Non mais je me fais chier ? ?crire des trucs pour rien moi tu vois.

Bon voilà, j'avais un boulot à rendre en histoire, et je me suis dit "je me branlerais bien sur du lolicon". Puis après le me suis dit "bon, d'abord, je vais aussi en faire profiter cette bande de dégénérés du site de racistes, ces pauvres gens ont absolument besoin de culture". Donc Ctrl+C Ctrl+V, voilà.

Un site qui parle du truc en question ici.

"Le familistère de Guise.

Le mot utopie pourrait avoir deux origines. La première serait que le mot viendrait du grec eu-topos, soit « le lieu heureux », et la deuxième du grec ou-topos, soit le « lieu qui n'existe pas ». Certains les ont cherchées, d'autres les ont construites.

Jean-Baptiste-André Godin est l'un d'entre eux.

Né en 1817, Godin devient compagnon serrurier ) l'âge de 18 ans. Pour sa formation, il parcourra la France et y découvrira la misère ouvrière de l'Age Industriel. En effet, la Révolution Industrielle a certes permis à certaines élites de devenir très riches, mais elle a aussi plongé dans la misère des populations entières, qui s'entassent parfois jusqu'à 10 dans une seule pièce insalubre, mal chauffée et sans hygiène. Il se promet alors que, si il devient chef d'enjeanrise, il fera tout pour arranger la vie de ses employés.

Quelques années plus tard grâce à une de ses inventions, le poêle en fonte Godin (qui surpassait ceux en tôle), il fait rapidement fortune. Il décide alors, en s'inspirant de certaines idées Fourièristes de créer son Familistère, qui doit permettre aux travailleurs de vivre décemment. Mais, s'il ne peut leur donner à tous une maison bourgeoise comme celles de l'époque, il leur donnera ce qu'il appelle les « équivalents de la richesse », soit par exemple un logement agréable, à manger pour tous, l'hygiène , l'éducation pour les enfants jusqu'à 14 ans (et ce bien avant Jules Ferry) et un accès à la Culture plutôt qu'à la religion (le théatre). De plus, les habitants du Palais Social (terme qui peut sembler paradoxal) participent activement à la vie du Familistère, à travers des fêtes diverses ou tous les Familistèriens sont conviés. Après sa mort, il confiera même le Familistère et son enjeanrise à ses employés.

A l'intérieur du Familistère, tous les gens étaient égaux, quel que fût leur rang dans l'enjeanrise. Godin lui même vivait dans un deux-pièces.

Cependant, même si le Familistère ne présentait au début que des avantages, vite, la situation va commencer à se détériorer. En effet, Godin avait pensé à un système « d'auto surveillance » placé sur la délation (qui n'était pas mal percue à l'époque, il faut le rappeller). Chacun pouvait dénoncer son voisin si il le voyait faire quelque chose de répréhensible par le règlement. Le familistère prenait alors un côté prison de verre. Le phénomène s'est d'ailleurs encore amplifié après la mort de son fondateur, avec la création des tableaux où étaient affichés qui avait quoi, et la somme qu'il avait à payer, rajoutant à l'amende (parfois jusqu'à un dixième du salaire) l'humiliation. De plus, avec le temps, il va y avoir une sorte de séparation entre ceux qui étaient depuis longtemps dans le Familistère et ceux qui n'y habitaient que depuis récemment, à l'opposé total de l'idéal de Godin. Enfin, même si c'était dans l'intention évidente de bien faire, on notera que parfois Godin se comportait de manière paternaliste, « le peuple, ce grand enfant qu'il faut éduquer ».

Le familistère de Godin fut donc une des très rares utopies construites et ayant réellement fonctionné offrant à tous ce dont ils avaient besoin, et ce, pendant cent ans. Au début, c'était presque une sorte d'utopie dans le premier sens, le lieu heureux, mais le principe de ce système reposant sur un système restrictif dans le but de garantir l'égalité, au détriment des libertés, la situation s'est détériorée après la mort de son constructeur. Plus il y a de libertés, et moins il y aura d'égalité, cela a malheureusement été prouvé plusieurs fois durant l'histoire.

Les utopies parfaites où tout le monde vivrait parfaitement heureux ne sont restées pour l'instant que des rèves. Car l'être humain n'est malheureusement pas parfait, et c'est bien là le problême."

Bon, vala, si question, vous me les posez, je me ferait une joie de ne pas y répondre.