Re : Le coin des aphorismes de bismuth
sauf l'attaque perso, de face, de front, inside his mind pas par derrière sinon il t'engloutit, il a un bon fond là il est vaste rien ne le l'indispose par l'arrière
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sauf l'attaque perso, de face, de front, inside his mind pas par derrière sinon il t'engloutit, il a un bon fond là il est vaste rien ne le l'indispose par l'arrière
Les violeurs pédophiles récidivistes généralement ce ne sont pas des "délinquants" stany comme le gars de banlieue qui crame une bagnole. Ces gars là je ne sais pas si on peut les empêcher d'effectuer leurs crimes avec des écoles ou autre. Faudrait peutêtre changer leur mère ou un truc comme ça.
Bon, il va falloir que j'ouvre un topic sur la nomination d'un prof de l'ex GUD à l'uni de Poitiers et un autre sur le complot des médias qu'on rigole un peu.
Vicky tu n'as pas dû suivre le thread qui veut dire fil en anglais, comme c'est l'asile, ça bifurque rapidos, il y a eu une parenthèse une dizaine de posts avant, relis bien.
indice post #438 mais tu peux commencer à partir de la photo de la femme du président avec sa copine qui aime la coke plus que les cuisse de poulet
Abdul qui attaque direct avec le godwin. Respect. C'est sur que nous sommes entrain de (re)devenir des savoniers. Terrible !
Sinon je ne conteste pas du tout le coté demago de la chose. Je l'ai d'ailleurs ecrit plus haut. Mais bon, il faut lire aussi.
Plus qu'un point Godwin il souligne simplement le fait que le mari de Carla Bruni s'est vanté d'avoir adapté une loi d'Adolf Hitler.
Pour en revenir à ton long post, je pense que tu délires complètement. Les criminels dont on sait qu'ils représentent un danger de récidive sont surveillés en permanence, au minimum avec des bracelets électroniques. Les criminels récidivistes sont des gens que l'on pensait guéris pour la société et qui agissaient tels devant l'administration, seulement, si on avait eu des psy en prison on en serait pas là. Là, les types pour lesquels on se propose de traîner les valeurs républicaines dans la boue sont des cinglés dont on pourrait facilement demander une hospitalisation d'office, et ouais, y a pas que la prison qui permet d'enfermer les gens. Pas besoin de niquer la constitution pour ça.
On parle du droit des victimes, mais je vais t'expliquer un truc : on leur chie à la gueule les victimes, la liberté d'un peuple est un milliard de fois plus importante que quelques victimes qui, quand tu regardes les statistiques valent peau de balle face aux dizaines de millions que nous sommes à vouloir être libres.
Bon, et avant que ça dégénère, il est évident que la fin de mon post était un poil hyperbolique.
On parle du droit des victimes, mais je vais t'expliquer un truc : on leur chie à la gueule les victimes, la liberté d'un peuple est un milliard de fois plus importante que quelques victimes qui, quand tu regardes les statistiques valent peau de balle face aux dizaines de millions que nous sommes à vouloir être libres.
... et à voter.
Je suis plutôt d'avis de chier dans la bouche des criminels, c'est vrai quoi, que valent-ils face aux millions de gens honnêtes ?
Nous sommes tous des criminels en puissance.
Et d'ailleurs. Quel interet de conserver en prison ad vitaem eternaem tous les criminels plus ou moins recidivistes ?
Autant les gazer non ? Gain de place, gain de thunes... Yeah !
Voila !
Mais vous avez des intentions criminelles, donc on vous gazera aussi !
j'avais l'ambition de faire un truc de ma vie, eux c'est plus le dawa/l'anarchie qu'ils visent
N'est ce pas plutôt le chaos qu'ils visent, plus que l'anarchie ?
Ils sont surement incapables de faire la distinction entre les deux concepts.
Hello les gens!
Me suis amusé (oui, drôle de façon de s'amuser) à traduire un texte, que je trouve fascinant et bouleversant. C'est peut être un pavé que je vous pond là, la traduction est certainement loin d'être parfaite, et je m’en excuse, mais ce témoignage devrait tous nous emmener à faire une ptite pause et à réfléchir. Réfléchir non seulement à l'expérience passée des allemands, mais aussi sur nous-même.
ILS PENSAIENT ETRE LIBRES : LES ALLEMANDS, 1933-45 de Milton Mayer.
"La dictature, et le processus entier de son avènement, c'était avant tout de divertir. Cela donnait une bonne raison de ne pas réfléchir à des gens qui, de toute façon, ne voulaient pas réfléchir. Je ne parle pas de « petites gens », je parle de mes collègues et de moi-même, des gens de savoir, voyez-vous. J’appartenais à la casse moyenne supérieure allemande. C'était tout ce qui comptait pour moi. J'étais un universitaire, un spécialiste. La plupart d’entre nous ne voulions pas penser aux choses fondamentales et nous ne l’avions jamais fait. Il n'y avait pas besoin. Le Nazisme nous apportait des sujets épouvantables sur lesquelles débattre, - nous les gens décents, et il nous a tenus si occupés par des changements continus et des ‘crises’ et si fascinés, oui fascinés, par les machinations des ‘ennemis nationaux’, extérieurs et intérieurs, que nous n'avions pas le temps de penser à cette chose épouvantable qui grandissait, petit à petit, tout autour de nous. Inconsciemment, je suppose, nous étions reconnaissants. Il n'y a que ceux qui ne cherchent rien qui ne rencontre jamais l'obscurité. Pourquoi souffrir en donnant aux choses une attention suprême ? Qui veut réfléchir ! ?
Vivre ce processus, c'est être absolument incapable de s'en apercevoir – je vous prie de me croire – à moins d’avoir un degré de vigilance politique, d’acuité, que la plupart d'entre nous n'avait jamais eu l'occasion de développer. Chaque « petite mesure » était si insignifiante, si bien expliquée ou, à l’occasion, « regrettée », qu’à moins d’avoir pris ses distances dès le début, aucun « allemand patriote » ne pouvait la dénigrer. Ce processus on ne l’a pas vu se développer, de jour en jour.
On ne voyais pas exactement où, et comment agir. Croyez moi c'est vrai. Chaque acte, chaque évènement était pire que le précédent, mais juste un peu plus. Vous attendiez le suivant, puis le suivant. Vous attendiez un grand évènement qui choque, pensant que les autres, vous rejoindraient pour résister d’une façon ou d'une autre. Vous ne vouliez pas agir, ou même parler, seul, vous ne « vouliez pas sortir de votre chemin pour faire des histoires. Pourquoi pas ? Eh bien, parce que vous n'aviez pas l'habitude de le faire. Et ce n'est pas seulement la peur, la peur de se lever seul, qui vous retient, c'est aussi une réelle incertitude.
L'incertitude est un facteur très important, et, au lieu de diminuer alors que le temps passe, elle augmente. Dehors, dans les rues, dans la communauté générale, « tout le monde » est heureux. On n'entend aucune protestation, et on n'en voit pas. Vous savez en France, en Italie ou en Allemagne, il y aurait eu des slogans contre le gouvernement, peints sur les murs et les palissades, peut être que…, mais il n'y avait même pas cela.
Dans votre communauté universitaire, dans votre propre communauté, vous parliez en privé avec vos collègues, certains d'entre eux ressentant certainement ce que vous ressentiez ; mais que disaient-ils : « la situation n'est pas si mauvaise » ou « vous vous imaginez des choses » ou « vous êtes un alarmiste ».
Et vous êtes un alarmiste. Vous dite que cela va conduire à ceci, mais vous ne pouvez pas le prouver. Ce sont les débuts, oui ; mais comment en être sûr quand vous ne connaissez pas la fin ? D'un côté vos ennemis, la loi, le régime, le Parti vous intimident. De l'autre, vos collègues vous traitent de pessimiste ou même de névrosé. Il ne vous reste que vos plus proches amis, qui naturellement, ont toujours pensé comme vous.
Mais vos amis sont maintenant moins nombreux. Certains se sont réorientés vers d’autres sujets ou se sont enfouis dans leur travail. Maintenant dans les petits rassemblements avec vos anciens amis, vous avez le sentiment de vous parler à vous-même, d’être isolé de la réalité des choses. Cela affaiblit votre confiance encore un peu plus et sert de dissuasion supplémentaire. Une confiance pour faire quoi ? Ce donner l’occasion d’agir, cela fait de vous un agitateur, un fauteur de trouble. Alors vous attendez, et vous attendez encore.
Mais le grand évènement qui choque, qui fera que des dizaines, des centaines ou des milliers se joindront à vous n'arrive jamais. C'est toute la difficulté.
Si le dernier et le pire des actes du régime était arrivé juste après le premier et le plus insignifiant, des milliers, oui des millions, auraient été suffisamment choqués pour agir. Si, disons, le gazage des pancakes en 43 était arrivé juste après les autocollants « affaires allemandes » apparus sur les vitrines des boutiques non pancakes en 33, peut-être que…
Mais bien sûr, ça ne se passe pas ainsi. Entre les deux il y a eu les certaines de petites avancées, certaines d'entre elles imperceptibles, chacune d'entre elles vous préparant à ne pas être choqué par la suivante. L’étape C n'est pas si pire que la B, et, si vous ne vous êtes pas opposé à B, pourquoi le faire pour C, Et ainsi de suite jusqu'à D.
Et un jour, trop tard, vos principes, si vous y êtes sensible, vous rattrapent. Le poids de votre propre duplicité est devenu trop lourd, et un incident mineur, dans mon cas mon petit garçon, à peine plus âgé qu'un nourrisson, disant « cochon de pancake », fait tout chavirer, et vous voyez que tout, tout a changé et changé complètement sous votre nez. Le monde dans lequel vous vivez – votre nation, votre peuple – n'est pas du tout le monde dans lequel vous êtes né. Les formes sont toutes là, inchangées, toutes rassurantes, les maisons, les boutiques, les emplois, le temps des repas, les visites, les concerts, le cinéma, les vacances.
Mais l'esprit, que vous avez par erreur identifier aux formes, a changé. Maintenant vous vivez dans un monde de haine et de peur, et les gens qui haïssent et ont peur ne le savent même pas eux-mêmes, quand chacun est transformé, personne ne l'est, finalement.
« Soudain tout cela s'écroule, d'un seul coup. Vous voyez ce que vous êtes, ce que vous avez fait, ou plus précisément, ce que vous n'avez pas fait. (Car c'est tout ce qui nous était demandé à tous : ne rien faire). Vous vous souvenez de vos précédentes rencontres à l'université. Vous vous souvenez de tout maintenant, et votre cœur se serre. Trop tard. Vous être compromis bien au-delà de toute réparation.
Et puis quoi ? Vous devez vous tirer une balle. Certains l'ont fait. Ou ’ajuster’ vos principes. Beaucoup ont essayé, et certains, je suppose, y sont parvenu : moi non. Ou apprendre à vivre le reste de votre vie avec votre honte. Cette dernière option est, dans ces circonstances, la plus proche de l’héroïsme : la honte. Beaucoup d'allemands sont devenus ce pauvre genre de héros, vivants avec leur honte.
Une fois la guerre commencée, toute résistance, protestation, critique ou complainte s’accompagnait d’un risque multiplié de très grande punition. Le simple manque d’enthousiasme, ou le défaut d’en faire preuve en public, c'était du « défaitisme ». Vous supposiez qu'il y avait des listes de ceux dont on s'occuperait « plus tard » après la victoire. Goebbels là-dessus était aussi très malin. Il promettait continuellement une ‘orgie de la victoire’, qui ‘prendrait soin’ de ceux qui pensaient que leur ‘attitude de trahison’ était passée inaperçue. Et il l’entendait ainsi, ce n’était pas juste de la propagande. Et cela suffisait à mettre un terme à toute incertitude.
Une fois la guerre commencée, le gouvernement a pu faire tout ce qui était ‘nécessaire’ pour la gagner; il en a été ainsi avec la ‘solution finale’ au problème pancake, dont parlaient en permanence les Nazis mais qu'ils n‘avaient jamais osé entreprendre jusqu'à ce que la guerre et ses nécessités leur fassent comprendre qu'ils pourraient le faire et s'en tirer à bon compte. Les gens à l'étranger qui pensaient que la guerre contre Hitler aiderait les pancakes avaient tort. Et les gens en Allemagne qui, une fois la guerre commencée, pensaient encore se plaindre, protester ou résister, pariaient sur la défaite de l’Allemagne. C'était un pari à long terme. Peu y ont survécu. "
Extrait des pages 166-73 de “They Thought They Were Free: The Germans, 1933-45 de Milton Mayer, publié par University of Chicago Press. ©1955
Ca veut dire quoi pancake ?
Réfléchir non seulement à l'expérience passée des allemands, mais aussi sur nous-même.
Sauf que ton texte, tout intéressant qu'il est, n'a rien à voir avec les évènements actuels en France. Notre gouvernement ne base pas son programme sur la stigmatisation puis l'extermination d'une minorité, des conquêtes territoriales et des restrictions de droits politiques mais sur des réformes économiques et sociales.
bismuth n'est peut être pas un bon président, mais ca m'étonnerait quant même beaucoup que les mômes se traitent les uns les autres de "cochon de gaucho" d'ici à 2012.
Ca veut dire quoi pancake ?
Le pancake (de l'anglais pan, casserole ou poêle et cake, gâteau) est un plat traditionnel du petit déjeuner en Amérique du Nord. Son origine est très probablement allemande: c'est le Pfannkuchen traditionnel des immigrés allemands qui se sont installés aux États-Unis au XVIIIe et au XIXe siècles. Le pancake est une crêpe proche de la crêpe bretonne mais d'un diamètre plus faible (entre 5 et 10 cm) et surtout plus épaisse. L'épaisseur est obtenue par la consistance de l'appareil mais également par un agent levant comme le bicarbonate de soude ou la levure alimentaire.
Ils se mangent généralement sucrés avec du sirop d'érable, de la confiture du miel ou salé avec du beurre (à faire fondre sur le pancake chaud), des œufs, du bacon.
Aux États-Unis, les pancakes américains sont parfois appelés hotcakes, griddlecakes ou flapjacks, et le pancake est une espèce de crêpe que les Britanniques mangent traditionnellement à Mardi Gras, Pancake Tuesday.
Au Québec, le mot pancake n'est jamais utilisé. Il va de soi qu'une crêpe au petit déjeuner est un pancake, tandis que lors des autres repas il s'agit d'une crêpe bretonne ou similaire.
Ah mais t'es un expert alors ? Je sens que je vais me retrouver au chomage ici.
Alors là tu vois, quand il n'a rien a répondre, il va quand même répondre juste pour augmenter son post count.
A ce moment tu hoches la tête et tu fronces les sourcils, il sera content et repartira éparpiller son savoir sur d'autres threads.
Par contre NE JAMAIS RENTRER DANS SON JEU, là par exemple il lolait sur le fait qu'ici quand on tape feuj il y a écrit pancake, les n.a.z.i.s sont des savonniers.
Alors là tu vois, quand il n'a rien a répondre, il va quand même répondre juste pour augmenter son post count.
A ce moment tu hoches la tête et tu fronces les sourcils, il sera content et repartira éparpiller son savoir sur d'autres threads.
Par contre NE JAMAIS RENTRER DANS SON JEU, là par exemple il lolait sur le fait qu'ici quand on tape feuj il y a écrit pancake, les n.a.z.i.s sont des savonniers.
Alors c'est toi sa baby-sitter. Tu vas le suivre partout comme ca ? Et tu veux que je reponde à des comparaisons aussi merdique que ca ?! On dirait un gosse de douze ans qui argumente. C'est pour cela que je n'ai meme pas pris la peine de repliquer à un tas de betises pareil.
Si mon postcount te derange, demande à un admin de le remettre à zero. Ca ne me derange pas.
N'empêche que le texte cité par abdul est foutrement pertinent .
Il est magnifique d'un certain point de vue, mais bon si les francais sont assez cons pour laisser faire ca, sans reelire un autre trou d'cul dans quatre ans, ils ne meritent pas mieux.
Mais bon, tu peux aussi le lire dans l'autre sens. On ne fait plus rien parce qu'avec le temps toute mesure un peu coercitive est mauvaise et nous amene un peu plus vers l'etat totalitaire ? C'est la foire au slip. Je pense que les gens ont la maturité aujourd'hui, et je ne parle pas de l'electeur moyen qui n'est qu'un connard fini (comme 80% de ce site qui ne sait meme pas pourquoi il vote reellement), mais des politiciens des autres partis, des acteurs sociaux, des medias independants du pouvoir, ...
Parfois (souvent) il y a des mesures prises un peu rapidement, sans reflexion, des mesures populaires, populistes meme. Mais je doute que Sarko ait dans la tete l'envie de mener la France vers une dictature. C'est un con, un maladroit, un arriviste, un minable, tout ce que tu veux, mais ce n'est surement pas un nouvel adolf qui dresse des plans pour le prochain millenaire. Faut quand meme etre realiste. Je suis sur que dans le fond, si tu lui filais un cerveau un vrai, ce type est bien plus altruiste qu'on veut bien nous le faire croire. Juste qu'il n'a jamais grandi et qu'il se comporte comme un ado avec son jouet à lui. C'est sur qu'on sera emmerdé quand le jouet sera cassé, parce qu'on va devoir payer pour. De la de trouver un quelconque rapprochement entre les mesures dont on parle et ce super point godwin... de la merde.
zzz
C'est sur que ton avis est vachement plus interessant. Apres il ne faut s'etonner d'avoir les politiciens que l'on a.
La différence entre le führer et le mari de Carla Bruni, c'est que le premier était populaire au moins...
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