Déplacé

Il faut être le denier des non avertis de région pour ne voir dans l'œuvre de l'artiste accompli qu'est aliocha un simple point. Par la singularité stylistique de sa dernière création, le maître nous incite à réfléchir sur ce qu'est l'écriture, terme maladroit employé ici pour traduire le concept de Schreiben développé par le philologue Franz Bopp.
Mais ce qui ne pourrait être qu'un simple point sous la plume du premier quidam venu prend ici une ampleur magistrale, une musicalité inédite (l'allusion à la tétralogie wagnérienne devenant alors explicite). Mais paradoxalement, le grand auteur conserve, avec la subtilité qui le caractérise, la nuance de dépouillement intrinsèque à l'objet de point. Ce point est point il n'est que point mais pas plus que point. Ce n'est pas le point à la ligne qui attend une suite, pas même un point final, car une fin sous-tend un commencement qui n'existe pas dans l'œuvre. C'est le photon d'Einstein, dont la réalité ne peut être appréhendée par nos esprits si quadridimensionels, mais qui est la base de tout.
Car ce point est le tout qui n'est fait de rien. Comment ne pas y voir là la critique de la société qui environne et pollue l'auteur, vacuité géante que le grand homme par son génie réussit si bien résumer à ce seul symbole typographique ? La postérité ne pourra pas rendre justice au grandissime artiste dont nous avons la chance de contempler chaque jour la création.

Ah ben ouais cest bien un vrai bidou.

Nevermind

edit : PUTE ..SALOPE  ..OH OUI ETRE ANONYME HM  JAI LA TEUB EN TOUR EIFFEL

PUTE CIRCONCISION

[size=87]PUTE EN BOIS §§ PUTE EN BOIS §§ PUTE EN BOIS §§ PUTE EN BOIS §§[/size]