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Merci d'être passé. Si je te comprends bien, le livre ne marque pas du tout une étape dans la structuration de la science politique et de la philosophie politique comme disciplines différentes.

Tu t'es fait avoir, ce n'est pas Dracula, c'est Freddy.

On t'aurait pas appris à écrire surtout.

Ouais je sais c'est pas tout neuf mais je ne l'ai jamais lu.
(Sinon Terreur c'est sympa. Rien de transcendant mais les 1000 pages se lisent sans forcer)

Mais c'est bien le genre de certains cons sans imagination du site de cuisine de faire de la récup. Méfions-nous !

La série arrive en Avril, il y a un "inside of" qui traine sur le net pas trop mal foutu et qui permet d'avoir quelques aperçus de certains persos.

Tu peux faire un bouquin passionnant de 1200 pages avec vachement d'action, de la politique, un univers palpable, et aucune description, Dostoïevski écrivait comme ça.

Après avoir pendu Merry avec les tripes de Tom Bombadil.

On parle de Maïa, pas de Tolkien et encore moins de Dostoïevski

Il n'y a que sur l'Asile où l'on peut dire des trucs aussi dangereux et politiquement incorrects, tu touches à Tom Bombadil, et c'est le tribunal de l'Internet qui te condamne à l'infamie.

L'histoire et la généalogie, n'importe quel personnage peut te les expliquer (c'est d'ailleurs comme ça que c'est le plus dynamique et le plus intéressant, parce qu'en plus tu peux brouiller les cartes avec les préjugés de ton personnage), quant à la géographie, bah... par défaut c'est la même un peu partout : des océans, des forêts, et des putains de montagnes. Je dis bien "par défaut". Les héros peuvent traverser le col de Shezargagat et manquer d'y crever de froid (ça c'est l'action), mais peu me chaut de savoir que les séracs sont craquelés ou que les pics ont des formes menaçantes, comme on le lira dans une "bonne" description pour laquelle l'auteur aura sué en épluchant consciencieusement son dictionnaire analogique à l'entrée "montagne" - kikou Damasio. Il suffit d'avoir déjà vu une montagne quoi.
En revanche, ça peut se justifier comme dans les Montagnes hallucinées, qui n'est qu'une longue description pour cinq pages d'action seulement et des dialogues inexistants. Mais là, on rentre dans la poésie, domaine que maîtrisait Lovecraft, ce qui n'est pas le cas de beaucoup de romanciers.