Re : Minizilcon Paris - 26/02.
Nan je veux pas.
Vous allez me faire du mal.
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Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Minizilcon Paris - 26/02.
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Nan je veux pas.
Vous allez me faire du mal.
En plus j'ai ouï dire que le ts excellent était régulièrement souillé par la présence de Soja
OUAIP JUSQUE SU'LE TS
BFBC2, c'est bien le jeu dont la bêta se résumait à "une mer à gauche, des montagnes à droites, un fps couloir amélioré avec un feeling moyen ?"
Sinon, cette nouvelle est bizarre, on dirait un conte pour enfant avec de la branlette au milieu.
En plus j'ai ouï dire que le ts excellent était régulièrement souillé par la présence de Soja
OUAIP JUSQUE SU'LE TS
Autant sur l'asile on a plus la possibilité de masquer ses posts, autant sur Mumble il nous reste la liberté d'utiliser la fonction "Mute".
dans DEUX SEMAINES
Je vous insulte sur mumble et vous tk au respawn.
VOUS ETES IMPATIENTS HEIN?
"C'est l'histoire d'un mec..."
J'ai arrêté de lire après ça.
dans DEUX SEMAINES
Je vous insulte sur mumble et vous tk au respawn.
VOUS ETES IMPATIENTS HEIN?
\o/
Ah ouais, la petite nouvelle de sacamerde est terrible.
Encore.
Ah ouais, la petite nouvelle de sacamerde est terrible.
Encore.
Wtf?
C'est toi ça Sacamouille ?
Sinon en lisant en diagonnale j'ai pensé à un truc comme ça sans le côté crade assumé :
Texte édité en 89, 20 pages (A6 ?) photocopiées. Si à juste titre vous avez été déçu par le très inverti "Grand-père" de notre héros Jean-Louis Costes, gageons que ce court texte saura vous mettre en appétit. En espérant qu'une sombre histoire de droits de copie ou d'atteinte à l'ordre moral (voyons ce que notre président-e nous réserve à ce sujet) ne vienne assombrir le tableau, déjà passablement brun.
(Il y a quelques fautes de frappe)J'étais en ce temps-là élève au lycée de D..., je finissais péniblement ma scolarité dans une classe de terminale et cette fin d'études allait se concrétiser avec le baccalauréat que j'avais à passer dans quelques mois.
Depuis plusieurs jours déjà, je croisais des regards lascifs avec une jeune fille aux cheveux noirs que j'avais baptisée : la grecque. Elle avait dans le regard une expression si profonde que j'étais tombé immédiatement amoureux d elle. Un matin, alors que je m apprêtais à monter en cours par l'escalier habituel, j' aperçus ma petite grecque qui descendait le même escalier. Je me dirigeai vers elle et j'escaladai lentement les marches. Nous nous regardions fixement. Le fait qu'une soixantaine d'élèves montaient les escaliers en même temps que moi me donna confiance. Je pourrai, me disais-je, profiter de la cohue pour poser mes jalons. Le regard langoureux qu'elle me lançait faisait frissonner gentiment ma pine. J'avançais, poitrine en avant. Je me sentais splendide, irrésistible. J'arrivai bientôt à sa hauteur et je levai le bras vers son visage afin de lui passer ma main sur la pommette. Mais le geste que j'accomplis fut si maladroit que, tout en prenant conscience de 1'aberration du contact entre ma grosse patte moite et collante et la peau délicate de la jeune fille, je m’apercevais que je venais de lui enfoncer le pouce dans l'oeil gauche. Elle poussa un cri aigu et son visage prit l'expression du mépris profond. Tout le monde s’était retourné vers moi. Ma main était restée à la hauteur du visage de la grecque. Un rire général éclatait. L’humiliation que je ressentais avait atteint les limites de 1’insupportable. J étais tellement grotesque... Je regardais ma main ! cette grosse main moite était bien la mienne, j'en étais conscient à un tel point qu'elle me parut étrangère ! brutalement. Je fus pris d une panique extrême, je m’enfuis. Il me semblait que je résidais entièrement dans mon membre supérieur droit. Je courais dans le couloir. Je me sentais très lourd. Ma course me parut très lourde. Je me dirigeai vers les chiottes et je m'y enfermai. J'avais complètement perdu le contrôle de moi-même ; je sentais qu'un dédoublement s'effectuait en moi. Je n'agenouillai sur le carrelage en appuyant 1e front sur le mur. J’entendais déjà des pas à la porte et des chuchotements. Je fermai les yeux et je pétai longuement sans bien m'en rendre compte...
Le pet que je venais de produire avait été très bruyant et il ne se pouvait pas que les gens derrière la porte n'aient rien entendu. Un silence eut lieu. Il me semblait que le sol basculait sous moi. Je sentis des picotements de sueur à la racine des cheveux. J'eus la nette impression que je m'étais séparé de moi-même. Je me rapprochai de la cuvette du W.C et j'y appuyai le menton. Je me rappelai que cette chiotte était utilisée uniquement par les filles. Je léchai longuement et sur toute leur superficie les bords blancs et émaillés de la cuvette car je savais qu'un cul féminin s'était posé là. C'est alors que j'aperçus, au fond, une magnifique crotte. Je la contemplais plusieurs secondes. J'engouffrai mes deux mains dans la cuve d'émail et saisit la crotte ; elle était lourde, lisse et parfaitement moulée. Mes mains maintenant la contenaient. Je la soupesai. Je la rapprochai de mon nez .pour la sentir. Je passai la main droite sur la crotte comme si c’était le visage de ma petite grecque. Dire que cette crotte avait glissé dans un anus féminin et ce trésor je le contenais, il était bien à moi. Mon corps se mit soudainement à trembler. Je sentis comme un frissonnement dans le sexe. J'ouvris ma braguette et je sortis ma pine et elle se leva : je bandais ; jamais sans doute je n avais bandé aussi fort ; jamais sans doute mon sentiment de culpabilité n'avait été aussi lourd. Je saisis ma pine de la main gauche et la branlai rageusement. Je regardais fixement la crotte et je sentais monter une jouissance amère. Je pressai sur la crotte et l'écrasai dans la main, la merde remontait et passait entre les doigts. Je bourrai tout dans ma bouche. Je mâchais cette merde aussi furieusement que je me branlais. J'essayai d’en avaler une partie mais le bren me collait à la gorge. J'eus brutalement une atroce nausée. J'éprouvai un dégoût violent. L'envie de vomir m’envahissait. II fallait absolument que je dégueule cette boue fade. Je crachai du fond de 1'arrière-gorge. Des filets de bave s' allongeaient depuis ma lèvre inférieure jusqu'au sol. Je heurtai le mur, du front, avec violence et le mur résonnait dans mon crâne. Je m'enfonçai la main entière dans le fond de la gorge. Le vomi fusa convulsivement. Le premier jet fut vert et alla s'éclater sur le mur. Le dégueulis partait en même temps par le nez et la bouche. La douleur était insoutenable et se concentrait, par crampes, dans les yeux. Mes paupières étaient fermées. Je cueillis au hasard le dégueulis dans le creux de la main droite et je m'en barbouillai le visage. Je récupérai quelques caillots de merde que je roulai avec le bout des doigts ; je les vissai dans le fond des oreilles. J'éjaculai dans 1'autre creux de ma main par longues saccades. J'ouvrai la bouche de plaisir. Ma tête tomba vers l'arrière. Je portai la main à la bouche et bus mon sperme dans une aspiration religieuse et convulsive...
C'est toi ça Sacamouille ?
C'est toi ça Sacamouille ?
C'est toi ça Sacamouille ?
Non ce n'est pas moi, je suis souriante dans la vraie vie.
Haha Burzum.
Pour 26€.
c'est meilleur que les bouses dee la phat bobo maia
Ah oui, j'avais oublié de parler de ce détail.
"Mi casa es su casa". C'est pas juste une expression à mon sens, je suis comme ça moi.
Tu veux dire que t'es pas chez toi, c'est ça ?
"Mi casa es su casa". C'est pas juste une expression à mon sens, je suis comme ça moi.
On attend encore le double des clefs.
l'espagnol ça date un peu pour moi mais, il me semble que l'expression c'est "mi cas es tu casa". "Su casa" ça donne "sa maison". Non ?
l'espagnol ça date un peu pour moi mais, il me semble que l'expression c'est "mi cas es tu casa". "Su casa" ça donne "sa maison". Non ?
Dans un cas c'est formel, dans l'autre c'est informel. Les deux sont corrects.
Kefka a écrit:Ah ouais, la petite nouvelle de sacamerde est terrible.
Encore.Wtf?
Ouais, d'un coté je m'emmerde a fond et j'evite le travail alors je voudrais bien lire plus de pavé humiliant, de l'autre coté, j'ai envie qu'elle creve la gueule ouverte parce que c'est une attention whore particulierement laide.
Sinon tu peux reposter des pics de meufs tatoués et percés a poil, ca m'occuperais de maniere plus constructive.
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Le Vrai Asile » Ma vie de Cancrelat » Minizilcon Paris - 26/02.
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