Sujet : Je suis bourrée.
J'écris du caca avec plein de fautes d'orthographe avec mon ricard.
Le monde est trop petit ; ou plutôt trop grand. Trop grand par l'immensité et l'uniformisation de l'être humain. Comment concevoir un but, un objectif, une destinée face à un tel flot d'âme aux capacité sensiblement identique ;face à l'idéal inaccessible à l'humanité. Ces inégalités obsolètes , obsolètes par le simple fait qu'elles émane d'un simple paradoxe. Un paradoxe simple et pourtant source du mal-etre universelle. Le simple fait que quelque différences nous rendent uniques et pourtant. Ce pourtant si emblématique qui fait que les hommes sont tous identiques dans l'ensemble, que les capacité intellectuels humaines sont toutes fondés sur le même principes, la même hiérarchie et la même direction : une digne ligne qui rend la production humaine guidée et ainsi emprisonné. Le monde est trop petit car il est muré , muré par cette pensée qui est scrupuleusement commune. Le réel progrès n'existe pas , il n'y a que des mises à jours, des updates, des simple réformes, améliorations souvent incongrues qui seront renversé au fur et à mesure de l'évolution. Le monde est trop ptetit car enfermé dans ce carcan idéologique qui empêche toute divagation d'originalité. Une originalité dont j'ai cruellement besoin... Je viens de sublimer devant Orange Mécanique, ce soit-disant chef d'oeuvre qui emmagasine tout les stéréotypes darwinien d'une humanité bestiale qui survit par la hiérarchisation de ses êtres, laissant le trône aux fauve et blessant les scrupuleux. Après ce visionnage, je guète les nouveau post sur des forum metrosexuel ou encore sexojeun's qui ont pour rôle de me rassurer, me dire que face à la désastreuse uniformité intellectuel humaine, il existe encore quelque variances d'intelligences qui séparent les conscient des abruties. Toujours se poser des questions, toujours recaser des pensées sans réponses , toujours se manque d'idéal qui pourrait donner un sens à l'humanité et non la vouée à une torpeur progressiste obsolète qui la mène indéniablement à l'autodestruction et au paroxysme de l'individualisme. J'écris tel un con qui n'arrive plus à se contenir et profite de se déchargeur virtuel pour produire un texte incompréhensible issue des fragment de son mal-être. Le monde est donc trop petit , mais surtout incompréhensible.