the box: par une série de choix moraux ambigus et de pseudos "contrats" auxquels s'ajoutent clause sur clause, réussit à présenter comme quasi acceptable le fait qu'à la fin, l'homme tue son épouse pour que son fils cesse d'être handicapé. Le tout avec un magnifique complot chrétien/nsa/extra-terrestre et des références explicites et lourdingues à sartre (huis-clos).
Les personnages sont caricaturaux, transparents, le discours est dégueulasse, biaisé et de mauvaise foi, la musique est instrumentalisée de manière excessive et grotesque et la réalisation est quelconque, comme la photographie et la direction d'acteurs.
2/10, et je suis généreux.
"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."