Bien que j'ai en moi de ces philosophies personnelles propre à notre siècle qui germent parfois dans les esprits solitaires comme le mien où l'univers m'apparait comme une immense maladie, je n'aurais pas cru un jour me passionner pour Victor Hugo et pourtant!
Carrément.
La petite Cosette, ouais !
Sans rire, c'est un putain de livre d'histoire, ça se boit comme du gros rouge - qui vide son verre vide son cœur - et Victor encule tout le monde. J'ai grande hâte de m'enfiler le deuxième tome.
_________________________
Mais pour faire un break avant le second round , je retrouve mon vieux pote Marcel (et aussi paske je n'aime que les écrivains morts) l'antidote des Miserabeuls
ici, fini les rougeurs poignantes de la misère, tout le monde se suce la teub dans les salons dorés de madame la marquise, c'est une partouze incessante où la bonne société parisienne disserte sur l'affaire Dreyfus et ces enculés de pancakes, oui Paris où les fumées de ses toits sont les idées de l'univers...
Sa description des hommes de garnison du sous-of Saint Loup ressemble à un défilé de mode où tout le monde s'autoencule en s'admirant bien fort.
I like it.
No pussy blues.