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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

C'est toujours mieux que le faire après avoir réussit une équation du 4eme degrès.

C'est parce que vous êtes une majorité à avoir tort que vous avez raison.

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Chui un peu d'accord avec Jihem là. Dis-moi DarkDreamer, les putes, l'alcool, les sorties entre string tu n'oublies pas tout ça j'espère?

PUTEDEPUTEDEPUTE

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

On voit que tu n'as jamais pénétré un palais de justice Imax.

Je vous demande de ne pas voir dans cette manière d'opérer une mesure coercitive à votre égard, mais les régles inhérentes à ma profession m'obligent à procéder de cette manière.

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

ça a pas l'air si dur les équations du quatrième degré, niveau terminale, moins prise de tête que le coup des 5 testaments dans le même classeur avec résolution du problème en latin...

30 Dernière modification par thedarkdreamer (24-11-2006 13:35:13)

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Imax a écrit:

Chui un peu d'accord avec Jihem là. Dis-moi DarkDreamer, les putes, l'alcool, les sorties entre string tu n'oublies pas tout ça j'espère?

Un mange merde d'avocat appelle ça la "rémunération en nature".

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

31 Dernière modification par thedarkdreamer (14-12-2007 04:14:12)

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Allez, je déterre ce thread pour un passage un peu perfide de l'éditorial du recueil dalloz du 6 décembre, intitulé "marche ou grève" et qui évoque le fait que pendant la grève, le monde a continué à tourner.

Le passage en question:

Pendant ce temps-là, un ex-président de la République et actuel membre de droit du Conseil Constitutionnel a été mis en examen pour détournement de fonds publics, faits passibles de dix ans de prison et 150.000 euros d'amende. Même en l'absence prétendue et présumée d'enrichissement personnel, la loi, si elle devait s'appliquer dans toute sa rigueur, emporterait, pour ce nouveau Sage de la rue de Montpensier, un régime de retraite vraiment très spécial.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

thedarkdreamer a écrit:

Ah, le droit des successions, ça c'est jouissif.

Tu as trouvé un intérêt dans le droit des successions toi ? Après le droit des obligations et le droit des contrats, nous le coller en droit civil, j'ai trouvé ça lamentable. C'était le plus ennuyeux des cours de droit civil (ne parlons pas du droit administratif où de pseudo-juristes ânonnent des arrêts appris comme on apprend des verbes irréguliers en anglais).

Quand je pense aux milliers d'abrutis qui ont du mal à diviser un nombre par trois - voire par un - ou qui n'arrivent pas à calculer la moitié d'un tiers, et qui après trente calculs sont tout heureux d'avoir enfin la solution et se sentent grands juristes... Je préfère mille fois les arrêts sur le coq Renato en première année à n'importe quelle simili réflexion en droit des libéralités. Quand on pense qu'on étudie le régime juridique de l'abus de droit trois ans avant, alors que là, il y a matière à réflexion.

Anarcho-écolo de droite.

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

http://pix.nofrag.com/3/e/1/93862d28de6cbcb454f6990bc7d5f.gif

"Un site vraiment trop spécialisé"

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Allez, le retour du thread zombie avec les coups de pied entre juristes:

Michel Charasse n'aime pas la première présidente.

M. Michel CHARASSE appelle l'attention de Mme la ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur un article paru dans le journal La Montagne de Clermont-Ferrand du 3 juillet 2009 faisant état de la nomination du procureur de Moulins (03) en qualité d'mange merde d'avocat général à la cour d'appel de Riom. Dans cet article, le journal souligne que « « l'intéressé arrive dans un parquet général », qui, selon la première présidente de la cour d'appel, « connaît des turbulences avec la mutation contestée et non consentie de son procureur général » ». Il ressort clairement de cette déclaration de la première présidente de la cour d'appel qu'elle souligne que la mutation du procureur général de Riom est « non consentie ». Cette situation ne peut que résulter de la position de l'ancien procureur général de Riom qui, dans un article voisin paru le même jour conteste sa nomination en qualité d'mange merde d'avocat général à la Cour de Cassation. Si l'on comprend bien cette déclaration, la première présidente de la cour d'appel de Riom, magistrat du siège, bien placée pour connaître les règles applicables aux mutations des magistrats du siège qui sont inamovibles au terme de la Constitution, apprécie la mutation de son procureur général comme « non consentie » par l'intéressée. Or, au terme de la Constitution, seuls les magistrats du siège sont inamovibles. Il résulte de cette déclaration que la première présidente de la cour d'appel, qui a soutenu publiquement son procureur général, estime que les règles de l'inamovibilité sont également applicables aux magistrats du parquet ce qui est inexact et qui est une question du niveau de la première année de droit. Une erreur aussi grave de la part du premier président d'une cour d'appel traduit une carence grave des connaissances juridiques de l'intéressée qui ne peut que conduire à s'interroger sur la qualité des arrêts rendus sous sa présidence par la cour d'appel de Riom et sur les erreurs de droit sur lesquels ils peuvent être fondés. L'intéressée, sauf si elle admet avoir commis une erreur, manifestant à l'évidence un grave besoin de remise à niveau de ses connaissances juridiques, il lui demande de bien vouloir lui faire connaître si elle envisage de l'inviter à s'inscrire à un stage de formation en vue de sa remise à niveau professionnelle.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Ahahah.

C'est où Riom ?

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Puy de Dôme

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

thedarkdreamer a écrit:

Allez, le retour du thread zombie avec les coups de pied entre juristes:

Michel Charasse n'aime pas la première présidente.

M. Michel CHARASSE appelle l'attention de Mme la ministre d'État, garde des sceaux, ministre de la justice et des libertés, sur un article paru dans le journal La Montagne de Clermont-Ferrand du 3 juillet 2009 faisant état de la nomination du procureur de Moulins (03) en qualité d'mange merde d'avocat général à la cour d'appel de Riom. Dans cet article, le journal souligne que « « l'intéressé arrive dans un parquet général », qui, selon la première présidente de la cour d'appel, « connaît des turbulences avec la mutation contestée et non consentie de son procureur général » ». Il ressort clairement de cette déclaration de la première présidente de la cour d'appel qu'elle souligne que la mutation du procureur général de Riom est « non consentie ». Cette situation ne peut que résulter de la position de l'ancien procureur général de Riom qui, dans un article voisin paru le même jour conteste sa nomination en qualité d'mange merde d'avocat général à la Cour de Cassation. Si l'on comprend bien cette déclaration, la première présidente de la cour d'appel de Riom, magistrat du siège, bien placée pour connaître les règles applicables aux mutations des magistrats du siège qui sont inamovibles au terme de la Constitution, apprécie la mutation de son procureur général comme « non consentie » par l'intéressée. Or, au terme de la Constitution, seuls les magistrats du siège sont inamovibles. Il résulte de cette déclaration que la première présidente de la cour d'appel, qui a soutenu publiquement son procureur général, estime que les règles de l'inamovibilité sont également applicables aux magistrats du parquet ce qui est inexact et qui est une question du niveau de la première année de droit. Une erreur aussi grave de la part du premier président d'une cour d'appel traduit une carence grave des connaissances juridiques de l'intéressée qui ne peut que conduire à s'interroger sur la qualité des arrêts rendus sous sa présidence par la cour d'appel de Riom et sur les erreurs de droit sur lesquels ils peuvent être fondés. L'intéressée, sauf si elle admet avoir commis une erreur, manifestant à l'évidence un grave besoin de remise à niveau de ses connaissances juridiques, il lui demande de bien vouloir lui faire connaître si elle envisage de l'inviter à s'inscrire à un stage de formation en vue de sa remise à niveau professionnelle.

D'après ça, elle ne dit nulle part que le consentement du parquetier est nécessaire pour sa mutation. Elle dit juste qu'il n'y consentait pas. Et puis qu'est ce qu'elle est mal écrite sa question!

Enfin bon de toutes façons, les puy de domiens...

Entre les connards qui voient Sarko comme le messie et ceux qui le voient comme le nouveau Hitler, je me dis qu'on est quand même dans un pays de cons. (Napalm)

38 Dernière modification par thedarkdreamer (16-11-2009 22:20:09)

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Receswind a écrit:

D'après ça, elle ne dit nulle part que le consentement du parquetier est nécessaire pour sa mutation. Elle dit juste qu'il n'y consentait pas. Et puis qu'est ce qu'elle est mal écrite sa question!

Enfin bon de toutes façons, les puy de domiens...

Ouaip, il lui fait dire ce qu'elle n'a pas dit, c'est bas, mais c'est de base.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Allez, je déterre ce thread pour placer ce bizutage de juristes, à savoir: on ne signe pas un papier que l'on n'a pas lu.

https://pbs.twimg.com/media/BmOeTlxCYAIvJIN.jpg:large

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

oui et ça n'est évidemment pas un fake quoi

« On t'nique ta mère et ta grand-mère, si elle est toujours en vie » - B2O

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

zeuch a écrit:

oui et ça n'est évidemment pas un fake quoi

Bien sûr que c'est un fake, ce pv ne sera annexé à aucune procédure sérieuse.

Cependant, il est très probable qu'un nouvel APJ s'est fait bizuter, sur le thème "lis avant de signer", et que la photo en témoigne.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Je pense que la circulation dudit faux dans le commissariat t'amène à relire avec une attention soutenue et te désapprend la signature automatique.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Aucune idée, je penche pour un vrai faux.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Je pense qu'il a été réalisé sans désemparer par la BRI au 36 Quai des Orfèvres, ce week end.

http://www.bettercallsaul.com/

N'imprimer ce message que si nécessaire, pensez à l'environnement

Re : Les juristes ne sont pas des anges.

Effectivement, il ne semble pas qu'assentiment soit demandé avant de toquer à l'huis.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."