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Le Vrai Asile » Ask Hohun ! » Que pense tu du présidentiable Eric Zemmour ?
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Le coup de la télépathie est génial, très bonne mise en scène.
Ca me fait penser a l'animateur radio conspi hystérique dans deus ex HR qui s'appelle Lazarus justement.
Le coup de la télépathie est génial, très bonne mise en scène.
L'effet marker est super classe aussi.
J'ai toujours un peu d'affection pour les trolls de Jean Robin, aujourd'hui, Zemmour le marxiste : http://www.enquete-debat.fr/archives/to … iste-39161
Il est gratiné, celui-là.
Je connaissais pas le type, mais j'aime déjà beaucoup ce qu'il fait.
J'attends son ralliement à Marine, je mise sur un an avant les élections, de quoi participer à la campagne et espérer quelque chose. Peut-être après le changement de nom du parti.
Je crois que je vais abandonner le bouquin mais de ce que j'ai lu (60% environ) Alioakbar a sans doute raison, il est mur pour du bleu marine notre Zémmour.
Avant il se contenait (d'où ma déception sur ses précédents bouquins) mais là on a du "droit-de-l'hommisme" 5 fois par pages de temps en temps ainsi que tout le blabla FdS sur l'auvergnat de service qui asservit et manipule le français content d'être dans le camp des gentils. Le truc qui était ressorti lors du "Mohammed de Souche":
C’est drôle, à chaque fois qu’il y a un groupe d’ethnomasochistes moutonniers se prenant pour des rebelles, il y a au cœur de la bande un cpf plus malin qu’eux qui les mène par le bout du nez et qu’ils protègent comme une sorte de mascotte.
J’ai bien vu une dizaine de cas comme ça dans divers environnements (entreprises, administrations, clubs sportifs, forums internet, etc…).
Ce doit être le “je ne suis pas raciste, j’ai un ami noir” des temps modernes, plus hypocrite encore.
Bah y'a de ca dans le bouquin à plus ou moins ce niveau.
En très très gros si je dois résumer, la France sous une droite sociale à la De Gaulle c'était top. On disait merde à tout le monde, on avait une stature et on représentait quelque chose. Depuis on se couche devant tout le monde et la finance / les étrangers / les gays / la gauche / la droite /la culture anglo-saxonne ont détruit cette France.
Si je dois vite mater le choix politique aujourd'hui le seul parti qui propose quelque chose de "Gaullien" à la Zemmour c'est le FN.
Après j'ai pas lu la fin (et j'en ai pas le courage), peut-être qu'il déglingue aussi Marine qui sait...
Sinon pour exemple, le chapitre sur l'informatique:
12 août 1981
Du PC au PC
Quand on disait alors le PC, on parlait du parti communiste. Puis, le terme changea de sens. On s’habitua. À dire l’IBM PC, et puis, plus simplement, le PC, sans comprendre ou retenir que ces initiales signifient personal computer. Précision inutile. On avait bien remarqué que ces ordinateurs-là ne ressemblaient pas du tout aux énormes armoires vues dans 2001, l’odyssée de l’espace. Les hippies chevelus élevés dans les campus californiens des années 1960 avaient trouvé l’arme technologique qui briserait le monde standardisé et hiérarchisé de leurs parents ; les gigantesques ordinateurs de l’industrie d’après-guerre centralisés dans des salles immenses seraient remplacés par les ordinateurs individuels reliés en réseaux. Les esprits les plus poétiques songeaient à Lautréamont et à l’union improbable d’une machine à écrire et d’un téléviseur. Les différentes étapes de la gestation du beau bébé nous avaient échappé : en 1971, l’invention par Intel du premier microprocesseur, l’Intel 4004 ; la création du premier ordinateur vendu à des particuliers, l’Altaïr 8800, en 1975 ; le lancement de l’Apple II en 1977 ; et puis, en ce 12 août 1981, l’IBM PC, qui deviendrait, à force de millions d’exemplaires de multiples compatibles, le patron de nos bureaux.
Plus tard, on se rendrait compte que la France avait participé à cette aventure. Aux premières loges. Avec le Minitel, elle flirta avec internet ; avec le Micral, une société française, R2E, avait lancé dès 1973 la première machine vendue toute assemblée prête à l’emploi, que son inventeur, François Gernelle, avait appelée « micro-ordinateur ».
Comme pour l’avion ou l’automobile, les ingénieurs français avaient été au rendez-vous ; mais pas les commerçants ni les industriels. Banale histoire française. Tous les efforts du Plan calcul – et les milliards de francs dépensés par le général de Gaulle – se révélaient vains. Les petits bricoleurs inventifs made in France furent balayés par le rouleau compresseur américain, d’IBM à Apple, en passant par Microsoft, fondée en 1975 par Bill Gates et Paul Allen, qui, en cette même année 1981, édita l’un des trois systèmes d’exploitation pour l’IBM PC : le QDOS, qui devint rapidement le seul système installé d’office sur tous les IBM PC et les innombrables Compatibles PC, sous le nom de MS-DOS.
Le destin était tracé. L’Histoire était écrite. Plus rien ne serait comme avant : cette expression si galvaudée par les politiques et les publicitaires se révélerait pour une fois justifiée.
Notre génération aurait le privilège – et la malédiction à la fois – de vivre une nouvelle ère. Les historiens des Annales nous avaient enseigné que l’humanité avait connu une césure fondatrice au milieu du XVIIIe siècle, avec le lent passage d’une économie agricole (depuis la sédentarisation des anciens nomades, près de 2000 mille ans avant J.-C.) à une économie industrielle. Il nous faudrait peu à peu comprendre et admettre que nous connaissions une nouvelle transition fondamentale en ces années 1975-1981, avec le passage à l’économie informatisée.« Et la France dans tout ça ? » se demandait de Gaulle, en 1944, lors de son premier voyage à New York, impressionné malgré lui par la « ville debout » chère à Louis-Ferdinand Céline. Et la France dans tout ça ?
La France avait très mal vécu la première transition historique. Elle était la grande puissance agricole, le grenier à blé de l’Europe ; ses vastes et riches étendues de terres cultivables compensaient les faibles rendements. La première puissance démographique et militaire d’Europe. Les physiocrates lui avaient appris que l’agriculture était la seule richesse qui soit ; l’industrie et le commerce n’étaient que vil superflu.
Son déclin débuta en ce milieu du XVIIIe siècle avec le traité de Paris de 1763 qui vit s’imposer au firmament la nouvelle puissance industrielle, à l’époque la seule : la Grande-Bretagne.
Les trésors d’héroïsme militaire (Napoléon et 1914-1918) ne pourront rien face à la force économique de l’ennemi héréditaire. Seuls d’autres pays industriels comme l’Allemagne, et ensuite surtout les États-Unis, parviendront à contester puis abattre la suprématie britannique.
Les Français n’ont jamais aimé l’industrie, en dépit de grands et brillants entrepreneurs, tels Louis Renault ou André Citroën ; ils ont associé l’usine à un monde de souffrance, d’exploitation, de saleté et de bruit : l’usine, pour les Français, c’est Germinal.
L’industrialisation française sera fort tardive, et liée au volontarisme d’hommes d’État exceptionnels – sans remonter au précurseur Colbert, Napoléon III, de Gaulle et Pompidou. Une fois encore dans l’Histoire millénaire d’une nation façonnée par lui, tout partait de l’État et revenait à l’État, au contraire de nos voisins britanniques, italiens ou allemands, et plus encore de l’exemple américain.
Seule l’automobile échappera à ce ressentiment français. Sans doute parce que cette invention française permit à l’individu né de la Révolution de s’émanciper des sociabilités collectives, villageoises, familiales et religieuses, dont les citoyens français avaient été libérés par le Code civil.
L’automobile, c’était l’industrie telle que les Français avaient fini par l’aimer. Un État omniprésent et omnipotent, que les entreprises soient privées ou publiques ; des patrons généreux avec leurs ouvriers ; des usines qui fabriquent des biens de consommation de haut statut social, la fameuse DS, « cathédrale de notre temps », selon le mot célèbre de Barthes.
L’industrie automobile, où était née la religion fordienne (« Je donne des salaires élevés à mes ouvriers pour qu’ils puissent acquérir mes voitures »), correspondait à l’idéal égalitaire français, qui avait en revanche honni le premier âge inégalitaire de l’industrie, celui de Mark Twain et des « barons voleurs ».On ne tarderait pas à découvrir que l’âge de l’informatique produirait les mêmes bouleversements que celui de l’industrie ; nous ramènerait à ses débuts farouches. L’ordinateur personnel (et son corollaire internet) amplifierait le potentiel révolutionnaire de la vulgate idéologique soixante-huitarde : individualiste, cosmopolite, antihiérarchique, antiétatiste. Ni Dieu ni maître, ni frontière. L’informatique donnerait une réalité consumériste aux fameux slogans « Il est interdit d’interdire » et « Jouissez sans entraves ». Pour le meilleur et pour le pire, comme on le vit à partir des années 1990 dans le domaine de la musique, lorsque l’attrait de la gratuité détruisit l’industrie du disque et obligea les artistes à retrouver le chemin des salles de spectacle pour vivre, comme avant l’invention du microsillon, ruinant au passage cette grande invention française (Beaumarchais) du droit d’auteur.
Toutes les industries seront peu à peu menacées du syndrome musical. Certaines banques fermeront des agences, les distributeurs comme Darty ou la FNAC chancelleront, Virgin fermera ; les agences de voyage disparaîtront comme les librairies. Même l’État sera atteint par cette révolution. Les sous-préfectures seront en danger ; les bataillons de fonctionnaires aux Impôts ou même à l’Éducation dans le collimateur. Une administration devenue au fil du temps pléthorique vacillera ; un système bureaucratique envahissant, qui a son coût et ses lourdeurs, ses gaspillages et ses blocages, mais permettait aussi de tenir le choc en cas de crise grave, de chômage de masse, lorsque l’institutrice conservait son salaire alors que son mari ouvrier avait été licencié de son usine délocalisée ; une présence administrative nombreuse qui assurait aussi le maillage précis d’un territoire vaste et de faible densité, offrant une égalité réelle de traitement à tous les citoyens.
L’informatique encourage une décentralisation, une dispersion du pouvoir de décision contraire à notre tradition. Les hiérarchies intermédiaires sont dépassées, l’autorité doit se transmuer en animation. C’est le règne du cool, du (faux) sympa qui se trouve être un vrai tyran : Steve Jobs, Bill Gates, et les nouveaux grands patrons du CAC 40, se sont révélés des prédateurs de la meilleure eau. Encore une fois, la technologie des années 1970-1980 confirme et renforce le basculement comportemental et idéologique de Mai 68.
L’économie industrielle fut cruelle à ses débuts, mais elle était fondée sur l’échange entre un producteur et un consommateur ; le salarié étant aussi un consommateur, cet échange a fini par civiliser le capitalisme industriel. Pour imposer des débouchés à une production industrielle de masse, il avait fallu forger une économie de marché, abolir les particularismes, les privilèges et les péages du régime féodal. Faire la révolution.
Avec l’économie informatisée, cet équilibre subtil est balayé. Les usines sont transformées en lieux d’assemblage d’éléments fabriqués ailleurs et transportés par porte-conteneurs dirigés par des micro-ordinateurs. Le monde est réduit à un point, qui facilite la délocalisation des emplois, et disperse la cohésion de l’entreprise. Aide aussi les mafieux à blanchir leur argent mal acquis. Le salarié redevient un coût ; les libéraux triomphent ; les prédateurs accumulent des fortunes. Les Français, qui toléraient le capitalisme parce qu’il avait apporté dans ses bagages la société de consommation, n’ont jamais cessé de détester le libéralisme, bien que ses premiers théoriciens fussent autant français – Bastiat, Say, etc. – qu’anglais.
Les machines industrielles avaient aidé l’homme à devenir plus performant physiquement ; la machine informatique assiste son cerveau.
Elle stimule et développe une intelligence pratique de conception, de design, mais pas de contemplation. Les mathématiques partent de la question : qu’est-ce que c’est ? L’informatique de : comment faire ? Les Français sont beaucoup plus doués dans celles-là (ils accumulent les médailles Fields, deviennent de grands ingénieurs) que dans celle-ci (ils méprisent l’enseignement professionnel et les informaticiens). L’informatique stimule et consacre une intelligence à finalité pratique qui semble vulgaire pour le monde des idées pures.Le capitalisme à l’ère informatisée redevient une jungle où règne la loi du plus fort, un monde hobbesien de la guerre de tous contre tous. Une violence de type féodal resurgit. L’économie informatisée ultracapitalistique redonne au capitalisme sa vocation meurtrière de pousse-au-crime, un système « qui porte la guerre comme la nuée porte l’orage », disait Jaurès.
La France n’a pas envie de voir que le capitalisme à l’ère informatisée redevient cette guerre de tous contre tous qu’elle a détestée au XIXe siècle ; pas envie de voir que la paix depuis 1945 n’aura pas été l’établissement définitif de la « paix éternelle ».
La structure est toujours la même. Avant ça marchait, on cite De Gaulle, puis action qui détruit tout, rappel à Mai 68 + 2-3 anecdotes invérifiables à la Zémmour (genre on préfère les maths à l'informatique...ah bon?)
Pour un Psy ça doit être marrant de lire le bouquin et d'en tirer un profil mais là moi perso je jette l'éponge. Si des gens trouvent des vérités dans ce gloubi-goulga, libre à eux.
Ça s'auto-encule sévère, parler de patrons tyrans qui s'enrichissent en délocalisant, des traders et l'automatisation des échanges boursiers, et ramener ça à Mai 68? Effectivement totalement hippie.
Il mélange tout et cite 2-3 conneries franco française au milieu (genre Beaumarchais vs les mp3).
Beaumarchais vs les mp3
Le prochain Luc Besson pour contrer les marvel.
Putain le remplissage au début et les raccourcis faciles après, il fait combien de page ce bouquin ?
On dirait la dissertation d'un lycéen.
Ouais c'est les citations sorties du chapeau qui renforcent bien cet effet.
Si de Gaulle était là, BULL & le minitel auraient dominé le monde et l'informatique serait pure, affranchie des hippies libéralistes.
Le pire c'est que il faut se forcer pour ne dépasser ne serait-ce que la première phrase. Un lettré pourrait-il m'indiquer le bon adjectif pour qualifier ça :
Quand on disait alors le PC, on parlait du parti communiste. Puis, le terme changea de sens. On s’habitua.
C'est une purge a lire ce truc. Y a aucun raisonement. Il affirme des tonnes de conneries a la chaine. La meme chose que ce qu'il fait a la tele. Il a pas du lui falloir beaucoup d'heures pour la pondre sa bouse.
J'avais oublié ce sujet, donc comme sur la tribune
http://www.ojim.fr/sondage-les-francais … c-zemmour/
parmi les sympathisants MoDem, UMP et UDI, on est respectivement 80, 87 et 93 % à penser, comme Zemmour, qu’« on ne peut plus rien dire sans se faire traiter de raciste ». Plus troublant encore, ils sont 53 % et 58 % à penser de même… chez les sympathisants écolos et PS ! Chez Mélenchon, c’est 67 % d’approbations.
Sans surprise, c’est au FN que l’on trouve les sympathisants les plus « zemmouristes ». Mais ce succès se retrouve également dans l’ensemble de la population. Ainsi, ils sont 62 % à penser comme lui que « la nation française se dissout dans l’Europe, la mondialisation, l’immigration et le multiculturalisme » (plus de deux tiers à droite, plus de la moitié à gauche).
Autre constat : Éric Zemmour « bénéficie, d’une adhésion nettement supérieure parmi les classes populaires qu’au sein des classes aisées », note Jérôme Fourquet. « Un autre révélateur du profond décalage entre France d’en bas et France d’en haut », ajoute VA.
Enfin, la phrase : « La plupart des trafiquants sont noirs et auvergnats, c’est un fait », pour laquelle le journaliste avait été condamné en 2010, « est la seule citation à ne pas obtenir une majorité d’approbations, avec quand même 45 % affirmant être “d’accord”. Dont 56 % à l’UMP, 44 % chez les électeurs de Bayrou en 2012 et 25 % — un quart — parmi ceux de Hollande », conclut le magazine.
Ainsi, même si le polémiste ne recueille pas tous les suffrages concernant sa propre personne, ses idées font presque l’unanimité dans la population, même à gauche ! Les Français sont-il des zemmouristes qui s’ignorent ?
Pour un Psy ça doit être marrant de lire le bouquin et d'en tirer un profil mais là moi perso je jette l'éponge.
Un mec qui a eu le courage de tout lire, décortiquer et condenser:
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20 … oints.html
Un mec qui a eu le courage de tout lire, décortiquer et condenser:
Et qui raconte certes moins de conneries que Zemmour, mais quand même ! Merde alors !
Tout semble si simple quand on le lit. Il n'a pas l'air lui non plus de se poser trop de questions.
C'est bizarre mais je suis persuadé que tu n'as ni lu le bouquin de Zemmour ni l'article du gus l'ayant lu....
Le pire c'est que il faut se forcer pour ne dépasser ne serait-ce que la première phrase. Un lettré pourrait-il m'indiquer le bon adjectif pour qualifier ça :
Quand on disait alors le PC, on parlait du parti communiste. Puis, le terme changea de sens. On s’habitua.
Surrealiste?
Ça s'auto-encule sévère, parler de patrons tyrans qui s'enrichissent en délocalisant, des traders et l'automatisation des échanges boursiers, et ramener ça à Mai 68? Effectivement totalement hippie.
Il mélange tout et cite 2-3 conneries franco française au milieu (genre Beaumarchais vs les mp3).
C'est une vieille idée qui vient de Guy Hocquenghem : http://agone.org/elements/lettreouverte … oaurotary/
Les patrons des années 80 et 90 sont issus de la jeunesse libertaire de 68. C'est vrai pour beaucoup d'intellectuels français, pour les capitaines d'industrie, je n'en sais rien, mais Steve Jobs est effectivement un excellent exemple.
Steve Jobs oui mais bon, c'est pas un gros scoop.
Est ce que les mecs du MEDEF chez nous ont des gueules de 68ards?
La délocalisation et l'exploitation du tiers monde ne dépend elle que de l'informatique?
C'est quand même du bon bullshit (y'a tellement à dire sur chaque phrase) et il oriente tout vers sa fixette.
Laurence Parisot avait un portrait de Che Guevara dans son bureau :-)
Daniel Cohn-Bendit défend lui aussi les crédos libéraux : http://www.ladecroissance.net/?chemin=t … ohn-bendit
Le passage sur l'informatique est effectivement un morceau de bravoure n'importequiste, mais c'était tellement évident qu'il n'allait rien y comprendre…
J'ai personnellement plus tiqué sur cette soi-disant hostilité française à l'industrialisation, cela va à l'encontre de plus d'un siècle de culture marxiste française.
C'est bizarre mais je suis persuadé que tu n'as ni lu le bouquin de Zemmour ni l'article du gus l'ayant lu....
Alors je ne lirais surement pas la bouse de zemmour, mais je comprends rapidement entre les lignes où le gars qui critiquent veut nous amener. Un bon disciple de Attali, la fin des états-nations... à quoi ça sert, on est une société.
Merci au revoir, y a pas besoin d'un bac +5 pour détecter l'antithèse aussi débile des mecs d'en face les zemmouriens
Kek a écrit:Pour un Psy ça doit être marrant de lire le bouquin et d'en tirer un profil mais là moi perso je jette l'éponge.
Un mec qui a eu le courage de tout lire, décortiquer et condenser:
http://bibliobs.nouvelobs.com/essais/20 … oints.html
Le problème c'est que Zemmour est un ennemi idéologique du Nouvel Observateur qui fait à peu près les même unes sur lui que Valeurs Actuelles sur l'islamisation de la France ou l'immigration. C'est un marronnier (un reportage de Vincent...). Dans ces conditions comment peut-on prêter crédit à "l'analyse" d'un ennemi idéologique, de quelque côté que l'on soit.
Quand on pense aux bienfaits du fascisme italien, on a du mal à croire que ce soit un gros mot.
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