Légalisation de la vente de drogue (Page 4 sur 4)

Mouais, c'est sympa la dépéno, mais qu'est ce que tu vas faire de ces millions de boucakes vendeur de drogues dans les tessis ?

C'est une bonne chose la dépénalisation, mais oh mon dieu ! que vont devenir ces milliers de jeunes dont les parents parqués misérablement dans des HLM sordides et vétustes depuis quarante ans, lâchement abandonnés par la société, sans argent pour subsister, refusés dans toutes les écoles et les entreprises à cause d'un faciès différent, victimes du racisme primaire des français de souche égoïstes et méchants, qui n'ont d'autres choix que la vente de drogues pour survivre ?

Curieux pour un pays fondamentalement catho. Ils ont même légalisé le mariage gay. Encore plus curieux.

Rem. dans la docum. T.L.F., essentiellement littér., à bicyclette apparaît plus fréquemment (120 ex.) que en bicyclette (34 ex.), appartenant à un usage parlé très répandu. Les ouvrages récents (Grevisse, Dauzat, Hanse, Robert) s'accordent pour défendre les 2 usages (cf. DUPRÉ 1972, pp. 6-7). Aller à bicyclette est parfois exigé par des grammairiens postulant que en signifiait toujours « dans » quand il précède un mot désignant un lieu, ce qui n'est pas toujours le cas, comme le montrent les expr. en scène « sur la scène », en mer « sur la haute mer », en tête « à la tête ». Quand il s'agit de manières de se déplacer, il semble que l'usage tende à opposer les inanimés (aller en train, en métro, en voiture, en avion, en vélo, en bicyclette) et les animés ou parties d'animés (aller à cheval, à pied, à quatre pattes). En raison de l'insistance des grammairiens puristes, à bicyclette appartient aujourd'hui à un niveau de lang. plus relevé que en bicyclette (ce dernier, p. ex., dans la Correspondance de J. Rivière, dans le Curé de campagne de G. Bernanos, chez Céline, Simone de Beauvoir).