Re : Minizilcon Paris - 26/02.
Estime toi heureuse, Aenema aurait pu en profiter pour te mettre son point dans ta gueule.
Vous n’êtes pas identifié. Veuillez vous connecter ou vous inscrire.
Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Minizilcon Paris - 26/02.
Pages Précédent 1 … 7 8 9 10 11 12 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Estime toi heureuse, Aenema aurait pu en profiter pour te mettre son point dans ta gueule.
Si on combine vos deux dernières réponses on obtient une bonne séance de fist-fucking. Sac à mouille, est-ce que tu connais le terme "Prolapse" ?
Un terme pas très ragoutant qui parle de descente d'organes?
C'était une question rhétorique bordel.
bah alors c'est prolepse. tu te gourres de mot.
Tu le vois ce poireau?
Quand je pense qu'on avait peur que les asilecons nous fassent tous nous aimer.
T's pas la classe américaine SacàFoutre.
Jamais prétendu l'avoir comme tout ces planqués du site de racistes. Je reste humble moi.
Ahaha ouai, tu veux juste te faire publier.
Bah oui j'ai des espoirs à la con, jvoudrais publier mes torchons, habiter chez les norvégiens, finir mes études et enfin avoir un taf... Mais bon un peu comme tout le monde. On a plein d'espoirs, pour certaines choses on y croit plus que d'autres, c'est tout.
Du tout, moi je veu juste boire des bières avec mes potes et me gratter les couilles devant mon pc pour me renifler les doigts.
Oh putain oui j'avais oublié cette histoire de "nouvelles pornographiques" (je ne me souviens plus exactement du terme qu'elle a employé), Sac à mouille, c'est quand que tu nous les balances sur l'asile qu'on se gausse ?
Du tout, moi je veu juste boire des bières avec mes potes et me gratter les couilles devant mon pc pour me renifler les doigts.
MYTHO
J'en ai une, mais j'hésite encore à la balancer.
Figure-toi que j'ai des connaissances dans le milieu de l'édition.
J'en ai une, mais j'hésite encore à la balancer.
Sans déconner ? N'hésite plus une seule seconde et fait-nous profiter.
Balance-là si tu veux thermos, le but étant juste de se bidonner dessus.
Parce que je peut-être une petite conne hargneuse et agressive, je tiens toutefois toujours mes promesses. Sans racune, une nouvelle bien bête avec les mots "bite" et "branlette" dedans. Si t'as le courage de tout lire...
CHRONIQUE D’UN (jeune) BRANLEUR
C’est l’histoire d’un mec qui s’appelait Etienne et qui était un branleur de premier ordre. On aurait pu l’appeler Nicolas ou Eric, car on le sait bien, des adeptes de la masturbation on en trouve partout. L’histoire veut qu’il soit un garçon, ou plutôt un adolescent et qu’il s’appelle Etienne, on fera ainsi.
Etienne a 16 ans et demi. Il pratique la masturbation depuis presque 10 ans. Il aime ça et il ne peut s’en passer. Un matin, il se réveille en retard et va au lycée en se pressant encore plus que d’habitude. Oui mais voilà, d’habitude Etienne a toujours le temps de se « taper une queue » le matin au réveil. On le sait bien, la branlette du matin c’est un petit peu comme le sucre et le nuage de lait dans le café, indispensable donc. Etienne est fatigué, en plus, il n’a même pas pu se faire plaisir. C’est vraiment moche. Il a cours avec sa prof de mathématiques. Elle n’est pas jeune mais « baisable » dans son genre, si on suppose qu’on apprécie les femmes mûres. Du coup, lorsqu’il entre bredouille dans sa salle de cours, il aperçoit la prof, elle lui fait un grand sourire et lui dit « Bonjour… ». Etienne, encore mal réveillé la trouve vraiment charmante ce matin-là. D’habitude ses profs ne lui disent jamais bonjour. Il n’a jamais été bon, faut dire qu’il n’a jamais essayé de travailler non plus. Du coup, ses profs, ils ne l’aiment pas beaucoup. Mais ce matin, il sent qu’il s’est passé quelque chose. Ce « bonjour » avait un je ne sais quoi d’agréable à entendre. Malgré la fatigue et la frustration de ne s’être pas pignolé le matin, il trouve pour la première fois de l’année sa prof « charmante. » Puis vint alors l’inévitable. L’émotion est bien trop forte à contenir, Etienne bande. Surpris lui-même par cet inhabituel effet, il courre au fond de la salle de classe en espérant que personne ne le remarque et s’assoit à la dernière table contre le mur. Gêné et rougissant, il se parle à lui-même pour se faire débander : « Non ! Non ! Pas maintenant ! » Hélas, il n’y a rien à faire contre. Ce sont les aléas de la nature, le corps humain n’est pas une machine qu’on peut toujours contrôler !
Le cours a commencé et Etienne bande toujours. La pression est trop forte et c’est à croire que son sang est descendu jusqu’à sa bite. Il regarde sa prof, essaye de se concentrer sur le cours mais il n’y arrive pas. Tantôt ses yeux se fixent naturellement sur sa poitrine tombante, tantôt sur son fessier flasque. Ses jambes ne sont pas plus attirantes avec ses vergetures prononcées. Etienne n’a que faire d’une poitrine de vieille, il n’arrête pas de penser à ce « bonjour ». Il ferme soudain les yeux et s’imagine étreignant sauvagement la donzelle. C’est flou, mais suffisant pour qu’il bande encore. Il commence à suer du front et a la vague impression de tomber dans les vapes. En réalité, il n’a fermé les yeux que quelques secondes, mais cela suffit pour que de nouvelles images perverses apparaissent clairement devant lui. Il l’imagine vêtue de cuir avec une cravache et des porte-jarretelles… Il lui donne une silhouette de star du porno, ce qui continue de le faire bander, hélas.Voilà 5 minutes que le cours a commencé. Etienne se dit qu’il doit prendre une décision : Assouvir ses pulsions pour en finir au plus vite ou bien demeurer dans cette gêne, sachant que cela peut durer encore longtemps. Osera-t-il, N’osera-t-il pas ? Faire cela en plein cours ! Non ce n’est pas raisonnable. Mais est-ce bien raisonnable de bander comme ça ? C’est pourtant un appel de mère nature. Elle te dit « branle-toi ! Tu en as besoin ! Cède au plaisir naturel ! »
- « Non, je ne peux pas faire ça. Mais j’en ai vraiment trop envie, ça me démange. Et ce chybre qui ne cesse de bander. Je ne t’ai rien demandé à toi. Bordel ! Fallait que ça arrive à moi et maintenant ! » Etienne prend alors son courage à deux mains (Aha !). Il continue de suer, la tentation étant trop forte. Il regarde autour de lui, à gauche, à droite, devant. La prof le regarde et il pense : « Chienne, c’est de ta faute si tu m’excites comme ça ! Alpagueuse ! Quelle idée de mettre un décolleté plongeant et une jupe si courte ! Salope, tu vas voir ce que tu vas voir ! » Discrètement, il met alors sa main (droite) dans son pantalon. Celle-ci cherchant le caleçon et parvint sans difficulté à atteindre sa queue. L’avoir dans sa main le soulage déjà grandement. « Comme elle est dure ! » Pense-t-il. « Je n’ai jamais autant bandé ! » C’est alors qu’une fois sa main posée sur sa bite, il se mit à se branler tout doucement, de peur que quelqu’un le remarque. Cela lui fit un bien fou. Il réfléchit à la dernière fois qu’il avait pu se faire une fille, jamais. Il s’était toujours branlé et demeurait puceau. Cette sensation, il la connaissait par coeur. Rien de plus agréable que de sentir le plaisir monter en soi. Pourquoi devrais-je en avoir honte pense-t-il alors. Il commence par des mouvements plutôt lents, histoire de pouvoir faire durer le plaisir, aussi, par la même occasion, éviter de faire trop de bruit. Quelle horreur, que dis-je quel dégoût serait-ce que d’entendre des gémissements d’un adolescent pervers qui ne sont en aucun cas indispensables en un lieu si peu approprié. Plus il se manualise, plus le plaisir monte, il monte tellement d’ailleurs qu’il finit par en oublier où il se trouve. Et là, c’est le drame. Il pousse un léger gémissement, cela suffit pour se faire entendre. La chère prof de mathématique cesse de parler, elle ne regarde puis lui demande : « Monsieur, je rêve où vous êtes entrain de vous faire plaisir en plein cours ? » Rouge de honte, Etienne range son engin rapidement, mais c’est trop tard alors il jouit dans son caleçon. Sa semence l’envahit et se déverse à flot, laissant le jeune homme dans son foutre, et sa honte. Il a été surpris en pleine action, désormais, il ne plus rien faire pour nier les faits. Des ricanements se font entendre : « Ah le porc ! » « Sale pervers ! » « Bouh ! Le branleur ! ». Néanmoins, la prof présentant un minimum d’humanité même dans les situations les plus humiliantes l’invite alors à aller prendre l’air. Etienne sortit et ne revint jamais. Il n’en croit toujours pas, comment a-t-il pu bander sur un pareil spécimen ? Elle est moche, vieille et flétrie, les seins tombants et flasques…. Quelle abomination un être qui a si mal vieilli !La fin de l’histoire dit qu’il est allé se pendre dans les toilettes cradingues de son lycée avec sa ceinture. On dit qu’il avait la langue pendante et que son caleçon était plein de foutre et d’excréments. Quelle fin tragique pour un simple branleur qui ne voulait que « se taper une queue ».
Ouuuh ça va vite devenir immonde par ici..
Tu ne publieras jamais ça.
Dieu que c'est mauvais. Sans faire de mauvais esprit, c'est vraiment très très mauvais.
Je préfère ne pas lire et je prendrais l'avis d'Aliocha.
Je lui ai conseillé d'ouvrir un blog sur Nofrag, elle ne veut pas.
Je préfère ne pas lire et je prendrais l'avis d'Aliocha.
Nan tu devrais te faire ton propre avis je pense, c'est trop introspectif pour être jugé à l'emporte-pièce par le premier venu.
Bon allez, je te quote le meilleur passage pour te faire une idée : "... il aperçoit la prof, elle lui fait un grand sourire et lui dit « Bonjour… »"
Je lui ai conseillé d'ouvrir un blog sur Nofrag, elle ne veut pas.
Pourtant elle a le niveau.
Pages Précédent 1 … 7 8 9 10 11 12 Suivant
Vous devez vous connecter ou vous inscrire pour pouvoir répondre
Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Minizilcon Paris - 26/02.
Propulsé par PunBB, supporté par Informer Technologies, Inc.
Généré en 0,075 secondes, 79 requêtes exécutées