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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Conrad a écrit:

Mon conseil : achète une BX.

J'irai même jusqu'à dire, une BX Break.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

IronMomo a écrit:
Conrad a écrit:

Mon conseil : achète une BX.

J'irai même jusqu'à dire, une BX Break.


Il y a des limites à l'indicible Monsieur. Je vous demande de vous arrêter. Et pourquoi pas une fuego pendant que vous y êtes?

http://www.bettercallsaul.com/

N'imprimer ce message que si nécessaire, pensez à l'environnement

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Ah, les gens qui laissent l'impayé locatif augmenter, voient arriver l'assignation (pas d'expulsion d'un local d'habitation sans jugement, il y a eu un procès et une audience) ne répondent ni à l'huissier ni à l'mange merde d'avocat, ne font pas appel aux aides (celles du fonds de solidarité pour le logement  par exemple), ne répondent à aucun courrier, ne réagissent pas après la délivrance du commandement de quitter les lieux (en ne demandant pas de délai de grâce au juge par exemple).

Ce n'est que lorsque l'huissier arrive pour procéder à l'expulsion qu'ils réagissent ou tentent de le faire. C'est généralement trop tard.

Désolé qu'un truc comme ça t'arrive, je peux comprendre que tu en veuilles à tes parents d'avoir merdé, à leur décharge je dirais qu'il n'est jamais évident d'admettre qu'on est dans la merde. Bon courage.

Pour ton relogement, vu que tu es étudiante et disposes de quelques ressources, pourquoi ne pas tenter les foyers de jeunes filles, style le foyer international des étudiantes (http://www.fie.fr/francais/ , ils ont parfois des désistements en cours d'année) voire si tu es dans la merde financièrement le palais de la femme (!url!) (en plus le bar devant est rempli de vieux dragueurs).

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Ah le Palais de la femme, si t'aimes les goudous, tu vas être servie. Ça tapine beaucoup aussi là-bas.

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

SojaCouille a écrit:

C'est pas ce genre de foyer ou tu peux pas rentrer après 22h ni amener plus d'une personne et encore il faut prévenir la concierge plus de 48h à l'avance ?

Les hommes n'ont même pas le droit de rentrer, y compris ceux de ta famille.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Ca lui évitera de se faire squatter par sa famille. Et en plus c'est toujours mieux que d'être à la rue.

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

y a moyen d'avoir des photos chocs là... vas y sacam c'est un article en une du site de racistes qui t'attend, la gloire, la coke, les putes...0h wait tu les auras déjà

Australian addict

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

thedarkdreamer a écrit:

Ah, les gens qui laissent l'impayé locatif augmenter, voient arriver l'assignation (pas d'expulsion d'un local d'habitation sans jugement, il y a eu un procès et une audience) ne répondent ni à l'huissier ni à l'mange merde d'avocat, ne font pas appel aux aides (celles du fonds de solidarité pour le logement  par exemple), ne répondent à aucun courrier, ne réagissent pas après la délivrance du commandement de quitter les lieux (en ne demandant pas de délai de grâce au juge par exemple).

Ce n'est que lorsque l'huissier arrive pour procéder à l'expulsion qu'ils réagissent ou tentent de le faire. C'est généralement trop tard.

Désolé qu'un truc comme ça t'arrive, je peux comprendre que tu en veuilles à tes parents d'avoir merdé, à leur décharge je dirais qu'il n'est jamais évident d'admettre qu'on est dans la merde. Bon courage.

Pour ton relogement, vu que tu es étudiante et disposes de quelques ressources, pourquoi ne pas tenter les foyers de jeunes filles, style le foyer international des étudiantes (http://www.fie.fr/francais/ , ils ont parfois des désistements en cours d'année) voire si tu es dans la merde financièrement le palais de la femme (!url!) (en plus le bar devant est rempli de vieux dragueurs).

Ca me parait être la meilleure solution.
J'avais une copine un peu comme toi a la Sup de Co, elle travaillait pour se payer les études(tupperware, mac do, .....), squatter a droite a gauche, ses parents l'avait mit a la porte.  elle a du arrêter de payer l'ESC en dernière année.
15 ans après je l'ai retrouvé, bon boulot, mari + gamin, la belle vie.
Ca fait murir rapidement, mais c'est pas plus bête de commencer a se démerder a 20 ans que d'attendre la bouche en cul de poule le super job qui n'arrive jamais, en fumant des joints et en surfant sur internet.
Un jour au l'autre on se prend tous des baffes dans la vie, et tout le monde s'en sort, pour peux de le vouloir.
Pour les conseils pratiques il y a bien quelqu'un ici pour t'aiguiller, moi, je vis depuis trop longtemps a l'étranger.

Sanitation? I told you to tell 'em that you was in a sanitarium, not sanitation, sanitarium

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Oui, et puis des fois tu te prends des baffes comme moi, et tu finis toxico et alcoolique, à faire de l'intérim pourri, j'espère que tu as un bon karma !

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

VoPo a écrit:

Un jour au l'autre on se prend tous des baffes dans la vie, et tout le monde s'en sort, pour peux de le vouloir.

Ca c'est l'argument de grand-père. Des fois tu as beau avoir toute la volonté du monde tu ne trouves juste pas de taf et tu ne t'en sors pas.

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

ne pas trouver de taff maintenant c'est un peu être une quiche, quand t'es dans le besoin tu prends tout ce que tu peux, tu revois tes prétentions à la baisse...

Australian addict

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Dixit le type qui est en Australie.

SojaMoule : "Tu perds ton temps, c'est l'asile et je t'emmerde. Dans ta forteresse de certitudes apprises à l'école ou dans tes lectures, tu n'es pas le dépositaire de la vérité absolue."
Reblochon : "As-tu quelque chose d'intéressant et constructif à dire  ? Oui ? Lâche toi ! Non ? TA PUTAIN DE GUEULE D'ATTARDÉ, tu la fermes. Bisous"

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

yoother a écrit:

ne pas trouver de taff maintenant c'est un peu être une quiche, quand t'es dans le besoin tu prends tout ce que tu peux, tu revois tes prétentions à la baisse...

Tu as essayé dernièrement ? Moi oui, j'ai même cherché pour être rempoteur de rayons, ya q.u.e.d.a.l.l.e.

Ou alors, les mecs voient bac+4 sur le cv, et ils se disent "c'est quoi ce désaxé", ce qui a été plus ou moins l'impression que j'ai eue lors d'un de mes entretiens d'embauche.

Donc les lieux communs c'est cool mais faut pas oublier que dans le marché de la dèche est concurrentiel, pas tout le monde ne réussit à trouver un taf. Et comme d'hab ce genre de petits boulots ça marche mieux quand t'as des nichons.

Sinon tu as d'autres astuces pour revoir plus ses prétentions à la baisse que vendeur de sandwich ou rempoteur ? La prostitution ?

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Calabrolol, il bosse à Paris, là oui, du taf tu en trouves partout, mais il y a des coins en province où c'est le cauchemar.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Je rejoins totalement Hohun, j'ai pas mal de potes compétents, diplomés, travailleurs, qui ont fait plus "que revoir à la baisse leurs prétentions", et qui galèrent de cdd en cdd avec des périodes de lutte.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

hohun a écrit:

Sinon tu as d'autres astuces pour revoir plus ses prétentions à la baisse que vendeur de sandwich ou rempoteur ? La prostitution ?

Le BTP recrute toujours.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Non mais c'est rhétorique, j'ai déjà un taf. Quoique avec ma constitution je doute qu'on veuille de moi dans le BTP.

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Julien, c'est le moment ou jamais d'aller filmer un docu drama Confession Intime.

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

SojaCouille a écrit:

C'est pas ce genre de foyer ou tu peux pas rentrer après 22h ni amener plus d'une personne et encore il faut prévenir la concierge plus de 48h à l'avance ?

Tous les foyers ne sont pas aussi stricts. Et ce genre de règle protège autant les locataires femelles qu'elle les emmerde.

Par ailleurs, ça donne le délicieux frisson de l'interdit quand tu passes la nuit clandestinement dans ce genre de piaule.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

bonjour,
Je suis revenu en France depuis 3 semaines et j'ai des entretiens en tant que technicien électronique, je serais si j'ai le boulot dans une semaine....Alors oui, je connais mon marché en tous les cas..
Et j'ai pas hésité à être électricien, carreleur ou faire la plonge quand j'en avais besoin, faut se sortir les doigts de la chatte sacam hein!

Australian addict

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Quitter paris semble une bonne solution aussi.

Stop womansplaining my privileges.

Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

SojaCouille a écrit:
aliocha a écrit:

Calabrolol, il bosse à Paris, là oui, du taf tu en trouves partout, mais il y a des coins en province où c'est le cauchemar.

Je sais pas, j'y fous quasi jamais les pieds, sauf en vacances. Parait que c'est le paradis, dixit les locaux.

Comment tu rages intérieurement de pas vivre ailleurs que dans ton Paris tout gris big_smile

Bon allez, fait beau là, j'vais aller boire un pastis sur la terasse en me grattant les couilles.

SojaMoule : "Tu perds ton temps, c'est l'asile et je t'emmerde. Dans ta forteresse de certitudes apprises à l'école ou dans tes lectures, tu n'es pas le dépositaire de la vérité absolue."
Reblochon : "As-tu quelque chose d'intéressant et constructif à dire  ? Oui ? Lâche toi ! Non ? TA PUTAIN DE GUEULE D'ATTARDÉ, tu la fermes. Bisous"

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

Si sucer des vieux c'est sa passion, elle peut toujours émigrer en Thaïlande. La bas c'est normal, c'est culturel.

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

ouias mais faut etre asiat pour ça

Australian addict

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Re : Le jour où j'ai quitté le nid...

yoother a écrit:

bonjour,
Je suis revenu en France depuis 3 semaines et j'ai des entretiens en tant que technicien électronique, je serais si j'ai le boulot dans une semaine....Alors oui, je connais mon marché en tous les cas..

Ouais donc c'est facile de dire qu'on peut trouver du boulot quand on a des compétences dans les trucs les plus recherchés dans les boites d'intérim et au pole emploi. Merci d'être passé.

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor