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Re : Public Ennemies

Ah ouais, c'est pour ca que j'ai du dormir la moitié du machin. Comme avec 2001 quoi.

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

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Re : Public Ennemies

- Je vous sers un whisky ?
- Juste un doigt
- Vous voulez pas un whisky d'abord ?

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

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Re : Public Ennemies

"Si Benjamin était un médicament se serait un suppositoire."

"Heureusement qu'il y a Eldrock pour me décourager d'essayer." - Conrad & Lechat

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Re : Public Ennemies

Putain, mais allez voir de l'art et essai.

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Re : Public Ennemies

Ca me fait penser que je me suis marré en regardant Rrrrrrrrrrrrr ! Ca doit equivaloir à la phase terminale du bon gout non ?

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

Re : Public Ennemies

T'as plus qu'à te branler devant des photos de transformers et t'es bon pour ouvrir un blog.

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Re : Public Ennemies

C'est vrai que l'amour qu'on a en commun pour les western spaghett me fait un peu peur.

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

Re : Public Ennemies

En parlant de ca, t'as pensé quoi de 3h10 pour Yuma avec Crow?

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Re : Public Ennemies

N'importe quoi, le véritable point godwin d'un discussion ciné c'est 2001 odyssée de l'espace (Une véritable révolution ce film, rien a voir avec la révolution pour préado qu'a pu être Star wars pour reblochon le siècle dernier)

Envoyé depuis mon IPhone.

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Re : Public Ennemies

Sur le net possible, parce que 2001 IRL tu mets pas longtemps pour faire admettre à tout le monde que c'est de la merde.

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

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Re : Public Ennemies

TroyMcLure a écrit:

Bah j'ai aucune compétence technique dans le domaine, simplement, l'image me fait penser à un téléfilm ou à une série française façon PJ. Les plans m'ont paru tout vilains : impression de filmage au caméscope d'un spectacle de twirling baton... Je dis ça sans provoc aucune j'ai vraiment trouvé ça moche. Mais bon l'aspect esthétique en général je m'en branle et je suis le premier à dire que j'y connais rien donc passons. Reste que je me suis fait chier comme un putain de rat crevé (et pourtant je suis bon public), je trouve les personnages à la fois mous et sans saveurs (à part peut être le flic badass du sud qui a un poil de classe) et en même temps complètement caricaturaux : le gentil voleur, le méchant voleur, le gentil flic, le méchant flic. WAHOU. Le scénario est... euh le scénario ? Ah merde Michael t'as zappé le scénar. Tu vas me dire "c'est une histoire vraie". Ouaip ben quand une histoire vraie est chiante on fait pas un film dessus ou alors on prévient "ce film est tiré d'une histoire vraie et chiante". Et les dialogues bordel, LES DIALOGUES. On dirait du Legolas dans le seigneur des anneaux.

Je suis d'accord avec Troy sur le fait que la qualité de l'image est vraiment trop proche de la télé-série HD récente qui sent bon le rat crevé. Je trouve ça complètement con comme choix de la part de Mann parce qu'avec une image un peu plus crade et vintage ça aurait augmenté l'immersion par 15.

La musique est pas trop mal mais vraiment trop éparse et ça donne une impression de mal maîtrisé, par contre y'a quelques scènes qui valent le coup, les fusillades ont de la gueule, et la scène où Dillinger se ballade dans le bureau du FBI est classieuse.

Le vieux sheriff sudiste à la classe aussi.

Bref, moyen-bon film qui se chie un peu dessus sous prétexte que le réalisateur veut briser les carcans du genre.

"Today a young man on acid realized that all matter is merely energy condensed to a slow vibration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream, and we are the imagination of ourselves. Heres Tom with the Weather."

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Re : Public Ennemies

Putain de hors sujet d'Aenema !

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón

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Re : Public Ennemies

Qui ne comporte qu'un seul "n" d'ailleurs.

"Today a young man on acid realized that all matter is merely energy condensed to a slow vibration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream, and we are the imagination of ourselves. Heres Tom with the Weather."

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Re : Public Ennemies

Sympa comme film

Re : Public Ennemies

Merci Docteur Sawn.

Mais en vrai je m'en fous complètement

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Re : Public Ennemies

SojaCouille a écrit:

Wall E c'est juste un dessin animé bof.

Seven c'est du gore pour le gore, film correct mais pas inoubliable du tout.
Le seigneur des anneaux c'est un film de SF moyen par rapport au budget, mais une adaptation minable.
Et the dark knight... haha. Hahaha.

Non non rien je ne fais que passer, je quote juste ce joli concentré de n'imp 100% gras pour les générations futures.

PUTEDEPUTEDEPUTE

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Re : Public Ennemies

T'es un incompris en avance sur son temps Sawn, ne les écoute pas, moi je l'ai trouvée très pertinente ton intervention.

"Today a young man on acid realized that all matter is merely energy condensed to a slow vibration, that we are all one consciousness experiencing itself subjectively, there is no such thing as death, life is only a dream, and we are the imagination of ourselves. Heres Tom with the Weather."

Re : Public Ennemies

Ouaip sympa comme intervention.

Mais en vrai je m'en fous complètement

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Re : Public Ennemies

Imax a écrit:

Non non rien je ne fais que passer, je quote juste ce joli concentré de n'imp 100% gras pour les générations futures.

Les paroles s'envolent, les écrits restent. Et parfois il y a Plume.

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

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Re : Public Ennemies

Ahaha pas mal comme blague. (Tu devrais la faire plus souvent)

su-per

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Re : Public Ennemies

Je ne te retourne pas le conseil smile

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

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Re : Public Ennemies

Conrad a écrit:

Je ne te retourne pas le conseil smile

Les mots meurent sous la pointe de plume.

« Je suis né d'un con, je mourrai comme un con » El Comandante Rebleauchón