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15 ans et 3 mois pour être précis.

Dommage elle va être au chômage tout de suite alors qu'elle aurait pu l'être seulement dans un an.

Ce commentaire dit-il vrai ?

Seth si tu as un lien sur le rapport OCDE LMD ça m'intéresse.

De ce que j'ai vu de la fac (ça commence à dater) :
- quelques bons profs
- une armée de suiveurs / perroquets répétiteurs ("nous ne faisons que nous entre-gloser")
- profs OSEF des étudiants ces enculés qui nous pompent du temps sur nos travaux de recherches
- mais on est bien contents de leurs mémoires et doctorats de merde pour les pomper
- querelles intestines sur les domaines ou époques à privilégier
- la plupart des étudiants mongolo-gauchistes (anti FN, anti guerre, etc.)

De toute façon je n'estime pas avoir vraiment fait "d'études"
Les seuls profs avec qui j'ai appris étaient exigeants

Vu le niveau d'échec en 1ère année de DEUG, une sélection eut été de bon aloi.

Les suites de la connerie profonde de l'absence de sélection :
Une note de 4/20 suffit pour devenir professeur
http://www.20minutes.fr/societe/1190389 … professeur

Et tout ça pour créer des animateurs plutôt que des profs.

Incoming Aliocha.

Enfin j'espère

Heu ouais, Seth, je sais que le Vieux Port a trempé dans ton sang, mais quand même faut pas déconner. Au XVIIe siècle, ils étaient sans doute 90 % à ne pas savoir lire, mais ceux qui avaient eu de l'instruction maîtrisaient leurs humanités, les mathématiques de l'époque, étaient au minimum bilingues, sans compter l'enseignement religieux ou militaire.

Donc, le collégien de base est plus au fait du monde qui l'entoure qu'Euler ou Newton ?
Pour ce que j'en ai vu en banlieue justement, quand j'enseignais dans un LEP, ils n'avaient jamais entendu parler de Newton (Einstein ils connaissaient, ça oui par contre, mais seulement la photo et E=MC²), ils ne maîtrisaient pas leur langue maternelle, leurs connaissances en histoire s'arrêtaient à la guerre du Vietnam (plus médiatisée à la télé à l'époque que la Deuxième Guerre mondiale, aujourd'hui ça doit être l'Irak), ils étaient incapable de situer l'Argentine sur une carte. Par contre, tout le monde était bon en calcul, ça oui. Mais ça c'est universel, parce que si tu ne sais pas compter des biftons, t'es sacrément dans la merde.

Tiens, le truc que tu donnes pour le brevet, c'est un peu moins que ce que l'on demandait aux candidats du certif' :-)

nixon Il aurait eu sa place sur ce forum !

http://www.bfmtv.com/international/decl … 87272.html

Yep, il allait aux vernissages en roller.

L'acmé de ces années de branlette était d'avoir fait venir un professeur d'Italie qui avait lu sa préface en guise de conférence... préface que nous avions tous lue. Les profs étaient ravis. Ils étaient allés picoler après.

On avait Marmande mais faisait-il vraiment cours ou se servait-il de nous pour purger ses passions ?

J'avoue que ma première année de master était un peu légère : 5 cours par semaine (soit 7h30 et le M2 était du même genre). En grande partie sur le théâtre dans le cursus "Recherche".
Ça m'allait bien vu que je fais des tonnes de trucs à coté. Mais l'ennui c'est que ça n'a pas attiré grand monde et qu'on n'était une quinzaine (6 ou 7 en Recherche).
L'entrée n'était pas sur dossier (normal vu le nombre...)
C'est d'ailleurs, entre autres, pour ça que j'ai été candidat comme représentant de notre UFR

Cette année ils ont refait les plaquettes. On a un cursus normal (une douzaine de cours. Variés).
Et ils ont mis l'entrée aux deux années sur dossier.

Mais Avignon est une petite fac. Du coup, l'entrée est peut-être plus facile de toute façon.
C'est un peu naze, on est censé avoir un système LMD avec un système d'équivalence dans toute l'Europe mais au sein d'un même pays il y a des disparités hallucinantes...