Bonjour, mon nom est Ectoplasme. (Page 5 sur 7)

J'avais écris un article pour mon blog NF (je conserve tout sur mon pc), je te laisse lire si ça t'amuse. Et je sais même plus ce que j'y avais écrit :

"Un jour, Satan fut vexé de voir que son enfer n'était pas d'une horreur infinie. Des créatures d'apparence femelle déferlèrent un jour sur son royaume, et il constata avec effroi qu'elles dépassaient en monstruosité n'importe quels de ces supplices infernales. Alors avec son copain Cthulhu, qui avait peur aussi, il décida de les envoyer dans la poubelle la plus proche : la Terre, où les vrais humains se développaient.

J'ai rencontré deux fois ces créatures dont l'adjectif me manque pour les décrire parfaitement, car à elles seules, elles souille dans la pire des merde le mot « humaine » en se définissant comme telle.

Donc, parti sur un « délire » avec des amis, je décida dimanche d'aller voir une de ces prostituées, et acceptai de lâcher 50 euros pour « la totale ». N'ayant ni voiture ni hôtel où aller, elle me conduisit au fond d'une ruelle sur une petite colline, donc un coin où certains passants viennent quand même pour profiter de la vue, Liège vue d'en haut. 3 minutes de fellation, puis 3 min de va et vient dans son corps squelettique muni d'un vagin plutôt chaud et douillet. Deux fois des passants sont venus se promener près de nous. Je devais la prendre dans mes bras et faire semblant de caliner ma copine, 
le démon fut même capable de simuler un rire lorsque j'imitai les paroles d'un jeune pelotant sa copine.
Elle regretta de voir que j'étais aussi endurant et voulu en finir, ayant déjà payé je ne savais rien faire d'autre. Soumis à me branler devant son corps grotesque qui se déhanche en se tripotant le sexe.

Nuit difficile, où ce dépucelage incongru hantait mes rêves. J'ai réfléchi quelques instants et me remémora les scènes :
En m'accostant elle souriait et me parlait normalement, en arrivant dans la ruelle elle était presque en train de baver quand je sortait mon portefeuille, et elle devint subitement totalement vide de flamme humaine quand elle prit mes 50 euros. Elle rampe et ment pour avoir son argent, fait un peu de son métier humiliant, et même pas jusqu'au bout, en me laissant me finir tout seul. Diantre.
Alors aujourd'hui j'ai été la revoir, pour tenter un début de dialogue, en espérant stopper mes craintes et peut-être voir un morceau de femme sous la carapace de ce métier honteux.
Que nenni, elle me dit « alors, ça va ? Tu veux une fellation ? » (c'est bien, elle se souvenait de moi, bien qu'elle était complètement défoncée hier et que son sac était rempli de seringues)
Je répondis que non, en lui disant vouloir discuter 5 min. Elle n'arrêta même pas sa marche rapide et dit « non, je vais bosser, salut ». Mes craintes se confirmèrent, elle n'avait rien d'humain.

Je me suis encore promené dans la ville quelques minutes en voyant une autre pute pas trop moche, et tenta à nouveau une expérience. Pipe sous un pont. 5 min, et elle s'énerva en voyant que je tenais le coup. Alors, elle garda mes 25 euros, arracha ma capote, et rejoignit plusieurs filles quelques mètres plus loin.

Car même sous un pont elle avait des « collègues » qui l'observaient, en cas de client trop brutal je suppose.

Constat : Elles font un métier des plus humiliants, et dans leur quête d'argent elle ne le font même pas correctement et aucune expression ne luit dans leurs yeux noirs. J'ai toujours pas trouvé les mots pour les définir. Cadavre ambulant étant insultant pour le cadavre, qui provient d'un humain mort, or elles ne méritent pas d'être traitées d'humaines. Monstre serait stupide puisqu'elle n'ont même pas de sentiment et coeur monstrueux, juste un océan de vide effrayant derrière un corps mutilé par des centaines de sexes de dépressifs.

Pourquoi de tels humains existent ?... C'en est déprimant.
Je me convertis à la misanthropie de niveau 70."

J'ai pas dit être endurant, j'ai dit plus que ses anciens clients visiblement.
Et ouais, c'était ptete des tests de grossesse en fait.

Un suicide ça se fait par impulsion, je vais pas me déplacer pour aller me foutre sous un train.
L'envie me vient, j'ai des doses d'anti-épileptique pour des mois dans la pièce à coté, j'engloutis des boites. On réfléchit pas.
(il y a presque 1 an, l'idée risque plus de revenir)

Et photo du lieu du crime : http://uppix.net/f/b/1/de42e9fe14de6467 … ebb8b.html Contre la grille, 14h, 12 octobre 2008.

C'est un 'toshop, ça se voit clairement à l'un des pixels de l'image.

Ou tout simplement des tampons connard j'en sais rien, mais ça enlève une grosse part de pathos à ton histoire alors on va rester sur les seringues pleines de SIDA.

Reste pas ici, ils vont te donner pleins d'idées pour te suicider et ensuite on ira tous en prison.

Pas nécessairement non, le SIDA c'est assez long a incuber, ça peut prendre plusieurs mois avant de commencer à se déclarer et les symptômes ne sont pas spécialement manifestes.

Par précaution, je te recommande de prendre les devants et de combattre le mal par le mal, je te prescris une infusion de SIDA matin et soir pendant une semaine.

Et bah merde!

Je vais te révéler ce terrifiant secret.
Quand j'ai commencé ma période reiki, je venais également de commencer un nouveau médicament anti épileptique. Keppra le nom.
Et les effets secondaires possibles :
Troubles psychiatriques :

Fréquents : agitation, dépression, labilité émotionnelle/ sautes d’humeur, hostilité/agressivité, insomnie, nervosité/irritabilité, troubles de la personnalité, réflexion anormale
Données post- commercialisation : trouble du comportement, colère, anxiété, confusion, hallucination, trouble psychotique, suicide, tentative de suicide et idée suicidaire

Dépression j'ai eu, j'ai six brûlures de clopes par automutilation sur mes avant bras.
Agressivité j'ai eu, menace d'égorger ma mère ect...
Insomnie, bof, mais je faisais des rêves de viols... (depuis l'arrêt du médoc j'ai plus rien)
Suicide, ben oui j'ai eu.
Et les putes dans la démence en général. Un truc que je regrette beaucoup, et que je n'aurais jamais fait dans un état normal.

Mais les connards de nofrag ne savent pas à quel point un mauvais médicament peut rendre un mec totalement fou (pendant des semaines j'ai eu un trip de vouloir vivre dans les bois en me nourrissant de l'énergie de arbres aussi). Donc je n'ai rien dit.

Bref, toutes ces phases (reiki, putes, suicide, mutilation, agressivité, alcoolisme devant mon lycée à la sortie avec quasi coma sur le trottoir,..) c'était quand j'étais sous keppra.

Bref, en espérant que certain me croiront sur cette affaire, je ne suis pas réellement cinglé.

The Microsoft Plus™ d'attentionwhorisme.

Idem

Ecto, toi qui est complètement paumé dans la vie, va faire un tour chez JL Delarue, il en cherche des comme toi tu sais, et puis passer à la télé c'est cool.