M. Porcin a écrit:J'ai une question, le terrain est plein sud, un peu encaissé donc pas au soleil toute la journée mais aux heures les plus chaudes. On est à Valence, donc pour moi c'est le sud. J'ai peur que ça prenne un poil trop cher au soleil quand même et je me demande si ça se fait de planter un truc grimpant qui supporte un peu la chaleur, genre des tomates, au sud et de planter le reste derrière. Est-ce que c'est une bonne idée ? Est-ce qu'il y a un truc plus adapté que les tomates pour faire ça ? J'ai aussi un autre potager mi ombragé mais je vais y coller les patates a priori.
C'est choli.
Je sais pas combien t'as prévu pour te déplacer entre tes carrés mais je peux te dire que ça ne sera pas suffisant . Tu va galérer pour circuler dès que t'auras un peu de plantes. Si ça peut te rassurer j'ai fais la même erreur alors que j'ai passé 1 mois sur mon plan de culture. Sur Autocad 40cm c'est large.
Pour ta question : En gros et rapide, oui t'as raison de t'inquiéter et oui ça se fait très bien. A part les tomates t'as les concombres et les haricots à rames. Mais tu va devoir avoir un (gros) treillis qui monte suffisamment haut, genre ça : https://i.pinimg.com/originals/85/2d/b9 … 94530b.jpg
En moins utile, t'as d'autres trucs qui rampent et couvrent très bien sur treillis genre les éponges végétales (loofah).
Sinon j'ai une idée un peu con que j'ai envie de mettre en pratique depuis longtemps : la vigne en hautain. Ca marchera très bien pour l'ombre, c'est une plante qui survivra sans problème à la chaleur et t'auras des raisins.
Bon, cet aprem j'avais prévu mille trucs différents et, à la place, j'ai reçu un autre camion de fumier. J'avais donc un (gros) tas de merdes à gérer avant qu'il se mette à pleuvoir dimanche. J'ai donc passé ma journée à fourcher de la merde pour fumer mes 12 planches restantes a raison de 4 putains de brouettes par planches.
J'ai niqué le tas en 3 heures. Je sais pas combien de kilos de merde déplacées ça fait mais je vais bien dormir ce soir.
SojaMoule : "Tu perds ton temps, c'est l'asile et je t'emmerde. Dans ta forteresse de certitudes apprises à l'école ou dans tes lectures, tu n'es pas le dépositaire de la vérité absolue."
Reblochon : "As-tu quelque chose d'intéressant et constructif à dire ? Oui ? Lâche toi ! Non ? TA PUTAIN DE GUEULE D'ATTARDÉ, tu la fermes. Bisous"