Re : Rapid-spoiler
Je le suce uniquement au petit dej, au cinéma je trouve cela trop indécent.
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Je le suce uniquement au petit dej, au cinéma je trouve cela trop indécent.
Au réveil ok , au petit dej bof .
pas trop.
Elle ne connait rien sama. Une pipe au réveil, c'est un peu d'amour en plus sur terre. Et ça dure plus longtemps.
Je pense qu'elle plaisantait.
je dors en moyenne 12 heures par nuit et 4 heures dans la journée.
Mystic River : à la fin Sean Penn tue par erreur Tim Robbins, mais ce n'était pas le vrai coupable, lol.
Bon, Eastwood est capable du meilleur comme du médiocre, et là j'ai l'impression que ça tombe dans la seconde catégorie malgré les critiques complaisantes dont il est systématiquement le sujet. En fait, le meilleur, c'est aussi souvent quand il joue dedans. Ici, nous devons nous contenter de l'insupportable Sean Penn, acteur monorôlistique depuis vingt-cinq ans, qui joue le nain face à un Tim Robbins qui, lui, connaît son métier.
Et puis le montage est catastrophique : on a des face à face pleins de « tension » où des paroles sont échangées lentement pendant qu'on a vingt changements de plans. On va dire que c'est la prod.
Ah et le scénario est rebattu, tant et si bien que j'ai été voir sur le net pensant trouver là encore une adaptation de fait-divers. Bref, ce n'est pas le Clint de Gran Torino, plein de couilles, qui arrive à faire rire et à tirer la petite secousse du palpitant.
En fait, le meilleur, c'est aussi souvent quand il joue dedans.
Pas mieux.
Au delà et Invictus m'ont l'air assez chiants également.
Gran torino est un chef d'oeuvre, comme impitoyable.
pas comme thor:
A la fin loki est précipité dans un trou noir et se réincarne en prof grundge et alcolol pour bricoler l'extracteur de point zero de richard reeds au shield.
Haha Thor, si la bande annonce c'est les meilleurs moments du film, ça donne une idée.
Fast&Furious5 :
UN FLIME AVEC VIN DIESEL
Moi, Michel G., milliardaire, maître du monde :
Drôle et dynamique, agréable à mater donc. A certains moments on sent que des gags auraient pu être plus drôles.
Detective Dee :
Flime au top, la bande annonce laissait entrevoir un flime de chinetoque nul à chier avec kikoobastons à la Flic de Shangaï mais les critiques étaient unanimes, j'ai donc jeté un coup d'oeil et vraiment pas déçu. Scénar au top et on s'ennuie jamais (sauf une fois au chalet). Si vous n'en avez qu'un à voir, foncez pour Detective Dee.
The Green Hornet :
Il passait enfin en VO dans ma ville de merde, donc je l'ai vu là. Une petite tuerie drôle et péchue, Gondry encule les fanboys du comics qui ont hurlé de rage.
Au réveil? Avant de s'être brossé les dents?? Mais c'est sale!
Fellation du matin, fait du bien.
Non, c'est juste une réalité. Prends des leçons et sais recevoir.
Midnight in Paris :
Allez bien vous faire enculer ceux qui trikitent Allen parce qu'il "dépeint un Paris de carte postale" comme s'il n'y avait pas de raison précise, vous n'avez rien compris au ciné : ça sert le film jusqu'aux dernières minutes. Le flim le plus romantique qui soit, même ta mère te roule une pelle à la fin si tu vas le voir avec elle.
Mention particulière à Owen Wilson, toujours aussi bon.
La Ballade de l'impossible :
Adapté du roman de Murakami, le tout premier d'ailleurs à pouvoir être adapté au ciné, un film sur l'amour, les amours et le passage à l'âge adulte. Très très bien mais tristounet. BO d'enfer.
Haha Zechat est un romantique refoulé.
Ah non, pas refoulé, d'ailleurs tous les week-end je me sape en veste jaune, chapeau BG et rose à la poche de poitrine.
Oui, c'est pas mal La ballade de l'impossible. Cette histoire de triangle amoureux avec un défunt (je parle pas de nécrophilie), c'est assez touchant. C'est vraiment bien filmé, dommage que ce soit parfois un peu creux.
Sinon j'ai vu PRIEST 3D.
Et c'est bien évidemment une grosse merde ridicule avec une superbe scène où le héros (Paul Bettany, aussi badass qu'un enfant tuberculeux) saute jusqu'à un monstre en marchant en l'air au ralenti sur des cailloux lancés par son acolyte.
Le reste du temps, il fait cette tête :
.
Et à la fin, il fait exploser le train rempli de vampires avant qu'il arrive jusqu'à la ville et défonce le méchant. Après, il se casse en moto avec sa copine ninja.
une superbe scène où le héros (Paul Bettany, aussi badass qu'un enfant tuberculeux) saute jusqu'à un monstre en marchant en l'air au ralenti sur des cailloux lancés par son acolyte.
J'ai ri devant cette scène.
Alors monde à la judge dredd, check, vampires, check. Dommage, ça s'arrête là pour le positif.
Combats encore plus débiles que dans matrix sans même une justification (à part "sont trop fort ce sont de priests"), happy end moisi, second couteau ridicule, poncifs aussi usés que des posts de Velvetu, et pour finir des dialogues grande époque, genre Commando.
Bon y'a quelque trucs visuellement sympa en 3d, mais à coté Blade c'est du Shakespeare.
Thor : Loki trahit Thor et Odin, mais en fait c'est pour buter le monde de glace et non pas pour leur ouvrir les portes. Thor revient à Aasgard mais nique le tp, et du coup il pourra jamais la glisser à Natalie Portman.
En fait, j'ai bien aimé. Quasiment zéro subtilité, un scénario plus ou moins couru d'avance, il y a quelques facilités, mais à l'inverse des films d'action récents où les héros devraient pas être invincibles mais le sont, là le héros est d'emblée imbutable.
Le film doit couvrir plein de choses à la fois mais ne s'en sort pas trop mal, à l'inverse de Spider-man 3 ou de Iron Man 2, c'est à dire sans scène véritablement honteuse et sans être véritablement décousu.
J'y mets Bite/5, et j'ajoute qu'il faut le voir sur un écran géant de cinoche avec les basses qui vont bien.
Je lui mets aussi Enculé/5 parce qu'on n'avait pas le choix de le voir en 2D, avec toute la rémanence dégueu que la 3D suppose, et aussi les deux euros sup "c'est l'tarif" même si on a les lunettes.
Ah et aussi Pute/5 because Natalie Portman.
Pour finir je dirais que j'ai beaucoup moins regretté le prix de la place que pour Avatar.
SURVIVANT(S) : un film de zombies FRANCAIS
Tourné entièrement à la MJC de Pantin par Michael J. Fox, ce film est honteux.
Le pitch est aberrant de débilité et semble tout droit sorti de l'imagination d'un gosse de 5ème : en 2014, la France est devenue un état totalitaire, et on jette tous les condamnés à mort d'origine étrangère dans une arène, le seul qui arrive à la fin regagne sa liberté. L'arène est évidemment remplie de "mutants" (vestiges d'un projet secret du gouvernement je crois), comprendre des zombies quoi.
Bien sûr du coup il n'y a quasiment que des auvergnats, condamnés à mort pour des raisons aussi diverses que "refus de don d'organes", "maladie mentale" ou encore "téléchargement illégal".
Zéro développement des personnages, des scènes d'action illisibles (et en plus parfois avec un filtre rouge foncé surimprimé à l'écran), un jeu d'acteur qui serait certainement mauvais si la caméra pouvait arrêter de faire des zig-zags, bref c'est le premier film devant lequel j'ai cru que j'allais gerber.
A la fin tout le monde meurt, la nana bute le mec qui l'a protégée pendant tout le film, mais elle se fait rattraper et boulotter parce que "dans survivants, il n'y a pas de survivants". BAH OUAIS C'EST LA FRANCE SARKOZYSTE TU VOIS.
Le meilleur pour la fin : le DVD coute 10 euros et ça dure une demi heure.
Ceci dit, dans les bonus il y a le précédent court-métrage du réalisateur :
THEY WERE IN NORMANDY :
C'est Band of Brothers FRANCAIS en 20 minutes. En fait c'est nul, à part un dialogue :
(Deux acteurs bien franchouillards, avec un jeu d'acteur assez gay et une musique sortie tout droit d'un dessin animé disney)
"-Ce paysage, ça me rappelle l'Ohio...
-Tu connais l'Ohio ?
-Bien sûr, je suis né là-bas."
J'ai ri pendant dix minutes.
Aussi à la fin il y a une baston contre les boches, filmé par une fusion entre jean pierre coffe et michael j fox, c'est tellement illisible que tu crois que tous les héros sont morts alors qu'en fait non, ils sont tous vivants à part celui "qui devait se marier hier".
Au final, je dirais qu'heureusement que c'est un pote qui l'a acheté, sinon j'aurais vachement plus regretté qu'Avatar.
En fait, j'ai bien aimé. Quasiment zéro subtilité, un scénario plus ou moins couru d'avance, il y a quelques facilités, mais à l'inverse des films d'action récents où les héros devraient pas être invincibles mais le sont, là le héros est d'emblée imbutable.
Le film doit couvrir plein de choses à la fois mais ne s'en sort pas trop mal, à l'inverse de Spider-man 3 ou de Iron Man 2, c'est à dire sans scène véritablement honteuse et sans être véritablement décousu.
Ouais ben pareil.
Je l'ai trouvé sympa dans le sens ou je m'attendais à du film de super-héros (aka : scénario de merde) et ou au final comme tu le dis, c'est certes convenu mais fait rarissime plutôt "limpide" : le rythme est assez lent pour le genre, si bien que les événements ne se succèdent pas façon Micheal Bayienne (1 événement toutes les 3 minutes).
Même l'histoire d'amour, qui ne sert strictement à rien dans le récit, reste digeste.
J'aime à penser que Kenneth y est bel et bien pour quelques chose.
Dommage finalement qu'un tel casting ne puisse servir une intrigue plus complexe (Condition sans doute imposée par les Majors).
EDIT : Ah si, truc également notable, je ne sais pas si c'est lié à la direction artistique, au scénar ou à l'acteur, mais c'est agréable de suivre un héros finalement plutôt "sobre" et sympathique. On est loin d'un Will Smith.
Le discours d'un roi
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Dans le titre, je pensais que roi ferait plutôt référence à un truc moyenageux.
Film très simple et plutôt sympatique, qui réussit l'exploit de faire verser une larme sur les problèmes d'un mec né avec une petite cuiller en argent dans la bouche et qui fait oublier la faim dans le monde.
La réal est classique, rien de spécial de ce côté mais en revanche Colin Firth défonce tout dans le premier rôle.
Animal Kingdom :
En Australie, une famille de hors-la-loi tente des petits coups alors qu'elle est surveillée par les keufs. Ca va de la grand-mère au petit neveu, Joshua, récupéré au début du film alors qu'on vient de buter sa mère. La bande d'oncles va petit à petit se retrouver dans des emmerdes de plus en plus grosses et dangereuses avec les keufs, pendant que Josh aura la possibilité de coopérer avec eux pour mettre fin au bain de sang.
Franchement sympa mais trop long, le rythme est haletant en début et fin de film, y'a quelques longueurs entre, le scénariste surligne à mort des éléments en collant des séquences imbitables qu'on pouvait skipper en une phrase de dialogue ou une simple image. Mais globalement agréable et fin sympa.
The killer inside me.
On sait dès le départ que Casey Affleck est un tueur, il a un problème avec les femmes et aime leur mettre des coups de poings dans le bidon jusqu'à ce qu'elles en crèvent parceque sa nounou le poussait à lui gifler les fesses quand il avait 8 ans. Il bute donc la pute et son pote après une demi heure, fait passer ca pour une engueulade entre les deux, puis explose la gueule de sa copine.
Les flics tentent de le coincer mais il est remis en liberté, et il se suicide dans une BAYXPLOSION de sa barraque après avoir fait rentrer la pute survivante et les flics.
Très bon film, fin moisie.
Le Gamin au vélo :
Un jeune belge dans un foyer de concentration cherche son reup qui a foutu le camp car il veut refaire sa vie et ne veut pas de ce prétendu boulet. Le gamin est forever alone, recueilli précairement les week-ends par Cécile de France, coiffeuse, et va être mêlé à des histoires de voyou.
Je sais pas si ça méritait un grand prix à Cannes mais c'est vraiment pas mal. Un truc moins dans la veine de Monsieur Papa que de This is England quoi.
Le Chat du rabbin :
Un chat feuj en Algérie dans les années 30. Son propriétaire, un rabbin, découvre que son chat parle. L'élément déclencheur, c'est un pancake russe qui débarque dans une caisse pour échapper aux soviétiques ; de là, rabbi jacob, son chat et une troupe d'autres connards vont partir en roadtrip pour évangéliser l'afrique noire et essayer de voir s'ils tombent pas sur jérusalem sans trop y croire.
Super sympa, la mise en place du début est un poil longue mais nécessaire. On se marre souvent, de plus le flime propose une réflexion jamais chiante sur la religion, l'art et ce genre de conneries.
Le Passe-temps de son Père :
Chef d'oeuvre.
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