Nos vacances 2012 (Page 5 sur 23)

Bon, maintenant je sais les démarrer, en fait il faut les faire tousser un peu avec le choke et ensuite elles démarrent très bien une fois celui ci enlevé. La nature ne me remercie pas, je suis en mode fury.

J'abats principalement des cerisiers bien trop haut pour espérer manger les cerises, quand il y en a, ça éclairci grandement l'horizon.

Voila mes jouets du jour:

Spéciale dédicace à JM qui pense que ma stihl est allemande

Mes deux prochaines victimes, les deux cerisiers au second plan, celui de droite est très grand, genre 20 mètres, celui de gauche devrait logiquement se coucher sur l'étend à linge, ça me permettra de changer les fils au passage.

Je m'occupe des cas de pommiers morts aussi, devant mes groupies en délires, dès qu'un arbre tombe elles affolent un peu et viennent voir ensuite par curiosité.

Là je fais une pause car il fait plus de 30 degrés, je vais en couper 4/5 encore dans l'aprèm, ensuite il faudra tout débiter en morceaux de 50 cm et tout rentrer à l'abris ...

ça s'était mon jouet d'hier, je parle de la tondeuse auto-portée pas de la belle-soeur qui se trouve dessus ... (pix prise une journée fraîche de printemps, elle ne porte pas de doudoune par 30 degrés)

Hop, les deux derniers sont à terre, ça ne parait pas mais c'est hyper physique de tenir fermement l'engin, je pique une méchante suée à chaque fois.

Et oui je laisse 30 cm de souche au sol pour éviter de passer dessus au tracteur tondeuse, il n'aime pas, il faudra louer une pelleteuse pour tout virer correctement.

Flagrant délit d'usage de langage impérialiste!
(sinon se faire chier à bosser dans un jardin ce n'est pas vraiment des "vacances").

Mes vacances commenceront dès que Mouloud prend mes responsabilités  (si sa banque dit oui) bon sinon c'est vrai qu'il ne faut pas détester ça pour s'y mettre, j'ai pas non plus d'objectif de rendement, ni d'encadrement, si ça me gave, je laisse tout en plan pour reprendre plus tard, de toute façon, si je glande le jour, je ne dors pas la nuit.

Vous remarquerez la qualité du boulot : plus une vague après mon passage.

Je ne sais pas, mon frangin veut jouer avec une pelleteuse et moi je me contenterai bien de les brûler l'année prochaine. Le produit dont tu parles doit être applicable en milieu péri-urbain pour une souche, là j'en suis à une grosse quinzaine

Ben au retour on avait une mer plus formée et des vents thermiques (je ne sais pas ce que c'est, mais du coup on est passés de 8 à 12 noeuds), et ça a l'air plus excitant, mais le temps calme c'est plus stressant à la barre parce que tu peux faire tomber la voile en un rien, et du coup tout le monde se fout de ta gueule. Donc t'es tout le temps obligé de faire des choix entre le chouia de vent qui reste et ton cap. Enfin, c'est quand même dur de s'emmerder sur un bateau pareil, ça va plus vite qu'un monocoque.

Faire du bois, même à la tronçonneuse, c'est le second truc le plus physique qui existe (après faire du béton). C'est notamment pour cette raison que ça se fait en hiver, normalement...

Tu connais l'usage des parenthèses ?

Le plus dur avec le bois, c'est de viser et de ne pas se foutre un bout de pied en l'air à chaque cognée.

Pour l'instant, j'ai rien trouvé de pire comme corvée que les déménagements (en pro hein), tu portes 7 à 8 heures par jour, ça n'a jamais le même poids et la même forme.
J'ai fait ça un été, j'aurais pu jouer dans un film de gladiateurs à la fin.