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oula la petite avec le pull rouge
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oula la petite avec le pull rouge
Bon les études c'est pas compliqué
Tu achètes mes livres, tu les lis et tu les paraphrases dans les partiels !
Avec ça tu as la moyenne et tout le monde il est content !Attention ne recopie pas google ça va se voir, il faut que tu fasses des fautes d'expression !
Le paraphrase ça vaut juste 0.
Si on n'apporte pas de réflexion sur un sujet et qu'on ressort le cours on se fait pourrir.
Tu devrais changer de fac (ou tu en as fréquenté des pourries).
aliocha a écrit:Donc, le collégien de base est plus au fait du monde qui l'entoure qu'Euler ou Newton ?
Parce que ce sont des étudiants moyens??? L’étudiant moyen de Cambridge à l'époque le seul usage de la physique qu'il avait dans sa vie future c'était un peu de balistique à la chasse à coure du week end...
Non mais on a compris que l'étudiant du XVIIe siècle c'était une quiche sur l'électromagnétisme et les liaisons covalentes, quelle surprise. La différence, c'est qu'à âge égal, ils maîtrisaient la langue (ce qui n'est plus le cas pour des collégiens, et pas mal de lycéens aujourd'hui), avaient des cours pointus sur des sujets que l'on n'étudie plus qu'à l'université à présent étaient bilingues en latin et écrivaient en grec, avaient accès à des mathématiques tout aussi avancées, et tout ça pour une raison simple : seuls les meilleurs faisaient des études. À partir du moment où on laisse n'importe qui rentrer dans une école, et surtout des pauvres, le niveau général va baisser, comment pourrait-il en être autrement ?
Ah, et concernant le certif', le niveau demandé en français est exactement le même que celui demandé au brevet aujourd'hui. On avait l'assurance que quelqu'un qui obtenait son certificat d'études savait lire et écrire sans fautes, tandis qu'aujourd'hui l'orthographe n'est même plus discriminante à l'université.
Le paraphrase ça vaut juste 0.
Si on n'apporte pas de réflexion sur un sujet et qu'on ressort le cours on se fait pourrir.
Tu devrais changer de fac (ou tu en as fréquenté des pourries).
Ce n'est pas tant de la paraphrase que de la citation dans le sens du poil, les profs de fac ont souvent des égos délirants.
C'est peut-être moins le cas en sciences cela-dit.
bah un pauvre c'est un type sans ambitions (et c'est souvent héréditaire), donc tu mets des pauvres à l'école le niveau baisse c'est logique
d'ailleurs pourquoi les pauvres vont à l'école?
aliocha a écrit:À partir du moment où on laisse n'importe qui rentrer dans une école, et surtout des pauvres, le niveau général va baisser, comment pourrait-il en être autrement ?
Tu ne mélangerais pas pauvreté et faible niveau d'éducation des parents par hasard ? (même si parfois c'est corrélé)
Effectivement, quand tu n'as pas de livres à la maison, des parents qui travaillent tard, cinq frères et sœurs, pas de cours particuliers, un collège qui tombe en ruine et qui est à la main de petits caïds, c'est un peu plus compliqué, pas impossible, mais plus compliqué.
Ça a été différent pendant la IIIe République, on pouvait être pauvre et arriver à Polytechnique, mais c'est moins évident aujourd'hui.
Le paraphrase ça vaut juste 0.
Si on n'apporte pas de réflexion sur un sujet et qu'on ressort le cours on se fait pourrir.
Tu devrais changer de fac (ou tu en as fréquenté des pourries).
Ils ont des bons commerciaux à ta fac. Il faut seulement de la mémoire, exactement comme le mécanicien relie un tournevis à la vis adéquat.
Je me souviens de la belette de Sollers qui m'avait baissé ma note parce que je n'avais pas cité son putain de livre dans une dissertation qui n'avait justement rien à voir avec son livre. C'était le seul commentaire : « mais pourquoi n'avez-vous pas cité unetel ? »
Je me souviens de la belette de Sollers qui m'avait baissé ma note parce que je n'avais pas cité son putain de livre dans une dissertation qui n'avait justement rien à voir avec son livre. C'était le seul commentaire : « mais pourquoi n'avez-vous pas cité unetel ? »
A son arrivée à Paris, elle était appelée "l'étrangère" par le milieu des lettres, toujours si prompt à donner des leçons de morale.
Un riche sait déjà qu'il va récupérer un poste grace aux relations de papa, voire la boite de papa, donc il n'a jamais la niaque. Y a bien que les pauvres pour en vouloir à fond.
La différence, c'est surtout le suivi du boulot et la méthodologie donnés par les parents. C'est sur que chez Jean-Edouard, maman qui ne travaille pas et vérifie et aide pour les devoirs avec un peu d'Acadomia/soutien extérieur si besoin, c'est mieux que chez Mouloud on osef qu'il traine dehors pendant que sa soeur Fatima doit s'occuper du bébé et faire la vaisselle.
Es-ce que tu pourrais essayer d'inclure plus de clichés dans ta réflexion steuplait ?
Et sinon je n'ai pas vu jusqu'ici les soucis racontés ici à l'université : pas d'ego surdimensionné (allez si, je suis de mauvaise foi, on en avait bien un : il venait de normale) ni de notes à la tête/citation.
D'ailleurs, les examens en contrôle continu (et certains même en fin de semestre) se faisaient le plus souvent avec notes/cours/pc autorisés : je ne sais toujours pas si c'est vraiment une bonne idée mais c'était toujours très marrant de voir les montagnes de bouquins, de fiches, de pages wiki consultés et les gueules des mêmes le jour de la note.
"Han j'ai dis tout ce que le prof il a dit et j'ai pris 5, j'comprend pas koa"
Je me demande d'ailleurs à quel point les choses peuvent changer entre la capitale et... le reste de la France au niveau des cursus universitaires.
Je me demande d'ailleurs à quel point les choses peuvent changer entre la capitale et... le reste de la France au niveau des cursus universitaires.
Bah nous on avait que des Normaliens – c'était la condition sine qua non pour enseigner –, des gens connus, alors ça fumait parfois un peu beaucoup trop. Heureusement certains étaient vraiment bons et sévères. Pour le coup de la citation obligatoire, je grossis le trait, c'est la seule fois que l'on m'a fait ça, mais c'est vrai qu'il y avait peu de profs qui résistaient au plaisir d'un bon coup de brosse, c'est humain. David Lodge en parle très bien dans ses romans.
Par contre, le gros truc tendu pour les historiens du département, c'était la politique, grosse grosse fac de gauche, tu marchais sur des œufs dans chaque devoir.
Je te l'ai démontrer plus haut mais bon y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Oui, c'est ça, viens me filer des cours de français.
Nous n'avons pas les questions pour le sujet "contemporain".
Je note, au passage, que l'on passe des Vosges à un calife d'Ispahan. Probablement pour plaire.
Ben c'est normal, en même temps les autres avaient quatre ans de moins. Et du reste, ce n'est pas l'analyse stylistique ou grammaticale qui te font maîtriser la langue, mais la lecture et les dictées. Là on remarque que les dictées ont le même niveau.
Je pense que Seth s'est fait violer par un prof d'université.
C'est pas la première fois qu'il pète un plomb sur le sujet
C'est quand même con pour une fois que seth sort une source que vous ne l'écoutiez pas.
Je viens d'aller voir et en fait tu pouvais le présenter à 12 ans mais de facto la plupart avaient 13/14 ans aussi
[ref. nécessaire]
Ah bah voilà, il n'y a plus les sources.
Cela dit, on pourrait rigoler aussi sur l'enseignement médiéval, j'ai des textes à la maison sur l'éducation des clercs en scholastique et en logique, les enthymèmes c'était un poil plus hardcore que les bakoluthes ou les métaphores, sans compter que les mecs devaient connaître par cœur leur Aristote à 15 ans, à comparer avec nos glorieux sujets du bac : « peut-on imaginer la liberté sans la servitude ? »
Tu peux aussi lire les Faux-monnayeurs, de Gide, le héros qui a quinze ou seize ans (André les préférait assez verts) raconte une de ses dissertes, et rien qu'à la lecture du sujet un lycéen d'aujourd'hui courrait en rond et en hurlant. Je dois pouvoir trouver ça aussi.
Enfin, ce que je dis tient en un argument, de nos jours, et en France, on a moins d'exigences envers nos écoliers.
Il est de toute façon complètement improductif de déployer des moyens supplémentaire dans l'éducation ou de tenter de remédier à la bêtise des "jeunes".
Il serait préférable de :
- construire des prisons au lieu d'écoles ou de bibliothèques car les besoins en la matière sont immenses. Notons que les prisonniers incarcérés ont normalement tous été à l'école depuis leur plus jeune âge ce qui prouve bien l'échec de l'enseignement.
- mettre les jeunes filles sur le trottoir dès la puberté car cela ne sert à rien de créer des étudiantes qui se prostitueront pour payer leurs études (longues et qui coûtent cher) qui d'ailleurs ne leur garantissent en rien un emploi. Autant se prostituer au plus tôt, ce sera du temps de gagné et des espoirs non déçus.
Grâce à de telles avancées sociales, il sera possible de diminuer les impôts, notamment sur les plus grandes de fortunes de France qui sont au bord de l'asphyxie et obligées de recourir à l'évasion fiscale. Et en éliminant systématiquement les mauvais de l'éducation nationale, la France brillera au firmament des classements internationaux.
C'est le prochain discours de François Hollande ?
Ce n'était pas le thème de l'université d'été ?
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