Re : Ich bin ein Berliner.
Pourtant, les escarpins de tapins, l'esthétique Crazy-Horse, tout ça, cela n'émoustille guère que le provincial, pas le citadin du XXIe siècle, n'est-ce pas, ça sent tellement les années 80 et leur chic en toc. Trouve-moi des femmes en Louboutin dans des vernissages, à Lusignan ou à Niort, sans doute...