1 Dernière modification par Shad (10-04-2006 13:36:38)

Sujet : Dream a little dream of me...

http://img260.echo.cx/img260/2331/mainreve6cr.jpg

Ca peut donner un truc marrant de raconter ses rêves à la con.  Un de mes rêves les plus marquants...

Il fait nuit, des milliers d'étoiles illuminent le ciel. je me tiens à table sur  la terrasse d'un restaurant chic. Deux superbes créatures en robe de soirée (malheureusement, j'ai oublié le reste de la description physique...) se joignent à ma table, accompagnées de Richard Gere...

Gere se place face à moi, les jeunes femmes siegent à nos cotês. Elles restent dans une position d'attente comme deux femmes que l'on doit séduire... La confrontation est inéluctable... je dois terrasser Gere... Il engage la conversation. Ce p'ti minable tente de me déstabiliser en faisant un éloge sur la qualité du vin, et ce , en anglais... C'était sans compter, que dans ce rêve, je maîtrise parfaitement la langue des rosbeefs (contrairement à dans la vrai life...) mais également tout ce qu'un expert du vin est censé connaître en la matière. Je me permet donc de le reprendre sur de grossières inepties (irl je suis une brêle, je raconte donc que des conneries mais comme c'est un rêves je m'en aperçois pas...). La discussion vire à l'affrontement psychologique...

L'homme à la tignasse argentée s'enfonce et moi j'assure grave ( \o/ youpi !!). Je vois dans la pupille des deux
jeunes femmes un désir qui s'accroit à chacune de mes interventions . Gere perd contrôle., hésitant, balbutiant, pathétique, se barricadant dans un silence éloquent... La victoire est totale !
Les deux jeunes femmes ont finalement succombé à mon charme (mélange subtil entre l'assurance d'un Clark Gable et la classe flegmatique d'un Paul Newman...).

Hop ellipse (c'est quand même sympa les rêves, hein), l'affaire est conclue et je me retrouve directe au pieu avec les deux ravissantes donzelles. Pendant que je pénètre la première (hmm quel parfum délicat !), je sens dérrière moi le doux épiderme de la seconde titiller avec volupté le creux de mes hanches. Oh ! Mais ? Bordel ?! Mais qu'est ce que...  ? Mais non ! Mais c'est...c'est... C4EST GERE QUI M4'ENCULE  $$$. Bordel, ça fait mal !!!  Et pis je saigne en plus !!! , je hurle que je n'en suis pas., je veux me barrer mais mes jambes dépose le bilan  (un bug récurrent dans les rêves il parait) !! Et mon sexe coincé dans le truc de l'autre pouf !! Putain ! Putain, chui dans la merde  !!! 
Je me reveille... Ouf ! j'ai échappé de peu à la faciale !

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Re : Dream a little dream of me...

Putain le traumatimse, t'es insomniaque depuis ?

kikoo lol dtc

Re : Dream a little dream of me...

Hahaha, c'est impossible, Richard Gere ne peut pas boire du vin car il est bouddhiste, hahaha, le con.

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Re : Dream a little dream of me...

Si t'étais pas un gay refoulé, tu te serais décontracté du cul et tout se serait bien passé.

Le véritable asile, un site de pères de familles connards nombrilistes.

5 Dernière modification par ceacy (10-04-2006 12:16:50)

Re : Dream a little dream of me...

Moralité : Shad, Richard Gere, il en a plein le cul.

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Re : Dream a little dream of me...

Pour le vin c'est pas con. Mais y'avait sans doute encore plus gros comme indice pour démasquer le fake. Ben oui, c'est pas tous les jours qu'on bouffe avec Richard Gere et qu'on enchaîne avec un plan à 3 (4) smile
Sinon j'arrive heureusement à dormir mais avec quelques capotes en dessous mon oreiller (on est jamais trop prudent !).

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Re : Dream a little dream of me...

HAHAHA !

Ne pas comprendre Booba c'est ne rien comprendre au rap. Pire encore quand t'en fais l'image du rappeur bas du front qui ne sait pas ecrire. Et je peux meme pas te dire d'arreter de resrer bloquer dans les 90's, a cette epoque il faisait le crime paie, bordel. - Jakovazor

Re : Dream a little dream of me...

Quelques aventures de moi. Pourtant dieu sait si je suis quelqu'un d'épanoui, allez comprendre.

Cette nuit j'étais interné dans un asile du plus pur style construction 80's, à rendre fou même si on l'est pas. Le directeur en tenait lui même une bonne couche puisqu'il (mix avec l'épisode de south park maté juste avant dodo) force ses détenus à s'accoupler avec des animaux, des souris de labos ici, au motif que la vie maritale donne des objectifs et améliore l'opinion de soi. Refusant cet état de fait, je me la tape escape from hell: J'embarque une co-détenue (surement très bonne sous sa blouse verte mais j'ai pas pu vérifier), et je prends l'ascenceur à baie vitré du fond du couloir, bizarrement laissé sans surveillance. Pour une raison qui m'échappe je tape sur monter, dernier étage: le neuvième. Durant le trajet je me remémore le batiment tel que je l'ai vu en arrivant: au prix d'un effort mental insoutenable je réalise qu'il ne compte que 6 étages; ce 9 sur lequel j'ai cliqué ne peut qu'être un piège ! Mais impossible d'arrêter quoi que ce soit, et ce qui doit arriver arrive: parvenu à l'extremité du 6ième l'ascenceur poursuit sur sa lancée et est propulsé dans la stratosphère. Je me reveille à cet instant.

ventoline a écrit:

Cette nuit c'était folklo, je retranscris texto la chose:
possédé par satan, mon chat devient ev1l; il mord tout le monde et pousse des cris de T-rex. Je me résoud à abréger ces souffrances en le tabassant sauvagement après un rude combat (dur à attraper le chat). Mais une fois libéré de son enveloppe chatienne, satan s'en prend à moi et je me mets à avoir mal partout et à voir des choses horribles. Je cours à la droguerie du coin m'acheter un petit crucifix en pendentif entre deux rayons de clous et d'emballages cadeaux. D'une je me trouve contrarié de ne pas y trouver le crucifix homologué exorcisme, vu dans un quelconque film de possession, de deux je réalise d'un coup que c'est trop con: un dieu aussi débile ne peut pas exister. La suite du rêve est partagée entre mon combat contre le malin (qui s'est malicieusement mis à me faire vomir), et une profonde réflexion métaphysique sur l'acceptation de jésus dans ma vie. Je ne me souviens pas du reste.

Maintenant je n'ai AUCUNE envie de connaitre la signification freudienne de tout ça.

Dans ceux qui reviennent le plus souvent je me trouve dans un monde post-maladie ravageuse (parfois alternatif-déglingué souvent avec des couleurs ternes et ôcres, parfois tout à fait normal), et j'y suis presque seul, j'y rencontre pas plus de 5,6 clampins par session. C'est peut être ça le paradis.

Je me fait également très souvent blesser par balles/katatana/intruments divers et obus de tank mais je meurs jamais.

J'attends l'avis du psy (pas celui du supplement figaro madame "décodez vos rêves de grosse bourgeoise moche").

ventoline a écrit:
myra a écrit:

Ventoline est un dissocié en état de guerre interieure.

Haha ! Je prends note pour la prochaine fois qu'on me demande "et toi tu fais quoi dans la vie ?"

Il est important de comprendre qu'il y a plusieurs niveaux de compréhension.