Sujet : Piti? pour les dialogues

Je regardais tranquillement la fin de "Gunblast vodka", un truc d'action mêlant flics de new-york , mannequins hystériques  aux jambes interminables et mafia russe.

La mise en scène, le script, la réalisation, tout se liguait contre ce film, mais je digérais un sorbet aux litchis maison ce qui rend moins regardant.

Arrive le face à face final, quand le gentil a tué tous les gardes, et poursuivi le méchant dans plusieurs décors différents. Et là alors que le méchant n''a plus de munitions, le gentil s'approche jusqu'à le toucher au front avec le canon de son arme et lui tient à peu près ce langage:

"Qui prend un captif finira captif à son tour,
Qui tue par le glaive périra par le glaive,
Endurance et courage sont les vertus qui font la sainteté,
Je suis un ange, et toi tu es la bête qui ne blasphèmera plus, putain d’enfoiré !"

Bon en même temps "gunblast vodka", j'aurais dû savoir à quoi m'attendre. Mais quand même, pitié pour les dialogues!

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Piti? pour les dialogues

Oh toi, tu n'as jamais vu Harry Potter.

C'est un garçon sans importance collective, c'est tout juste un individu (Céline)

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Re : Piti? pour les dialogues

Ce mec arrive à caler une idée recette dans chacun de ses posts... respect.

Re : Piti? pour les dialogues

C'est surtout catherine langeais qui est inoubliable. petite bio de la star

Même si la diplomatie française entretient le souvenir d'un des premiers chefs télévisés.

Survient alors la télévision qui, en 1953, demande à Raymond Oliver, le chef du Grand Véfour à Paris, d’animer avec une présentatrice une émission intitulée Art et magie de la cuisine. Le succès est immédiat, d’autant qu’Oliver ne manque ni de talent culinaire ni de verve. Il fait de ses recettes provinciales des événements parisiens, soulignant que « Paris, c’est le creuset, la consécration ». Raymond Oliver aura inauguré une histoire d’amour entre la télévision et la cuisine qui ne s’est jamais démentie au fil du temps. Elle connaît même un singulier regain d’intérêt depuis la fin des années 80 et a provoqué de véritables phénomènes de société et de mode.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

5 Dernière modification par thedarkdreamer (30-08-2006 20:02:25)

Re : Piti? pour les dialogues

WtiA a écrit:

Oh toi, tu n'as jamais vu Harry Potter.

Il y a des dialogues comme ça dans harry potter? Je n'ai pas vu les films, j'ai simplement lu les bouquins et je ne me rappelle pas que les dialogues y aient atteint ce genre de sommet.

Si c'est le cas, tu dois avoir envie de pendre celui qui a fait l'adaptation.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : Piti? pour les dialogues

Bah les dialogues, c'est du genre.

- J'ai vu Dumbelmachin faire ça.
- TU AS VU DUMBELMACHIN FAIRE ÇA ?!1

Du moins, c'est comme ça dans l'adaptation du premier tome, pendant tout le film. Certes, ça n'atteint pas de tels sommets poétiques, mais ça suffit à te donner envie de zapper sur TF1. Dur (ouais, ouais, CVB).


Sinon, j'ai vu un bout du "Justicier d'Acier, un film de série qui va au-delà du Z, et là tu peux voir des vrais morceaux de bravoure dans les dialogues. Notamment le moment où ils comparent la persévérance avec un soufflé au fromage. Forcèment.

C'est un garçon sans importance collective, c'est tout juste un individu (Céline)