Rhum a très bien compris : c'était un arrangement verbal. Oui, ce n'est pas très malin mais il faut bien comprendre que c'était ça où rien, initialement.
Rhum™ a écrit:Les terrains agricoles c'est pas ce qui manque en France. Si tu n'es pas propriétaire de ton logement tiens-tu vraiment à rester à l'endroit ou tu te trouves ? Tu pourrais te déplacer à quelques dizaines voir centaines (si tu n'es pas complètement contre l'idée de bouger) de kilomètres pour trouver ton bonheur. Si le type pense que son terrain peut passer constructible, c'est qu'il doit être très (trop) proche d'une grosse agglomération. As-tu essayé de prendre contact avec la SAFER de ta région (http://www.safer.fr/) ? Disposes-tu d'un budget pour acheter du terrain ? Si non, si tu es propriétaire de ton logement pourquoi ne pas le revendre pour réinvestir sur une exploitation équivalente à ton budget ? En bref baisse pas les bras, il y a toujours des solutions quand on se sort les doigts.
Concernant la SAFER, tu penses bien qu'on a commencé par là. Dans ma région, l'offre la moins chère est à 120.000 euros (et ça monte très vite à des niveaux stratosphériques). Bref, c'est même pas la peine d'y penser. On est pas contre l'idée de bouger un peu mais c'est pas la solution que l'on préférerai. Par contre tu as raison sur un point : on ne manque pas de terres agricoles. Ce qu'il manque, c'est la volonté d'un certain type de propriétaire d'en céder une part pour la création de petites structures agricoles.
Bon, on ne baisse pas vraiment les bras mais ça fiche un coup au moral. Prochaine étape, on va voir avec la mairie de mon village natal si ça les intéresse pas d'installer un producteur bio chez eux : les maires ruraux sont souvent assis sur un tas de terres en friches.
SojaMoule : "Tu perds ton temps, c'est l'asile et je t'emmerde. Dans ta forteresse de certitudes apprises à l'école ou dans tes lectures, tu n'es pas le dépositaire de la vérité absolue."
Reblochon : "As-tu quelque chose d'intéressant et constructif à dire ? Oui ? Lâche toi ! Non ? TA PUTAIN DE GUEULE D'ATTARDÉ, tu la fermes. Bisous"