Sujet : Dessine moi un zombi nazi
Coucou.
Noël arrive, les vacances, le froid, du temps à rien foutre sur le canapé en buvant des bières et en jetant des caouètes sur le chat. C'est l'occasion de jouer à de nouveaux trucs, de rattraper momentanément le retard sur les sorties.
Bref, c'est l'heure de geeker, à mort.
Sauf que je m’aperçois que le temps n'est plus aux démos facile à chopper, aux magazines jv pas cher et qui te montrent autre chose que Call Of Duty 32 : Revenge of the Jews. Je traîne bien parfois sur le forum de canard PC mais, hônnètement, je gaspille plus de temps à lire les dix milles pages pour chaque sujets que devant l'écran.
Tout ceci pour faire appel, une fois de plus, à l'Expertise Asile™ pour un super sujet pas du tout original : Je te donne ma grosse envie, tu me réponds les parfums disponibles.
Je commence.
En ce moment, et pour rester dans l'univers de Noël, j'aimerai du glauque, de l'horreur, des trucs noirs, du survival. En PC ou portage console (merci petit jésus pour la manette de 360). Ce que j'ai déjà torché :
- Les Dead space : le troisième était très décevant, tant pis.
- Amnésia dark descent : j'ai adoré. Testé cinq minutes du dernier, pas engageant. Je me trompe ?
- Pénumbra : un peu vieux maintenant, c'était bien quand même.
- Outlast : Commencé mais... bon.. mécaniques de jeu trop simple (COUCOU JE ME CACHE DANS LE PLACARD).
- Les résidents/ Silent Hill : check pour les plus vieux, les nouveaux ça donne quoi ?
- State of Decay : marrant pour l'instant mais c'est finalement plus de la gestion de communauté que de la survie (tu peux crever, au moins ?)
- Afterfall insanity : joué une petite heure (le tuto d'intro quoi), bug de colision, perso bloqué, bug sauvegarde corrompue ---> va chier, poubelle.
- I am alive : Fait, c'était sympa mais répétitif'.
- Dead Island : testé seul, pas très fun (et pas mal buggé aussi).
J'en oublie surement mais l'essentiel est là.
Reblochon : "As-tu quelque chose d'intéressant et constructif à dire ? Oui ? Lâche toi ! Non ? TA PUTAIN DE GUEULE D'ATTARDÉ, tu la fermes. Bisous"