Rapid-spoiler (Page 50 sur 192)

J'ai dû la rater aussi, je n'ai rien vu de moral dans ce film. C'est un gros Tex Avery de trois heures complètement déglingué qui te fait passer Las Vegas Parano pour une comédie romantique...

Oui, justement, et au moment où tu crois qu'il va se ranger et raccrocher les gants, ça repart à cent à l'heure dans un gros éclat de rire. Il n'est jamais puni pour ce qu'il fait, tout perdre lui donne seulement un nouveau challenge.

C'est vraiment drôle, même quand tu ne pipes rien à la finance.

Au contraire, il s'en prend un belle de punition quand on l'oblige à se ranger puisque son état normal, et on le sait dès le titre du film, c'est d'être un connard.

Ca se ressemble plus à une description du joyeux monde des call-center qu'à celui de la finance.

Mon plus gros soucis avec ce film c'est que je l'ai trouvé aussi long qu'un post de Reblochon.

C'est bizarre ta façon de voir le truc, pour moi, son perso est exactement la même incarnation du rêve américain que Tony Montana.
A part en étant un ado un peu débile, je vois pas bien comment on peut l'envier.

Godzilla une bouse ? Qui l'eut cru ?

Godzilla: Stupide et sympa.

Relou tout le début sur le coté FAMILLE PATRIE MABITE
Aprés godzilla tabasse des monstres pendant 4 minutes sur l'integral du film et balance des LAZERS.

C'est une grosse série Z, dommage qu'il y ait pas eu plus de godzilla qui defonce des trucs et moins de golmons qui veut sauver sa famille.

Et y a 0 boobs dans le bordel, mot diese la tristesse.

Tu oublies l'hélico dézingué par un rpg et qui explose littéralement.
Bon par contre les scènes de combats/roulades (ils aiment bien ça, les roulades) sont quand même drôlement bien foutues.

Les voir passer de commandos américain badass à purées de viandes qui couinent en l'espace de 30 minutes, c'était pas mauvais.
Par contre la fin donne envie d'avaler des lames de rasoirs.

La barbe c'est pas des dreads...
Et les légionnaires NOOB?

Justement, les legionnaires sont reputes pour etre les seuls a avoir le droit de porter la barbe. C'est la fin d'une epoque.