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François Mitterrand - Le coup d'état permanent

J'avais bien aimé "La paille et le grain", alors j'ai fini me mettre à la lecture de celui-là quand je l'ai vu émerger des cartons.

Du beau style, par exemple quand il évoque l'abdication de René Coty "après une visite au soldat inconnu, ce mort qui continue à offrir aux vivants l'alibi de son silence".

Quatrième de couverture
Ce roman est un apologue de l'aliénation. Un professeur de littérature comparée, spécialiste de Gogol et de Kafka, s'est métamorphosé en une sorte de " glande mammaire " comme on en voit parfois en rêve ou sur les peintures de Dali. De cette situation, Philip Roth tire des effets du plus haut comique et de la plus franche obscénité. Mais au-delà du scandale, de tous les rapprochements kafkaïens, le lecteur découvre à travers cette allégorie surréalisante un déchirant appel, une étrange méditation sur la vie et sur ce qui fait l'identité d'un homme.

Je note.

Pourquoi? Mal écrit? Trop glauque/malsain?

Ca m'a fait le même effet, mon avis est que Hobb est meilleure dans l'intrigue politique que dans la geste magique.

De Dean R Koontz j'avais bien aimé "les yeux foudroyés", mais bon j'avais 15 ans...

Bon de retour de Lisbonne et en partance pour ailleurs, je cherche un bon bouquin à lire.
Je viens de finir:

Bien aimé même si les nouvelles ne se valent pas toutes.

Enorme.

Sympathique.

Bref je voudrais rester sur le même style mais je suis ouvert!
Obligado.

Jub, lance toi sur Céline si t'as aimé Buko.

Une fois de plus c'est un déjà reading mais sur la tête de ma mère ça vaut la coup ( je verrais bien ça illustré par Tardi tiens)

"Dans un lieu improbable, entre l'aéroport et un supermarché, tout près de la décharge, se trouve l'abattoir. C'est là que travaille le narrateur, jeune homme célibataire qui vit avec sa grand-mère acariâtre. " On peut pas dire que c'est vraiment le boulot dont je rêvais... Ça fait tellement longtemps que ça saigne, j'en ai des vertiges de cette longue hémorragie. " Il y a bien un peu d'amour, les filles à la pause, l'institutrice entrevue et dont il rêve, rêve, sans oser lui parler. Et puis quelques copains avec qui on projette des voyages et des aventures sans lendemain... Ce serait le récit de la routine d'une vie ordinaire. Mais de ce quotidien absurde, l'auteur dessine un portrait à la fois sinistre et poétique, empreint d'un humour souvent cinglant et toujours discret. Voici des personnages cocasses, des scènes surprenantes et drôles, dans l'ambiance d'un conte généreux, plein d'espoir et d'humanité."

Parce que je connais un peu ce genre d'atmosphère délétère d'une certaine province je t'assure que c'est très bien et qu'on rit souvent jaune.

J'explique pas parce que de toute facon vous ne comprendriez pas et que vous en auriez rien à foutre. Mais c'est bon.

Tu lui a fourguer de la T65?