1 Dernière modification par thedarkdreamer (21-11-2010 17:50:14)

Sujet : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Je profite de ce que plusieurs des participants dorment encore dans leur vomi pour proposer de regrouper les récits et photos dans ce sujet.

Plus à venir, j'ai des choux-fleurs sur le feu.

edith: M'sieur TDD, une histoire, une histoire!

Près de la rue de Ménilmontant, ce quartier désormais irrémédiablement touché par la lèpre de la boboïsation, le passant qui se hasarde dans une sombre embouchure à un croisement peut, par accident, pénétrer dans la rue des Panoyaux.
C'est une rue étroite et sinueuse, et la hauteur de la façade décrépite des immeubles empêche la lumière d'y pénétrer tout à fait. Nul ne sait pourquoi la zone n'a pas encore été transformée en un complexe de thalassothérapie et danse cubaine, avec bars assortis. Des projets ont certes été envisagés, mais abandonnés peu après, sans que l'on sache bien pourquoi.
L'âme égarée qui ne rebrousserait pas aussitôt chemin pourrait passer devant un troquet dénommé"la cale sèche". Nom parfaitement choisi pour un repaire connu de marins égarés, de capitaines n'ayant pas réussi à couler avec leur navire, et d'épaves.
Dans ce bouge, chacun boit pour oublier, tenancier compris. Son anneau, mal inséré dans un lobe d'oreille déformé par l'infection, témoigne assez de son ancienne profession. Son air hagard dit ce qu'il faut savoir sur son état.
C'est là que prend place mon histoire.

Laissons ici le pastiche, et place au récit.

J'arrive vers 20h 00 et suis salué par un jeune homme au visage déformé par l'acné et l'alcool. Ce dernier m'apprend qu'il est en fait léo et vient de Bretagne, ce qui confirme mes impressions. Nous sommes rapidement rejoints par Aenema, Armestat, Nassos, Pine de chou et d'autres, qui d'emblée jettent un froid en sortant de leur sac petits chapeaux pointus, fausses moustaches et cotillons.
On a ensuite plusieurs autres arrivées groupées:

Napalm, Cyp et kekouse qui venaient de terminer un tournoi de SF4,
Quelques incrustes traditionnels "Vous nous connaissez, on vous a déjà piqué des bières... Non! Ne tirez pas! On connaît Aliocha!"
Donspliff qui arriva presque bon dernier "Delanoë, tu es mort! Trop la misère pour se garer"
Bakounet et une collègue à lui qui cherchait à oublier son chagrin d'amour par la biture
Sama qui affirma d'emblée "je suis malade, donc je ne sucerai personne"
Aliocha et sa compagne, Alextasy,
et pas mal d'autres joyeux tarés, qui faisaient de nous une bonne vingtaine de personnes.

Du coup, on envahit rapidement l'arrière cour terrasse dudit café, où des sbires sarkozystes des RG vinrent régulièrement nous surveiller, déguisés en pakys vendeurs de gadgets lumineux.

Les discussions allaient bon train, et la bière coulait à flot. Il fut notamment question:

- de Soja et de sa paranoïa informatique ô combien justifiée, et de l'avantage qu'il y avait à pouvoir mettre sur le dos de Troy l'intégralité des coups bas,
- de Reblochon et de l'impossibilité de lutter sérieusement contre lui dans le troll, ou alors à plusieurs et sur un terrain bien préparé,
- de Chavez et de sa capacité à noyer les poissons sur plus de 130 pages "c'est un métier" répétions-nous avec admiration,
- de Stany et de la nécessité d'organiser en 2011 un "Asile goes to normandy" tour histoire de vérifier que ses baguettent sont aussi bonnes qu'il le prétend,
- de Kekouse et de ses anecdotes sur les bichons,
- et bien d'autres putasseries que je ne peux répéter ici, car trop sensibles.

Pendant ce temps, boulettes et confettis volaient, quelques verres étaient brisés, provoquant l'ire de nos taverniers qui entreprirent de nous foutre dehors. L'un d'eux insulta la collègue de Bak. C'en fut trop pour ce dernier qui, en preux chevalier lui obtint des excuses.

Les farces et atrapes étant décidément trop bon marché, une âme maline décida de verser dans les cheveux de sama le contenu d'une bombe puante, ruinant par là le nez et les fringues de toute l'assistance, et menaçant de nous priver du bukake promis pour la fin de la soirée. Sama, vexée, menaçait d'appeler un taxi. Heureusement, Donspliff lui démontre que celà serait ruineux et elle reste.

Vers une heure et demi du matin, dans un geste de mauvaise humeur, les tenanciers cessent de servir à boire, sous le fallacieux prétexte qu'ils vont fermer. Rétablissant l'esclavage, ils forcent même Aenema et Armestat à remettre à peu près en ordre l'arrière cour, jonchée de verre cassé et de confettis. Ce qu'ils font à grands coups de balai.

Hors du bar, Aliocha renifle le vent et décide que le Café de Paris, situé non loin, doit être encore ouvert. Nous nous y réfugions et la murge reprend. J'essaie d'offrir à boire à Bakounet qui régale depuis le début de la soirée, mais le fourbe reste insaisissable et dégaine les billets pour payer plus vite que son ombre.

Sa collègue, elle, montre des signes évidents d'ivresse et d'épuisement: elle est sans défense, et Sama se met en tête de la violer. Ne voulant pas assister à cette scène écœurante du vice triomphant sur la vertu, je laisse là la petite troupe et rentre chez moi en bon père de famille.

Bref, très bonne asilecon, des gens qu'on ne voit pas souvent, d'autres que ça fait toujours autant plaisir de voir, du putassage, du troll, du potentiel érotique lesbien, que demander de plus?

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Je crois que Stupid, Armestat et Aenema on tout de suite adopté pine de chou comme un des leurs.
On est arrivé vers 20h30 avec Cyp & Kek, après une aprem street fighter/marvel vs capcom/UFC.
Sama a été accueillie par un "GANG BANG, GANG BANG !".
Bak est arrivé avec sa copine et a payé direct une douzaine de bières. L'ambiance était festive avec des petits chapeaux pointus, des cotillons et des moustaches de gringos.
Le bar choisi par aliocha était cool et on pouvais tous rentrer sur la terrasse, mais les serveurs picolaient plus que nous, ils sont venus nous saouler parce qu'on faisais trop de bruit, qu'il fallait rentrer (mais y'avait pas de place dans leur bar donc...) Puis le deuxième est venu emmerder Armestat sur la notion de respect car il y a eu des confettis et des serpentins de balancés il a balayé avec Aenema à la fin.
A la fermeture on a filé vers un autre bar où on est resté une heure, puis direction les tunnels sombres de la petite couronne, avec de l'escalade, du suspense, et de la bière homemade grâce à Léo, son fut et sa pompe.
Puis après 2km de tunnels on est sorti en essayant de ne rien se casser, et on s'est retrouvé devant une boite/bar ragga chelou où Binouze & Donspliff avait l'air de s'amuser pendant qu'on glandait dehors sous la pluie. Sama y a aussi eu le coup de foudre pour la copine de Bak et on est rentré par les premiers métros tongue

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Des cascades, du suspens dans des tunnels sombres, des rapports lesbiens, de jeunes acteurs prometteurs, ça a été filmé en full HD au moins ?

Inséminateur de femmes ménopauséent

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

J'espère bien !
En tout cas Zlu mitraillait et défonçait les rétines avec son super flash déporté vintage.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Ça va être comme d'habitude, 15 000 photos, mais on en verra que trois, parce que messieurs sont des artistes :-(

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Tant que la scène lesbienne en fait partie, c'est good tongue

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

aliocha a écrit:

Ça va être comme d'habitude, 15 000 photos, mais on en verra que trois, parce que messieurs sont des artistes :-(

Prendre plein de photos et n'en réussir que quelques unes, ce seraient plutôt des noobs smile

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Bon mais alors, est-ce que Binouze a enfin réussi à PECHO Sacam ?

Mais en vrai je m'en fous complètement

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Cette asilecon était clairement sous le signe du gros pédé, avec moult regards attendris, douces caresses, promesses (hélas non tenues) et reconstitutions de sodomie par certains festifs profitant du manque de lumière dans les tunnels.

Il est de bon ton de rappeler une nouvelle fois que le classieux Bakouneyyy a payé 12 pintes à son arrivée.

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

TroyMcLure a écrit:

Bon mais alors, est-ce que Binouze a enfin réussi à PECHO Sacam ?

Elle n'est pas venue.

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Sacam était a un concert il me semble hier, vous ne suivez pas son emplois de temps ?

Inséminateur de femmes ménopauséent

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Il manquait GW1... sad

Je vous demande de ne pas voir dans cette manière d'opérer une mesure coercitive à votre égard, mais les régles inhérentes à ma profession m'obligent à procéder de cette manière.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Message de tête édité.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Déçu d'avoir raté ça.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Bah oui grosse tristesse mais vraiment pas possible sad
J'aurais peut être du tenter de me cacher dans la valise de Cyp. Blotti contre un slip sale.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Ah oui, et puis il n'a pas raconté la modeste free party sur la petite Ceinture avec un téléphone portable en sound system et des rats à la place des chiens. Et puis faire commettre un délit de violation de propriété à deux membres des douanes, ça n'a pas de prix !

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

aliocha a écrit:

Ah oui, et puis il n'a pas raconté la modeste free party sur la petite Ceinture avec un téléphone portable en sound system et des rats à la place des chiens. Et puis faire commettre un délit de violation de propriété à deux membres des douanes, ça n'a pas de prix !

Je vous ai abandonné lâchement au café de paris, je laisse donc ce récit à d'autres.

"J’appartiens donc à la justice, dit l’abbé. Dès lors, que pourrais-je te vouloir ? La justice ne veut rien de toi. Elle te prend quand tu viens et te laisse quand tu t’en vas."

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

C'est quoi cette histoire de douane ?

Inséminateur de femmes ménopauséent

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Je suis en train de rédiger la partie 2 de la soirée, pour autant que je m'en souvienne. Et surtout, je n'ai pas la prose de TDD, veuillez m'en excuser par avance.

Je vous demande de ne pas voir dans cette manière d'opérer une mesure coercitive à votre égard, mais les régles inhérentes à ma profession m'obligent à procéder de cette manière.

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

C'est quoi cette histoire de puanteur déversée sur Sama ? il faut être le dernier des chacaux pour faire un truc pareil.

Inséminateur de femmes ménopauséent

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Bah peut être que ça lui aller bien.

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Je suppose que c'est parti de l'idée qu'elle est rousse ?

Stop womansplaining my privileges.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Vous avez pas endommagé ses petits orifices tout choupi j'espère hein.

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Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Tiens c'était hier. J'ai oublié.

Re : [feedback] zylecon du 20 novembre au soir et du 21 au matin

Au Café de Paris, nous fîmes une halte et fîmes des allers-retours entre l'entrée pour les fumeurs et l'arrière-salle où une représentante de la maréchaussée de nos frontières fit un léger black-out.

Dans l'excitation générale d'un viol collectif sur cette représentante de l'autorité, je fis perdre à Stupid son ENORME bout de shit à 60€. Nous ne le trouvâmes jamais, à l'instar du raccourci de David Vincent. Et ce, malgré l'équipement présent dans mon inventaire, à savoir une lampe torche mag-lite, petite, fine et rarement utilisée CMB.

Le Café de Paris étant un endroit trop éclairé et trop orienté mainstream musicalement, nous décidons de trainer nos guêtres sur la voie de fer désaffectée de la petite couronne.

L'entrée connue par Aliocha a promis son lot de dangerosité. Une escalade de grille niveau 2, pas forcément difficile, mais les pointes acérées lancèrent une hypothèse de fin prématurée de la soirée dans un établissement hospitalier. Il y fut même question de Romy Schneider, l'asilecon premier sur la culture faits-divers des people.

Ce fut un moment magique. Des écrans de portable allumés, la régularité de nos pas sur le mâchefer et surtout le son 1x1W de l'i-phone de notre représentante douanière contribuèrent à l'euphorie générale. A moins que ce ne fut notre alcoolémie déjà avancée...

Nous nous posâmes pour violer l'intégrité physique, non pas de Sama, mais bien du fût de bière de Leo. Notre ami devait d'ailleurs se féliciter d'accomplir cette ouverture, il a du se taper cette bombonne depuis son domicile jusqu'à ce tunnel inconnu de la petite ceinture. Cependant, pour ma part, le breuvage ne tint pas ses promesses gustatives, il eut pourtant le mérite incontesté d'être frais. Accompagnés de cigarettes artisanales de Binouze et Nassos (Nassos sans JulienGW1, incroyable) nous restâmes sur place un moment.

Je n'ose narrer le triolet masculin de nos amis Armestat, Stupid et Aenema, qui profitèrent de l'obscurité pour se livrer à des frottis-frottas sur à peu près tout le monde.

Seconde Scission, Madame Aliocha décida de rentrer. Armée de son courage, elle pria son preux chevalier de la raccompagner jusqu'à la civilisation. Armestat et moi-même firent nos white knights, et firent le chemin adverse pour escorter notre déserteuse :

"Non, tu vois, les racailles, les mecs de la rue, les mecs bourrés, je gère. Mais les tunnels obscurs, avec les bruits, les trucs, ouais j'kiffe pas"

Pendant ce temps, le reste de la fine équipe suivit la voie de fer dans l'autre sens. Nous les rejoignîmes après une longue marche sur cette voie ferrée. Mon excitation du à l'endroit qui me rappelait mes descentes dans les catacombes descendit vite à cause de l'effort physique à accomplir.

Arrivés à l'air libre, nous décidâmes de sortir de la petite ceinture. Après une énorme chute de notre amie douanière alcoolisée, ce fut le moment de la seconde cascade à la française. Un mur de deux mètres avec une mini pente au béton sur la fin et un savant poteau d'un mètre juste à coté.

Nous y arrivâmes tous avec plus ou moins de style, Je crois me souvenir d'un Nassos agile digne d'un pro du PARKOUR et d'un Kek blasé de la descente. ceci dit, c'est normal, Kek mesurant deux mètres, il a juste descendu en suspension, les pieds touchant terre. Inutile de préciser que notre policière niçoise chut de nouveau.

Nous restêmes en errance un moment dans les rues, quand le bruit d'une ligne de basse attira notre attention. Hé ! Un bar ouvert ! De la bière fraîche !

Je suis rentré accompagné d'un membre qui cachait son genre. Et quelle ne fut pas notre surprise en découvrant un bar reggae/dancehall avec une clientèle à faire frémir d'effroi notre Stany. Pas grave, ils servent encore. Nous fumes peu à rentrer, le reste de l'équipe squattant devant l'édifice, et un autre membre prit un taxi pour rejoindre son avion au départ à 7h00.

J'assista à l'une des plus belles scènes de la soirée, une parade nuptiale entre nos deux membres féminins, d'abord sur la piste de danse, puis juste devant moi. Hélas, mon "Yeah" lubrique au moment du baiser mouillé apeura nos deux poules faisanes, qui se dirigèrent vers un coin plus sombre.

Ce fut l'heure de battre le rappel, il était 6 heures du matin. Nous splittames devant une bouche de métro, nous nous promîmes de nous retrouver de nouveau. Je repartis accompagné d'Aliocha et de Leo vers Menilmontant. Je repris ma caisse devant l'église, concentré, pour repartir vers ma banlieue lointaine, sympa certes, mais lointaine, priant le Dieu des alcooliques toxicos de m'épargner un contrôle de la maréchaussée.

Un café chaud, une douche, une branlette et un SMS à ma compagne pour la rassurer (pas forcément dans le même ordre), je m'endormis dans un sommeil profond.


Décu d'ailleurs, malgré mes appels répétés du pied (Hé ! Je suis célibataire ce soir, freedom free-lance, il y a personne chez moi) de rentrer seul mais avec de bons souvenirs.



Je passe sous silence bien évidemment certains discours ou certains evenements qui ne nuiraient qu'à leurs auteurs. Ce qui se passe en Asilecon reste en Asilecon.

Vivement la prochaine.

Je vous demande de ne pas voir dans cette manière d'opérer une mesure coercitive à votre égard, mais les régles inhérentes à ma profession m'obligent à procéder de cette manière.