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Hey, quelqu'un a l'habitude de cette librairie ? Je cherche des bons tutoriels...
Merci d'avance.
RTFM
Ah bah t'as bien fait de te poser ta pêche putain de connard, ça aurait quand même été dommage de la fermer.
Je propose que l'on réunisse tous notre talent lyrique, dans un magnifique effort collectif, pour écrire un poème à Norela, parce qu'entre ici et facebook, j'ai envie de le voir suffoquer sous dix-sept tonnes de gravier.
Je me lance :
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
Car Norela je tiens tant à te dire,
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
que sama veut se faire prendre
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
que sama veut se faire prendre
par un déglingo bien monté
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
que sama veut se faire prendre
par un déglingo bien monté
Mais surtout pas par le boulanger!
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
que sama veut se faire prendre
par un déglingo bien monté
Mais surtout pas par le boulanger!
En chiant dans un topic FMOD,
tout ce que tu auras c'est cet ode.
C'est beau un travail d'équipe, on se croirait dans l'agence tous risques
Je suis ému, bien que le paragraphe sur Sama soit à chier.
Norela,
Te lire, provoque en moi, des nausées comparables à celles du virus Ebola.
Quand je fais mon caca, c'est à chaque fois un peu toi, que je conçois.
Un étron, puis deux, puis trois,
Mon désir ? Que la mort te prenne enfin dans ses bras.
Oh c'est mignon, un poème.
Et que là tu deviennes blème
Tu serais si drole...si on était en cinquième,
Dans une twingo foncant sur les bourgeois de Neuilly-sur-Seine.
Il serait temps de faire des rimes embrassées,
En attendant embrasse ton gros cul de chienne,
Profites-en pour penser à ta bresilienne,
Qui dehors suce ta petite bite glacée.
Puisses-tu entendre et comprendre,
que sama veut se faire prendre
par un déglingo bien monté
Mais surtout pas par le boulanger!
En chiant dans un topic FMOD,
tout ce que tu auras c'est cet ode,
de la pitié, du mépris, et des claques dans la tête,
pour toi Norela, le mendiant roumain de l'internet.
*clap clap clap*
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