Pages Précédent 1 2 3 4 5 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Vous n’êtes pas identifié. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.
Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Ich bin ein Berliner.
Pages Précédent 1 2 3 4 5 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Ce bordel n'est composé que de vieilles putes défraichies, vous baissez dans mon estime, maître.
Sans nouvelle de Monsieur Maurice depuis le 31-12-2011 18:01:21, je suis en droit de me demander s'il s'est fait enlevé par Tanja et Elina pour alimenter le traffic d'organes au Kosovo ?
Quel est l'organe de M. Maurice qui pourrait bien intéresser un trafiquant kosovar ?
Pas le foie en tout cas.
Ce bordel n'est composé que de vieilles putes défraichies, vous baissez dans mon estime, maître.
Vous pouvez ricaner bien sûr mais je suis très sérieux, pour rejoindre mon rendez vous, j'ai dû prendre de gros risques et ne tardai pas à me perdre dans un dédale de rues sales et noires puis en m'acheminant pour des souterrains secrets, genre:
jusqu'à descendre dans les entrailles du monde...
J’arrivais un peu en retard mais comme disait Lord Henry « la ponctualité est une voleuse du temps !» n’est ce pas !?
comme disait Lord Henry « la ponctualité est une voleuse du temps !»
Je n'aurais jamais pensé que Thierry Henry puisse avoir un tel sens de la formule.
La dernière est une photo du goatse de votre dernière conquête ?
Quel Don Juan ce Maurice ...
Moi qui ai tenu dans mes bras les plus belles femmes du monde je me devais de constater par moi-même sur la bonne tenue des bordels berlinois; La figure rubiconde et le corps athlétique, vêtu de mon plus beau gilet de flanelle je me présentais donc au très select Van Kampen.
Entrée discrète entre un garage VW et un minimarket dans un immeuble quelconque métro Heidelberger Platz, vous sonnez un coup à l’interphone puis deux autres, la porte s’ouvre (pas besoin d’expliquer « bonjour, c’est pour tirer un coup » elle s’en doute bien) une dame sans dire un mot vous précède et vous conduit vers un couloir où sont situées des alcôves cachées par des rideaux, celle où je m’installe est décorée de bronzes baroques et d'anges dorés, ici un bon fauteuil dont les accoudoirs sont des poulets cocos portant des flambeaux; après deux minutes d’attente les jeunes filles viennent se présenter à tour de rôle en ouvrant le rideau, certaines portent le symbole visible du péché, le signe toujours présent de la ruine où les hommes conduisent leur âme, et pourtant les roses n’en sont pas moins belles , une fois le ballet terminé il vous suffit d’annoncer l’élue de votre bite cœur à l’ex pute la dame de l’accueil et le tour est ouéj.
Avec Delia ce fut le coup de foutre foudre immédiat ses appas bien en évidence très ouvertement puisqu’elle était dans toute la fleur de sa féminité : en culotte/soutif noirs très ostensiblement décolletée pour l’occasion (elle bossait !) afin d’offrir une vision généreuse de sa poitrine avec plus qu’un aperçu des seins, ses lèvres charnues entrouvertes et une dentition assez perfect ; à en croire la rumeur qui courait dans l’établissement (bien que le fait ne soit pas clairement établi) elle descendait de la maison impériale ottoman himself dans la résidence desquels, vraiment indiscutablement une belle demeure dans son genre dominant les rives du Bosphore et méritant le coup d’œil, sa mère ou tante ou une quelconque parente, femme of course, à ce que l’on racontait, d’une extrême beauté, avait joui du privilège insigne d’être affectée au Van Kampen, ouais, ouais !
Retranchés dans notre nid d’amour, nous nous touchions du bout des doigts sans oser nous regarder, d’abord ce fut strictement platonique jusqu’à ce que la nature s’en mêle et un attachement grandit entre nous…J’acceptais fort civilement le rafraichissement qu’elle me proposait et nous entamâmes une conversation délicieuse dont les thèmes fut vastes, en vrac : Istanbul, Allemagne nazie, amitié entre femmes, prostitution, régime alimentaire, église catholique romaine, célibat des prêtes, nation turque, éducation jésuite, influence néfaste de la veille du sabbat (noir), prothèses PIP etc…
Pour beaucoup d’entre vous, la femme appartient à un sexe ornemental, elles n’ont jamais rien d’intéressant à dire mais le disent avec le + grand charme, ainsi la femme représente le triomphe de la matière sur l’esprit mais Delia est l’exception qui confirme la règle car nous vivons une époque où le superflu est le seul nécessaire dont nous ayons besoin bien que toutefois je crois en l’Etre Suprême, le Créateur.
Tandis qu’aux murs des miroirs nous réfléchissent, lentement Delia me pompe l’appendice…
Putain c'est beau snif....
Entre foutre et poésie, Maurice brille de mille feux. Je verrai bien à l'avenir un buste de votre grandeur sénile à la place de celui de Marx. Ou une quéquette en bronze.
Jenny aurait été aussi un choix éloquent. PUTE.
Et je trouve que citer Melody Nelson vous va très bien.
picss
Avec Delia ce fut le coup de
foutreimmédiat
Dur !
Euh, et les photos ?
Maumau sait faire attendre ses lecteurs. Un peu comme dans les épisodes de Dallas, quand JR se prend une balle dans le cul et où il avait fallu attendre 3 mois pour savoir qui avait tiré.
Bah là c'est pareil.
Maumau a pris une balle dans le cul? Je croyais que c'était lui qui mettait les cartouches pourtant.
Putain, non, j'espère que ce n'est pas pareil, parce que pour JR ce fut une grosse déception quand même...
Les Internettes eurent rarement plus grand homme que ce Maurice là.
<3
Les Internettes eurent rarement plus grand homme que ce Maurice là.
Grand homme ou pas, sans photo, ça reste un Grand mytho !
picss
Euh, et les photos ?
Grand homme ou pas, sans photo, ça reste un Grand mytho !
Je vous ai compris.
Pour commencer, l'endroit où s'est déroulée la performance:
fermez les yeux et imaginez une subtile odeur de foutre encore chaud dans l'atmosphère un peu comme une eau bénite à marée basse...
Sachez que les colonnes en plâtre se sont fissurées pendant la rencontre.
INTERLUDE
histoire de faire monter la pression et avant de lâcher la purée la suite, voici quelques péripéties de mon périple:
matez mon nouveau costume qui fera fureur lorsque de retour dans mon village j'irai à la boulangerie au pas de l'oie:
Der mauer
Der mauer
Der mauer
Der mauer
de la super caisse
Elles sont où les photos où tu fourres ta bite turgescente dans l'anus de la pute de luxe?
On se croirait sur la TNT, l'intro du film et direct 20 minutes de pubs !
Maumau, vous êtes (un peu) le phoénix des hôtes de ce forum
Elles sont où les photos où tu fourres ta bite turgescente dans l'anus de la pute de luxe?
Je vous demande de vous arrêter.
Putain, le manteau nazi désigned by hugo boss, ça vaut tout les duffle coats de pédale.
Pages Précédent 1 2 3 4 5 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Ich bin ein Berliner.
Propulsé par PunBB, supporté par Informer Technologies, Inc.
Généré en 0,089 secondes, 79 requêtes exécutées