Re : [lecture] now reading
Ah yep javais lu ça quand j'avais 14 15 piges, qu'est-ce que c'est soporifique... dommage parce que je pense que pas mal de monde lâche le bouquin avant que ça parte en couille et qu'il commence à être appréciable.
Vous n’êtes pas identifié. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.
Le Vrai Asile » Culture & médias » [lecture] now reading
Pages Précédent 1 … 9 10 11 12 13 … 169 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Ah yep javais lu ça quand j'avais 14 15 piges, qu'est-ce que c'est soporifique... dommage parce que je pense que pas mal de monde lâche le bouquin avant que ça parte en couille et qu'il commence à être appréciable.
Plutôt que de mal en parler je préfère autant foutre la présentation d'amazon :
"C'est un portrait terrible de la guerre et de ses ravages que nous livre Shohei Ôoka dans ce roman considéré comme un des chefs-d'œuvre de la littérature japonaise de l'après-guerre. Car le drame de Tamura, simple soldat et intellectuel dans le civil, envoyé dans la jungle des Philippines, où il rencontre la solitude, la faim, la peur et finalement sa propre folie, ne concerne pas seulement les Japonais ; ce drame symbolise de manière universelle la tragédie de tous les hommes, soldats ou civils, pris dans l'engrenage d'une guerre dont la logique leur échappe, mais qui finit par les dévorer, marquant à vie ceux qui lui survivent. Tamura n'est pas un "héros" dans le sens traditionnel du terme ; il est bien trop humain pour l'être ou pour le devenir. Ce qui le rend peut-être héroïque, c'est sa quête entêtée et désespérée de l'humain, même quand les choix qui lui sont imposés sont barbares. Portrait minutieux, acéré, sans complaisance, mais plein de compassion, du calvaire et de l'angoisse existentielle d'un être soumis aux pires agressions. "Les feux" sont avant tout une réflexion philosophique sur l'extrême. "
un roman noir et crasseux de bon gout.
...personnages minables, crades, ignorants, des sous-hommes en route vers leur destin ; Il y a là Nanase qui vit avec sa mère alcoolique et puis la tante qui vit dans une pièce puante avec des dizaines et des dizaines de chats et la cousine Dandine, Darou qui croient voir des “estraterrestres” et José ancien légionnaire, fermé, mauvais et enfin sylvette qui garde quelques gosses en promenade et qui au moment de ramener les enfants à l’hôpital/orphelinat découvre qu’il lui manque un gosse, un pauvre gosse trisomique et voilà l’horreur en route…
http://uppix.net/1/b/8/eb27d3122ff392ce … 85973d.jpg
un roman noir et crasseux de bon gout.
...personnages minables, crades, ignorants, des sous-hommes en route vers leur destin ; Il y a là Nanase qui vit avec sa mère alcoolique et puis la tante qui vit dans une pièce puante avec des dizaines et des dizaines de chats et la cousine Dandine, Darou qui croient voir des “estraterrestres” et José ancien légionnaire, fermé, mauvais et enfin sylvette qui garde quelques gosses en promenade et qui au moment de ramener les enfants à l’hôpital/orphelinat découvre qu’il lui manque un gosse, un pauvre gosse trisomique et voilà l’horreur en route…
c'est inspiré de la vie de Reblo ?
Ah ah ah, j'adore le pitch à la Délivrance, ça a l'air rigolo.
Ma vie, elle est bien plus remplie d'handicapés que ca. Des centaines !
Je l'ai commencé hier. Un peu moins facile d'accès que "les origines du totalitarisme", mais j'aime toujours son style.
Je viens de lire Spinoza encule Hegel, c'est très bon mais ca se lit en une ligne de métro. La suite est pareil?
http://3.bp.blogspot.com/_31J8yshOejw/R … ockers.jpg
Je viens de terminer le dernier tome, c'est trèèès long à commencer mais l'histoire est bien sympa.
Oui je sais, Stephen King c'est d'la merde blabla élitisme branlette tout ca.
Ah tiens, je viens de me faire shining par hasard (bouquin trouvé dans une brocante).
Certains passages sont un peu longuets ou répétitifs. Par contre, j'ai préféré l'histoire du bouquin à celle du film.
(il y a plusieurs différences entre les deux, notamment la fin, ou encore l'origine de la folie de jack torrance)
Conan, un des nombreux livres
Guerre et paix.
C'est vraiment bon.
World war Z en VO. Vraiment pas mal, loin du bullshit qu'on peut lire ou voir habituellement quand on parle de zombs.
Bouquin sur la vie dans une agence de pub, narré quasi intégralement à la 1ere personne du pluriel. Drôle et flippant en même temps, l'auteur joue pas mal avec le sentiment d'appartenance à un groupe et toutes les régressions que ce sentiment amène.
Concept: Le classique de Jane Austen est augmenté par Seth Grahame-Smith avec des scènes zombiesques. Les texte original est apparemment intégralement présent.
Je viens de l'acheter, j'en dirai plus quand j'en aurai lu plus.
Chié, ça donne putain d'envie de se taper l'original et de voir l'adaptation ensuite
culte, mythique, dérangeant, suitant bon la haine et la colère.
A lire d'urgence t'entends !
De la peste, du pus et des poux : tel pourrait être le leitmotiv de cet invraisemblable petit brûlot, tout entier nourri de violence, d'idées morbides et de délires à la limite du supportable. Et que n'ont pas supporté les bien-pensants de l'époque, les mêmes qui, à Charleville, méprisaient Rimbaud et l'accusaient, comme on accusa Lautréamont, de vouloir tuer la poésie. Mais le vertige et la démesure furent plus forts que les réactionnaires : Maldoror, le double maléfique de Lautréamont, en crachant son poison et son fiel, jetait les bases d'une des oeuvres les plus énigmatiques et les plus fascinantes de notre poésie.
Amazon.fr
Aliocha approved !
extrait:
[...] Tout le monde est pour la paix. Tellement pour la paix que le pacifisme n'est presque jamais interrogé dans ses fondements, ses contradictions ni ses origines. C'est un pays assez mal exploré parce qu'on croit le connaître. Pour dire les choses autrement, le pacifisme jouit d'une présomption d'évidence (à l'instar de tant d'autres choses, l'antiracisme, la lutte contre l'"exclusion", le rejet des "discriminations"). Dans ces conditions, l'ériger en question, le problématiser, est presque un blasphème. Une incongruité, au moins. Une obscénité. Remonter ses filières, tenter son "archéologie", découvrir les cordes sensibles sur lesquelles il joue, la volonté qu'il exprime, les désirs qu'il satisfait, les illusions qu'il comble et les buts qu'il poursuit serait une espèce d'insulte à l'émotion sacrée dont on le voit détrempé. Qui aurait le cœur assez sec pour regarder froidement une émotion ? Détailler à la loupe une crise de larmes ? Une bouffée de lyrisme ? Qui hésiterait à fondre devant le monde féerique ? Qui hésiterait à fondre devant le monde féerique que nous annoncent les millions de petits hommes (ou femmes) verts qui, de par le globe, stigmatisent en ce moment l'arrogance de la France ? Qui resterait de glace devant ces masses de jeunes de partout, aux bouches toujours un peu entrouvertes pour mieux bêler, aux yeux luisants d'enthousiasme, à la tête bourrée de morale unidimensionnelle, et ne réclament qu'une chose : le bonheur universel ?
Philippe Muray... je te parie que tu vas trouver le mot « politiquement correct » à chaque page...
http://uppix.net/4/5/5/2d62775bb0d0c493 … 704ca2.jpg
extrait:
[...] Tout le monde est pour la paix. Tellement pour la paix que le pacifisme n'est presque jamais interrogé dans ses fondements, ses contradictions ni ses origines. C'est un pays assez mal exploré parce qu'on croit le connaître. Pour dire les choses autrement, le pacifisme jouit d'une présomption d'évidence (à l'instar de tant d'autres choses, l'antiracisme, la lutte contre l'"exclusion", le rejet des "discriminations"). Dans ces conditions, l'ériger en question, le problématiser, est presque un blasphème. Une incongruité, au moins. Une obscénité. Remonter ses filières, tenter son "archéologie", découvrir les cordes sensibles sur lesquelles il joue, la volonté qu'il exprime, les désirs qu'il satisfait, les illusions qu'il comble et les buts qu'il poursuit serait une espèce d'insulte à l'émotion sacrée dont on le voit détrempé. Qui aurait le cœur assez sec pour regarder froidement une émotion ? Détailler à la loupe une crise de larmes ? Une bouffée de lyrisme ? Qui hésiterait à fondre devant le monde féerique ? Qui hésiterait à fondre devant le monde féerique que nous annoncent les millions de petits hommes (ou femmes) verts qui, de par le globe, stigmatisent en ce moment l'arrogance de la France ? Qui resterait de glace devant ces masses de jeunes de partout, aux bouches toujours un peu entrouvertes pour mieux bêler, aux yeux luisants d'enthousiasme, à la tête bourrée de morale unidimensionnelle, et ne réclament qu'une chose : le bonheur universel ?
Mouaip. L'extrait donne pas trop envie, on dirait du Zemmour (en mieux écrit), la mode qui tend à s'en prendre à des évidences pour sortir des sentiers battus. On bascule d'un kitch à l'autre mais on reste dedans, on s'y enfonce même...
Mouaip. L'extrait donne pas trop envie, on dirait du Zemmour (en mieux écrit)...
on dit du Alain Minc alors.
Bon maintenant que j'ai lu Buko, enfin le livre de buko conseillé par soja ... ben je peux enfin dire que c'est de la bonne merde ma brave dame. De la litterature pour choquer notre belle bourgeoisie et nos tetes blondes. Mais bordel que c'est nul ! Je passe la machine à baiser entre deux decapsulage de biere, la visite de la ville du texas avec les texans qui puent et la femm ... la sorciere qui transformait les hommes en god et qui se fait tuer à coup d'epingles à cheveux ... entre deux decapsulages de bieres.
Faut vraiment rien avoir à foutre pour lire de telles debilités. C'est bien ecrit, ... mouais disons, et alors, ca transforme la merde en oeuvre d'art ?
Bon je vais me decapsuler une biere parce que moi aussi je suis un putain de genie !
Il dit pas décapsuler, il dit dépuceler.
Bon maintenant que j'ai lu Buko, enfin le livre de buko conseillé par soja ... ben je peux enfin dire que c'est de la bonne merde ma brave dame. De la litterature pour choquer notre belle bourgeoisie et nos tetes blondes. Mais bordel que c'est nul ! Je passe la machine à baiser entre deux decapsulage de biere, la visite de la ville du texas avec les texans qui puent et la femm ... la sorciere qui transformait les hommes en god et qui se fait tuer à coup d'epingles à cheveux ... entre deux decapsulages de bieres.
Faut vraiment rien avoir à foutre pour lire de telles debilités. C'est bien ecrit, ... mouais disons, et alors, ca transforme la merde en oeuvre d'art ?
Bon je vais me decapsuler une biere parce que moi aussi je suis un putain de genie !
Ben c'est juste dommage comme je te le disais à Lyon. Et Celine, Miller, les mecs comme ça, ça te plait pas non plus ?
Je ne connais pas Miller, tu me conseilles quoi pour essayer ?
Celine, j'ai du lire ca y a bien longtemps je crois, plus de souvenir.
Pages Précédent 1 … 9 10 11 12 13 … 169 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Le Vrai Asile » Culture & médias » [lecture] now reading
Propulsé par PunBB, supporté par Informer Technologies, Inc.
Généré en 0,299 secondes, 27 requêtes exécutées