Re : Le sexisme dans la communauté "geek"
tiens je te la remets, parce que j'ai pas mieux :
Ce que veut la femme moderne, libre et émancipée, c’est pratiquer la polyandrie : avec un petit singe goguenard à grosse bite pour lui donner du frisson, un micheton de luxe mené par le bout de sa bite pour lui payer ses breloques, un demi-pédé intello à fleur de peau pour lui faire la conversation.
Les femmes qui ont bien compris le féminisme ont toutes pratiqué la polyandrie de cette façon, à fortiori quand elles se sont suffisamment déniaisés en soirée et qu’il leur est mentalement acquis qu’un homme : ça vous paye le verre pour vous baiser.
N’oubliez pas qu’à chaque fois que vous payez pour une femme en système « égalitariste » (comprendre : dans un système où elles vous sont juridiquement supérieures), vous ajoutez une brique supplémentaire à la prison vaginocratique dans laquelle vous allez croûpir.
Cette idée qu’il faut s’abaisser devant la femme pour obtenir son cul (rouler des mécaniques par le « game », c’est aussi une forme d’abaissement), c’est un signe d’orientalisation de notre civilisation.
Car dans l’histoire, ce n’est jamais la femme qui est lésée (qui a passé plus de 3 heures de sa vie à discuter avec une morue sait de quoi il retourne) mais l’homme qui perd son temps et son argent dans la conquête d’un « trou » (où il n’a à gagner que du vide).
Que l’on songe un instant aux milliards d’euros perdus pour entretenir des poufiasses, aux milliards de minutes accordées pour soigner l’égo meurtrie de millions de connasses constipées.
Songez seulement aux sommes astronomiques englouties dans la prostitution.
Vous aurez une vision panoramique de la nature du « trou » que la femme représente.
Albert Willemetz