Re : [lecture] now reading
J'ai beaucoup de mal à finir "Peste". Je ne sais pas si c'est la traduction, ou l'écriture uniquement basé sur des "témoignage" des personnages, mais je le trouve lourdingue.
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J'ai beaucoup de mal à finir "Peste". Je ne sais pas si c'est la traduction, ou l'écriture uniquement basé sur des "témoignage" des personnages, mais je le trouve lourdingue.
Ah ah Soral quoi.
Soral, il ne dit pas que des conneries.
NiarkNiark a écrit:Ah ah Soral quoi.
Soral, il ne dit pas que des conneries.
C'est vrai, il en ecrit beaucoup aussi.
Laisse, c'est une vieille blague avec Jean-Marie que je recyclais.
Je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, puisqu'il dit que l'année prochaine c'est la fin du monde.
Laisse, c'est une vieille blague avec Jean-Marie que je recyclais.
En fait, la réponse de Dragunov est aussi une blague (adaptée et recyclée) de Desproges sur Marguerite Duras.
Le coup des dialogues du narrateur, c'est dans tous ses livres, c'est sa marque de fabrique, et un peu sa seule figure de style, parce qu'il est très faible de ce point de vue-là.
Palahniuk, ça doit être l'écrivain le plus surfait du moment.
J'ai Choke en stock. Je le lirai un jour pour vraiment me faire une idée mais effectivement pour l'instant c'est bof.
Le livre n'est pas nul et se laisse lire mais le film est vraiment meilleur tout en reprenant 95% du bouquin.
Que ce soit la trame, les dialogues, le "message", tout y est.
Après ouais le style n'a rien de transcendant.
Le livre il a fait son petit effet lors de la sortie? (ce qui étonnerait)
Ou c'est le carton générationnel du film qui a lancé Palahniuk comme écrivain?
aliocha a écrit:Le coup des dialogues du narrateur, c'est dans tous ses livres, c'est sa marque de fabrique, et un peu sa seule figure de style, parce qu'il est très faible de ce point de vue-là.
Palahniuk, ça doit être l'écrivain le plus surfait du moment.J'ai Choke en stock. Je le lirai un jour pour vraiment me faire une idée mais effectivement pour l'instant c'est bof.
Le livre n'est pas nul et se laisse lire mais le film est vraiment meilleur tout en reprenant 95% du bouquin.
Que ce soit la trame, les dialogues, le "message", tout y est.
Après ouais le style n'a rien de transcendant.Le livre il a fait son petit effet lors de la sortie? (ce qui étonnerait)
Ou c'est le carton générationnel du film qui a lancé Palahniuk comme écrivain?
J'ai lu quelque part que Palahniuk avait écrit ce bouquin comme une grosse blague pour se faire plaisir et qu'il s'attendait a tout sauf a avoir du succès.
Ce serait pas la première fois qu'une créature échappe a son concepteur.
Il a cartonné directement, c'est pour ça qu'il a été adapté.
Descendant de parents d'origines russe et française, Chuck Palahniuk suit des études de journalisme mais travaille pourtant pendant plus de dix ans comme mécanicien. Parallèlement à cette activité, il est volontaire dans les hospices pour jeunes malades du sida ou du cancer ; c'est dans ces lieux qu'il prend conscience que la mort peut arriver à tout moment, et il se met à écrire alors qu'il a déjà plus de trente ans pour laisser une trace. Son premier texte 'Invisible Monsters' est rejeté par les éditeurs qui le voient comme trop violent. Chuck Palahniuk est amer face à ce refus et décide alors d'écrire encore plus trash, plus violent. C'est en 1996 que sort son second roman 'Fight club', écrit en trois mois seulement. Il rencontre le succès auprès de la critique mais le public n'est pas encore au rendez-vous : ce roman n'est vendu qu'à 5.000 exemplaires. Les romans suivants viennent confirmer la singularité de son écriture : que ce soit 'Survivor', 'Invisible Monsters' (qui finalement devient son troisième roman) ou 'Lullaby', on retrouve dans chacun d'eux son univers, sa vision, sa violence. Lancé dans l'écriture romanesque, il fait aussi ses premiers pas dans le journalisme ; il collabore toujours à 'Gear', 'Bikini', 'Blackbook' ou 'The Stranger'. En 2008, fidèle à lui même, il écrit 'Peste', biographie de Buster Casey, le plus grand tueur en série de tous les temps. Il vit aujourd'hui avec sa famille dans un ranch près de Portland et appartient à une organisation gentiment émeutière, la Cacophony Society.
Donc ca n'a pas cartonné au départ même si la critique était bonne.
C'est bien ce qui me semblait en lisant le bouquin. Sans le film, personne ne connaitrait Fight Club.
J'ai lu quelque part que Palahniuk avait écrit ce bouquin comme une grosse blague pour se faire plaisir et qu'il s'attendait a tout sauf a avoir du succès.
Ce serait pas la première fois qu'une créature échappe a son concepteur.
Il me semblait que c'était le réal qui l'avait adapté comme une grosse blague/pour se faire plaisir, d'où le plan avec la bite en dernière image et non la fin originale du bouquin.
De la balle.
Le film je ne l'ai pas vu en entier mais je connaissais le pitch (drogue + journaliste = gonzo)
Bah ca claque
Y'a des passages j'étais plié.
Le mec qui en pleine montée d'acide voit des ptérodactyles dans le bar manger tout le monde le tout dans une marée de sang, l'mange merde d'avocat encore plus défoncé que "Dr. Gonzo" tentant toujours de rattraper les coups foireux, tout vraiment tout...y'a rien à jeter.
Le chapitre qui décrit San Francisco nageant dans le LSD avec des camés partout est juste hallucinant.
Un exemple:
Étranges souvenirs dans cette nuit tendue de Las Vegas. 5 ans ont passé déjà... 6 ans ? Ça parait plutôt une vie entière.. Le genre de zénith qui ne se reproduit jamais. Être à San Francisco dans les sixties, signifiait vivre à une époque et dans un lieu bien particulier. Mais aucune explication, aucun mélange de mot, de musique, ne peut restituer ce que c’était d’être et de vivre dans ce coin du temps et de l’espace. Quoi que ça ai pu vouloir dire... Il y avait de la folie dans tout les sens, à toute heure. On pouvait allumer des étincelles partout. Il y avait ce sentiment extraordinaire que quoi que nous fassions, c’était juste que nous étions en train de gagner. Et ça je crois, c’était la force qui nous poussait. Cette sensation de victoire inévitable sur les forces du vieillissement et du mal.. Pas au sens militaire du mot victoire, on en avait pas besoin. Notre énergie déborderai par dessus tout. Nous avions un élan formidable. Nous surfions sur la crête d’une vague très haute, et très belle. Alors maintenant, moins de 5 ans après, vous pouvez aller au sommet d’une colline escarpé de Las Vegas regarder vers l’ouest, et si vous avez le regard qu’il faut, vous pouvez voir la ligne de partage des eaux et de la terre, l’endroit où la vague a fini par déferler, et opérer son reflux.
C'est très différent du film ?
Non, vraiment pas.
Par exemple le passage y est cité mot pour mot.
J'ai juste vu un bout du film et c'était y'a longtemps.
Ce que j'ai vu (la course et le bordel dans l'hotel) ca y est.
Après c'est vraiment excellent tellement c'est barré et ca je pense qu'ils n'ont pas pu le retranscrire en film.
Il prenne un jeune en autostop alors qu'ils sont complétement camés:
Mon mange merde d'avocat aperçut l’auto-stoppeur bien avant moi. « On va prendre ce garçon », déclara-t-il ; et avant que j’aie pu rassembler mes objections, il s’était arrêté et le pauvre môme arrivait à la voiture en courant avec un sourire large comme la figure et s’exclamant : « Nom d’un chien ! C’est la première fois que je monte dans une décapotable !
— Pas possible ! fis-je ; je suis sûr que tu n’y tenais plus, hein ? »
Le môme opina ardemment tandis que nous repartions en trombe.
« Nous sommes tes amis, s’écria mon mange merde d'avocat ; on n’est pas pareils que les autres. »
Oh, Seigneur, pensai-je ; ça y est, il débloque. « Je ne veux plus rien entendre de la sorte, coupai-je sèchement ; sans ça, je te colle les sangsues. » Il me fit une grimace qui pouvait laisser croire qu’il avait compris. Heureusement, il y avait dans la voiture un boucan de tous les diables, entre le vent et la radio et le magnéto, et le petit gars à l’arrière aurait été bien en peine de saisir une seule parole. Et s’il entendait ?
Combien de temps pouvons-nous tenir ? me demandais-je. Combien de temps avant que l’un de nous deux se mette à baragouiner et à divaguer devant ce jeune gars ? Que pensera-t-il alors ? C’est dans ce même désert abandonné que la famille Manson avait établi sa dernière résidence connue. Va-t-il avoir la sinistre idée de faire le rapport quand mon mange merde d'avocat va commencer à hurler qu’il voit des chauves-souris et de gigantesques raies-mantas foncer sur la voiture ? Si oui… eh bien il ne nous restera plus qu’à lui couper le sifflet et à l’enterrer quelque part. Parce qu’il va sans dire que nous ne pouvons plus le laisser filer. Il irait immédiatement nous dénoncer à je ne sais quelle organisation-nazie-des-familles-pour-l’application-de-la-loi qui nous traquerait comme des chiens enragés.
Bon sang ! Est-ce que je viens de dire ça ? Ou seulement de le penser ? Est-ce que je parlais tout haut ? Est-ce qu’ils m’ont entendu ? Je jetai un coup d’œil sur mon mange merde d'avocat qui semblait n’avoir rien remarqué, yeux rivés sur la route où il faisait filer notre Great Red Shark vers les 180 à l’heure. Pas un bruit sur le siège arrière.
Je ferais peut-être mieux d’avoir un brin de conversation avec ce garçon, me dis-je. Peut-être que si j’explique les choses, il se tiendra tranquille.
Mais bien sûr. Je me retournai sur mon siège et lui balançai mon plus beau sourire… tout en admirant la forme de son crâne.
« Au fait, fis-je, il y a un petit truc qu’il faudrait que je t’explique. »
Il me fixait de ses yeux grands ouverts. Entendais-je des grincements de dents ?
« Est-ce que tu m’entends ? » gueulai-je.
Il fit oui de la tête.
« Parfait, fis-je ; car je veux que tu saches que nous sommes en route pour Las Vegas dans le but de trouver le Rêve Américain. » Je souris. « C’est pour ça qu’on a loué cette bagnole. C’était la seule manière de s’y prendre. Tu me suis ? »
Il fit encore oui de la tête, mais il y avait de la nervosité dans ses yeux.
« Je veux que tu connaisses toute l’histoire depuis le début, dis-je ; car cette tâche qui nous a été assignée est lourde de menaces – sans écarter des risques personnels considérables… Bon sang, j’avais complètement oublié ma bière ; t’en veux une ? »
Il fit non de la tête.
« Qu’est-ce que tu dirais d’un peu d’éther, alors ?
— Quoi ?
— Non, rien. Venons-en au principal. Tu vois, il y a à peu près vingt-quatre heures, nous étions assis au Polo Lounge du Beverly Hills Hôtel – dans le patio, bien entendu – et donc on était là sous un palmier lorsqu’un nain en uniforme est venu m’apporter un téléphone rose en me disant : " Je pense que c’est le coup de fil que vous avez attendu tout ce temps, monsieur. " »
Je m’esclaffai en ouvrant une boîte de bière qui recouvrit de mousse tout le siège arrière. Mais je poursuivis : « Eh ben tu sais ? Il avait raison ! Je m’attendais à ce qu’on m’appelle, mais je ne savais pas qui m’appellerait. Tu me suis ? »
La face du garçon était maintenant un masque d’ahurissement et de peur sans mélange.
Et je m’enlisai de plus belle : « Je veux que tu comprennes que ce type qui est au volant est mon mange merde d'avocat ! Faut pas croire que c’est le premier abruti que j’aurais ramassé sur le Strip. Merde, quoi, suffit de le regarder ! Il ne ressemble ni à toi, ni à moi, pas vrai ? C’est parce qu’il est étranger. Je suis à peu près sûr qu’il vient de Samoa. Mais ça ne nous dérange pas, n’est-ce pas ? Est-ce que t’as des préjugés raciaux ?
— Oh la la, pas du tout ! lâcha-t-il.
— Je m’en doutais bien, dis-je ; car en dépit de sa race, cet homme m’est extrêmement précieux. » Je jetai un coup d’œil vers mon mange merde d'avocat, mais il avait l’esprit ailleurs.
Je bourrais de coups de poing le dos du siège du conducteur. « C’est important, nom de Dieu ! C’est une histoire vraie ! » La voiture fit une embardée épouvantable, puis se redressa. « Retire tes foutues pattes de mon cou ! » hurla mon mange merde d'avocat. A l’arrière, le môme avait l’air de vouloir sauter de la voiture illico et de tenter sa chance ailleurs.
Et c'est tout le long comme ca.
Ils sont camés, en décalage avec le monde et ils "tentent" de gérer les deux
Après c'est semi-autobiographique.
Il est envoyé par le nouveau magazine Scanlan's Monthly couvrir le Derby du Kentucky de Louisville (ville natale de Thompson). Il y rencontre pour la première fois le dessinateur anglais Ralph Steadman, qui doit illustrer son article. Ils vont vivre une folle virée, teintée d'alcool, de drogues et de scandales, et n'assisteront au Derby que de très loin. Stressé et n'ayant rien à raconter sur la course, Thompson utilisera les notes sommaires de son carnet pour rédiger l'article. Intitulé The Kentucky Derby Is Decadent and Depraved, l'article est considéré comme révolutionnaire dans l'histoire du journalisme. Thompson y développe un style nouveau, ultra subjectif, autobiographique et sarcastique qui deviendra sa marque de fabrique. Bill Cardoso, rédacteur en chef du Boston Globe, décrira cet article comme le texte fondateur du journalisme Gonzo.
Un mec bien quoi.
Et à 67 ans il dit ca:
"No More Games. No More Bombs. No More Walking. No More Fun. No More Swimming. 67. That is 17 years past 50. 17 more than I needed or wanted. Boring. I am always bitchy. No Fun — for anybody. 67. You are getting Greedy. Act your old age. Relax — This won't hurt."
Un peu avant de se tirer une balle dans le crane.
Conformément a son testament, les cendres de HST on été dispersées par le tir d'un canon de 45m de haut en forme de poing a 2 pouces qui tient une fleur de peyote, monté pour l'occasion dans le jardin de sa maison d'aspen, la station de ski chicos du colorado. toujours conformément au testament, le tir a été accompagné d'un feu d'artifice et d'une fete extravagante (financée par johnny depp) avec plus de 300 invités. Une biere spéciale a été mise en bouteille (gonzo beer) avant la cérémonie et vendue super cher, super chere dont une offrait un "golden ticket" pour assister a la fete d'enterrement tous frais payés
les invités étaient invités a etre nus, et l'ambiance sonore voulue par HST devait etre constituée de rires et des tintements des glacons dans les verres
les voisins se sont chargé de faire fuir les paparazzi en leur tirant dessus au fusil de chasse, et en le clamant dans les journaux que les intrus ne seraient pas tolérés a 5 km a la ronde. ça a marché Smile
Ahaha
Le logo en question
"Bon sang ! Est-ce que je viens de dire ça ? Ou seulement de le penser ? Est-ce que je parlais tout haut ?"
Ahaha, la phrase typique de la défonce.
C'est le meilleur putain d'enterrement dont j'aie entendu parler.
Petit roman soit disant historique sur l'affaire d'Hautefaye.
En 1870 pendant la guerre contre les bosh, un notable se fait lyncher par la foule en quelque part dont on ne peut pas parler sauf en ninja.
Sans trop de raison.
La base du truc pourrait être intéressante, un zeste de chouannerie, la crispation de la société à cette époque etc.
A la place on a un torche-cul de 100 pages où des méchants paysans torturent un gentil bourgeois.
Un simili Sawn campagnard mal écrit, totalement improbable et ridicule.
Grosse grosse merde.
On suit Choukov une journée dans un goulag.
Mec qui s'est pris 10 ans juste pour avoir réussi une évasion d'un camp de prisonnier allemand pendant la deuxième guerre mondiale.
Quand il retrouve les russes de l'autre coté du front c'est forcément un espion aux yeux du gouvernement.
10 ans en Sibérie à poser des briques et monter des murs sous une température de -30.
Bah il a du bol, désormais le tarif c'est 25 ans pour tous.
Le fatalisme russe dans toute sa splendeur.
Soljenitsyne a passé 11 ans dans les goulag et forcément ca marque.
Petit roman soit disant historique sur l'affaire d'Hautefaye.
En 1870 pendant la guerre contre les bosh, un notable se fait lyncher par la foule en quelque part dont on ne peut pas parler sauf en ninja.
Sans trop de raison.
Vache, bien sordide comme affaire...les descendants de ces gens sont supporters je pense.
Soljenitsyne a passé 11 ans dans les goulag et forcément ca marque.
Alors petite nuance, il a passé deux ans (me semble) dans un vrai camp de travail, puis le reste de sa peine de huit ans dans une charachka (un camp pour scientifiques) où il a fait de la physique nucléaire. Par contre il a été torturé copieusement pendant son interrogatoire (une instruction à la Loubianka ça durait six mois), et tout ça pour une malheureuse histoire de lettre interceptée.
Et sinon, oui, tous les Russes, sans exception, qui ont survécu aux camps nazis (où ils recevaient le même traitement que les pancakes) ont fini au Goulag. Survivre à Auschwitz pour finir à la Kolyma où l'espérance de vie n'était que de un an...
une instruction à la Loubianka ça durait six mois
http://www.youtube.com/watch?v=QOPhVxlw … r_embedded
Je connais pas trop l'histoire des goulags et tout. En fait mes connaissances sur la Russie sont plutôt bof...a part les poncifs sur l'âme slave prête à tout endurer stoïquement.
Donc ouais des mecs ont connu les camps des deux cotés mais y'a une différence quand même.
En Allemagne t'étais là-bas principalement pour crever. La finalité c'était le four. C'était carré. Allemand.
En Russie tu te retrouvais au goulag pour rien. Blam 10 ans, 20 ans.
A la limite c'est presque pire. Se retrouver en pleine Sibérie à construire des conneries inutiles sans aucunes raisons valables.
Et que ce soit les détenus, les gardiens, les chefs...Les règlements débiles valaient pour tous, les comptages, flicages etc...
Un truc à la russe. Bordélique mais absurde jusqu'au bout.
Petit roman soit disant historique sur l'affaire d'Hautefaye.
En 1870 pendant la guerre contre les bosh, un notable se fait lyncher par la foule en quelque part dont on ne peut pas parler sauf en ninja.
Sans trop de raison.
Le bouquin de Corbin m'avait été conseillé (alors bien sur ça doit être plus sous l'angle historique voir ethno-historique).
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