, exagérément violent, cru, sans trop d'espoir.
10 bites sur 10.
Jette toi dessus, pute vierge.Voici le pitch :
L.A. est partagé entre d'un côté la Zone-Rat, où échouent les marginaux et les membres du Front de libération, et de l'autre le comté d'Orange, repaire des nantis drogués à leur poste de télévision. Entre les deux, l'Interface, zone neutre où déambulent les putes modelées selon les désirs et pulsions secrètes des clients par le bistouri du Dr Adder, idolâtré par certains, voué aux gémonies par d'autres.
E. Allen Limmit a quitté son Phoenix natal et son Unité de ponte pour vivre lui aussi la grande aventure de L.A. Poussé à rencontrer le fameux chirurgien, il ne se doute pas qu'il va être pris entre les feux croisés du docteur et ceux de son ennemi juré, John Mox, télévangéliste à la tête de l'armée des Forces morales au sein d'une ville à l'âme aussi vérolée que désespérée…
bah si en 72 c'était de la SF, en 2015 c'est quasi dans le mille non ?
NiarkNiark a écrit:Dr Adder de Jeter :
On en parle souvent comme du premier roman Cyberpunk (avec Neuromancien) mais l'auteur est très critique à propos de cette appellation. Il est fini en 1972, publié dix ans plus tard, un peu parce que K. Dick va faire du lobbying pour que ça arrive.
C'est excellent, exagérément violent, cru, sans trop d'espoir.
10 bites sur 10.
Jette toi dessus, pute vierge.Voici le pitch :
L.A. est partagé entre d'un côté la Zone-Rat, où échouent les marginaux et les membres du Front de libération, et de l'autre le comté d'Orange, repaire des nantis drogués à leur poste de télévision. Entre les deux, l'Interface, zone neutre où déambulent les putes modelées selon les désirs et pulsions secrètes des clients par le bistouri du Dr Adder, idolâtré par certains, voué aux gémonies par d'autres.
E. Allen Limmit a quitté son Phoenix natal et son Unité de ponte pour vivre lui aussi la grande aventure de L.A. Poussé à rencontrer le fameux chirurgien, il ne se doute pas qu'il va être pris entre les feux croisés du docteur et ceux de son ennemi juré,John Mox, télévangéliste à la tête de l'armée des Forces morales au sein d'une ville à l'âme aussi vérolée que désespérée…
bah si en 72 c'était de la SF, en 2015 c'est quasi dans le mille non ?
pour ma part c'est niqué je pense.
j'ai jamais télévangélisté personne mais je veux bien apprendre néanmoins.
cordialement
Bestaflex a écrit:NiarkNiark a écrit:Dr Adder de Jeter :
On en parle souvent comme du premier roman Cyberpunk (avec Neuromancien) mais l'auteur est très critique à propos de cette appellation. Il est fini en 1972, publié dix ans plus tard, un peu parce que K. Dick va faire du lobbying pour que ça arrive.
C'est excellent, exagérément violent, cru, sans trop d'espoir.
10 bites sur 10.
Jette toi dessus, pute vierge.Voici le pitch :
bah si en 72 c'était de la SF, en 2015 c'est quasi dans le mille non ?
pour ma part c'est niqué je pense.
j'ai jamais télévangélisté personne mais je veux bien apprendre néanmoins.cordialement
Peut-être mais niveau "à la tête de l'armée des Forces Morales" tu te poses là.
c'est du nougat ce truc :
Je ne doute pas un instant que la grande sévérité de mœurs qu’on remarque aux États-Unis n’ait sa source première dans les croyances. La religion y est souvent impuissante à retenir l’homme au milieu des tentations sans nombre que la fortune lui présente. Elle ne saurait modérer en lui l’ardeur de s’enrichir que tout vient aiguillonner, mais elle règne souverainement sur l’âme de la femme, et c’est la femme qui fait les mœurs. L’Amérique est assurément le pays du monde où le lien du mariage est le plus respecté, et où l’on a conçu l’idée la plus haute et la plus juste du bonheur conjugal.
En Europe, presque tous les désordres de la société prennent naissance autour du foyer domestique et non loin de la couche nuptiale. C’est là que les hommes conçoivent le mépris des liens naturels et des plaisirs permis, le goût du désordre, l’inquiétude du cœur, l’instabilité des désirs. Agité par les passions tumultueuses qui ont souvent troublé sa propre demeure, l’Européen ne se soumet qu’avec peine aux pouvoirs législateurs de l’État. Lorsque, au sortir des agitations du monde politique, l’Américain rentre au sein de sa famille, il y rencontre aussitôt l’image de l’ordre et de la paix. Là, tous ses plaisirs sont simples et naturels, ses joies innocentes et tranquilles ; et comme il arrive au bonheur par la régularité de la vie, il s’habitue sans peine à régler ses opinions aussi bien que ses goûts.
Tandis que l’Européen cherche à échapper à ses chagrins domestiques en troublant la société, l’Américain puise dans sa demeure l’amour de l’ordre, qu’il porte ensuite dans les affaires de l’État.
Aux États-Unis, la religion ne règle pas seulement les mœurs, elle étend son empire jusque sur l’intelligence.
Le cercle de Farthing, de Jo Walton :
Huit ans après que «la paix dans l'honneur» a été signée entre l'Angleterre et l'Allemagne, les membres du groupe de Farthing, à l'origine de l'éviction de Churchill et du traité qui a suivi, fin 1941, se réunissent au domaine Eversley pour le week-end. Bien qu'elle se soit mariée avec un pancake, ce qui lui vaut d'habitude d'être tenue à l'écart, Lucy Kahn, née Eversley, fait partie des invités.
Les festivités sont vite interrompues par le meurtre de Sir James Thirkie, le principal artisan de la paix avec Adolf Hitler. Sur son cadavre a été laissée en évidence l'étoile jaune de David Kahn. Un meurtre a eu lieu à Farthing et un coupable tout désigné se trouvait sur les lieux du crime.
Convaincue de l'innocence de son mari, Lucy trouvera dans le policier chargé de l'enquête, Peter Antony Carmichael, un allié. Mais pourront-ils ensemble infléchir la trajectoire d'un Empire britannique près de verser dans la folie et la haine?
J'ai du le torcher en 3/4 soirs (bon signe, en général).
C'est confortable, bien pensé, un côté Agatha Christie pas dégueulasse. On se laisse prendre par l'histoire facilement, même si le personnage (la fille Eversley) ne botte pas trop à la base.
L'Uchronie est assez peu présente (mais son utilisation est intelligente) et on se focalise vraiment sur l'enquête policière en elle-même.
Quelques petits désagréments au niveau de la lecture parfois mais peut-être que c'est dû à la traduction.
8 bites sur 10 facile.
Jette toi dessus si t'aimes les bobbys, le thé et les complots.
Si tu l'as torché c'est un cercle de sharting alors.
A noter que la blague s’accommode parfaitement du titre original.
Enculé, va !
Je sais que beaucoup de fils ont kiffé La Horde du Contrevent de Damasio ici, bah y'a des français qui veulent l'adapter en mini série animée et le trailer défonce à certains moments.
https://www.kickstarter.com/projects/fo … vie-series
avec du son :
[video]https://d2pq0u4uni88oo.cloudfront.net/p … 4_high.mp4[/video]
Les personnages sont super moches je les ai jamais imaginé en armures métalliques, plus en vieux cuirs et tissus abîmés par le vent
Les personnages sont super moches je les ai jamais imaginé en armures métalliques, plus en vieux cuirs et tissus abîmés par le vent
Ils ont tout claqués dans les particules, plus de sous pour le char design et la modé
Y'avait pas une BO avec le bouquin aussi ? Parce que là la musique...
Et il me semble avoir lu que le studio Don't Nod (remember me, Life is strange) dont Damasio fait partie voulait aussi l'adapter en jeu épisodique.
Ah, Life is Strange c'est Damasio aussi ?
Je crois qu'il est juste consultant sur ce projet là. Je sais juste qu'il a participé à la création de Don't Nod.
Puisqu'on parle de Damasio, j'aimerai ajouter que ceux qui aiment le type et ses univers peuvent se jeter sur son bouquin de nouvelles "Aucun souvenir assez solide" qu'on trouve en poche.
C'est très bon et bien barré.
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