Napalm a écrit:Ce n'est pas totalement faux. Les grandes crues ou sècheresses se sont déjà produites par "périodes". Mais il y a aussi d'autres facteurs, je ne pense pas que les glaciers des pôles avaient déjà fondus auparavant par exemple.
Dans les périodes climatiques les plus chaudes, les glaciers disparaissent, dans les plus froides ils recouvrent un bonne partie de l'Europe.
Pour les questions de variations climatique, il y a un paquet de facteurs, qui entrent en jeu.
Les variations de l'ensoleillement en son un des principal et permettent de décrire les variations les plus générales:
Après un tas de facteurs secondaires amplifient ou atténuent ces grandes variations.
par exemple la fonte des glaciers fait augmenter la température par la diminution de l'albédo des régions concernées.
On peut ajouter l'activité volcanique, l'érosion des montagnes, le dégazage des océans (si leur température augmente) ou encore ça pour les variations des gaz à effet de serre.
Noyé dans tout ces facteurs, la questions est de savoir quel est l'impact réel de nos propres émissions de gaz à effet de serre n'est pas si évidente.
Je suis persuadé que l'on a un influence, mais est elle si importante? On est à la fois à la fin d'une période de réchauffement globale et d'une mini période glacière (moyen âge toussa)...
(le prochain refroidissement commence dans 50 000ans)
Dans tous les cas, le réchauffent c'est un changement, pas une catastrophe.
On va perdre plein d'espèces, d'autres s'acclimateront. Mais bon au Jurassique il faisait beaucoup plus chaud que actuellement et on y vivait très bien.
Je précise aussi que le réchauffement n'est pas homogène, pour 1 degré gagné à l'équateur on en gagneras beaucoup plus aux pôles.
A nous les nouvelles terres à coloniser §§§ Achetez toute suite votre exploitation agricole en Sibérie.
En conclusion est cons de pas limiter la population à moins de 1 milliard d'habitants.
Comme ça plus de problèmes à la con.