Re : Comment on va faire ???
Ouais.
Rapidshare on trouve plus de trucs inconnu que sur la mule maintenant. C'est les résultats du rapport olivennes avant le rapport olivennes
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Ouais.
Rapidshare on trouve plus de trucs inconnu que sur la mule maintenant. C'est les résultats du rapport olivennes avant le rapport olivennes
Je sais pas ce qui est le pire, le combat de juriste "ahah, j'invoque l'article 73-2 alinéa 5 et je pose un carte de loi face cachée"-"oui, mais moi je lance l'article 12-3 alinéa 3 et je te troue "-"JE T'AI EU C'ETAIT UN ARTICLE DE LOI PIEGE ABROGE IL Y'A TROIS JOURS LOLOMGWTFBBQ"-"NOOONNN" ou le combat de pitbull à la Imax/michou.
Ants j'ai testé, c'est pas terrible, ou j'ai pas compris... FREENET les mecs ! Viendez avec moi et les terroristes et les pédophiles !
Ouiiiii, j'ai toujours révé d'être terroriste en plus.
Et sinon je reprend ma question : soulseek c'est un peu différent comme fonctionnement, vous pensez qu'ils peuvent s'emerder a le surveiller ?
Pour moi cela reste le top.
Sinon, il reste mIRC et les DCC-Get automatiques.
Ils vont pas se gêner à le surveiller, surtout que c'est encore plus simple de repérer qui partage quoi. Je sais pas comment on fait pour récupérer l'IP de quelqu'un sur Soulseek par contre mais ça ne doit pas être difficile...
Ya déjà eu des utilisateurs de soulseek pécho.
Soulseek c'est semi centralisé. Pas comme Kazaa mais presque.
Si c'est pas l'hécatombe sur ce réseau c'est juste qu'il est devenu mourrant ou utilisé par des fans qui ont leurs adresses.
Emule à coté c'est peut etre plus chiant a traquer mais au moins y'a du monde.
On pourrait telecharger le tout avec nos cellulaires !
Pire que les belges ces canadiens.
Oui enfin ça m'est déja arrivé...Dans une moindre mesure quand même.
Railt a écrit:Sinon, j'ai donné aussi des arguments qui allaient dans ton sens.
Scandale! On est dans un débat doctrinal, bordel! Mauvaise foi et sous-entendus plus ou moins appuyés sur la compétence du discutant sont de rigueur.
Bon, j'avoue ne pas avoir voulu inonder ce forum de notre querelle plus idéologique (surtout de ton point de vue) que doctrinale. J'ai simplement repris les points qui t'étaient favorables avant de les balayer afin d'éviter que tu puisses mettre en avant des idées très secondaires en fin de débat. Ni toi ni moi n'aurions été dupe de ce procédé, mais les lecteurs non avertis (je doute qu'ils lisent encore à ce stade, mais sait-on jamais ) auraient pris pour argent comptant de piètres arguments sous prétexte qu'ils soient avancés les derniers, et qu'ils mettent en avant de nouvelles perspectives.
Sinon, je vois des arguments de défense plus consistants pour le cas d'un téléchargeur compulsif. Vu qu'on lui reprochera une contrefaçon, dénier au film pornographique la qualification d'oeuvre de l'esprit en s'appuyant sur l'absence d'originalité des oeuvres téléchargées, par exemple. Se battre sur l'évaluation du préjudice subi, aussi.
Oeuvre de chair, oeuvre de l'esprit ? C'est ma question de départ. Par contre, sur l'évaluation, il s'agirait d'un subsidiaire, ne pouvant amener qu'à une semi-victoire.
Pas d'accord, là encore. Tu me parles d'illicéité de l'objet et de la cause du contrat, et tu considères que la licéité de l'activité (puisque organisée par la loi) n'est pas un argument pertinent?
Tu oublies que j'ai mis l'accent sur les libertés fondamentales de l'individu, et que dans ce cadre notre pauvre petit système normatif et ses arrangements peuvent s'effacer. Je parle d'illicéité de la cause, parce qu'il s'agit là du premier grand principe contractuel (juges et manges merde d'avocat l'oublient souvent) qui permet de faire annuler une convention, et que c'est dans cette faille de la liberté contractuelle que peut se glisser le pied de biche de moult arguties juridiques.
Il ne me semble pas que tu apportes de nouveaux éléments qui mettent à mal ma démonstration.
Et pendant ce temps-là au Groland...
Omemo : un nouveau réseau P2P sécurisé
Par Guillaume Champeau, Ratiatum.com, licence CC
Après deux années de relative accalmie dans l'édition de solutions peer-to-peer, l'année 2008 signera-t-elle l'arrivée de nouveaux réseaux P2P populaires ? L'espagnol Pablo Soto, qui est à l'origine de l'excellent Blubster, officialise la sortie d'Omemo, un réseau P2P d'un nouveau genre avec une promesse supplémentaire : l'anonymat.
Et si tous nos disques durs n'en formaient plus qu'un seul ? Omemo est dans les tuyaux depuis près d'un an. Son créateur espagnol Pablo Soto est connu de longue date des amateurs de logiciels de P2P. C'est lui qui a créé le protocole MP2P (Manolito P2P) à l'origine de certains des logiciels d'échange de fichiers musicaux les plus populaires : Blubster, Piolet, Rockitnet. Mais depuis qu'eMule et BitTorrent se sont imposés comme les références du peer-to-peer, Soto est resté très discret. Mais pas inactif. Il préparait en coulisse ce qui sera peut-être bientôt une révolution dans le paysage des protocoles d'échange de fichiers, et un nouveau cauchemar pour les maisons de disques et les studios de cinéma. Omemo, qui vient d'être lancé officiellement (pour Windows et sous licence GPL), reprend les recettes de Freenet et les rend accessibles au grand public.
Via une interface léchée, Omemo met anonymement en commun l'espace disponible sur les disques durs des utilisateurs pour créer un gigantesque espace de stockage commun, de taille illimitée, que la communauté organise avec les recettes d'un Wikipedia.
Sur Omemo, tous les contenus multimédias (musique, films, logiciels, documents, images...) partagés par l'ensemble des utilisateurs sont ainsi accessibles directement, comme avec n'importe quel réseau P2P, mais en plus parfaitement classés dans des dossiers comme sur un disque dur bien rangé. Les utilisateurs participent collectivement à l'organisation des contenus qu'ils envoient, à la manière d'un wiki. Vous pouvez ajouter un dossier ou même en supprimer un (en expliquant pourquoi), et télécharger les fichiers que vous souhaitez y glisser. Les contenus ainsi uploadés sont ensuite classés ou écartés en fonction des votes des utilisateurs, qui s'assurent que les contenus sont bien pertinents et de qualité - on regrette tout de même l'absence de tags et de métadonnées. Si la sauce entre la technologie et le classement organique prend, Omemo pourrait devenir le plus grand disque dur virtuel du monde, dans lequel il sera facile de trouver n'importe quel contenu.
Avantage supplémentaire, Pablo Soto promet l'anonymat à l'ensemble des utilisateurs d'Omemo. Le réseau est structuré de telle manière qu'il est très difficile de retracer qui a envoyé un fichier sur le réseau et qui l'a téléchargé. Ces techniques de camouflage sont de mieux en mieux maîtrisées et les conclusions de l'accord Olivennes en France (qui souhaite couper l'accès à Internet des abonnés dont la ligne est utilisée pour télécharger) devraient précipiter leur adoption.
Des téléchargements lents... pour le moment
Concrètement, lors de l'installation d'Omeno, l'utilisateur doit d'abord choisir le pourcentage d'espace libre sur ses disques durs qu'il souhaite consacrer au disque commun (le disque "O:\"). Cet espace recevra alors sa quote-part de fichiers cryptés, sans jamais que l'utilisateur sache ce qu'il héberge. Et contrairement à Freenet, les risques d'héberger des fichiers pédophiles ou criminels sont quasiment nuls puisque les fichiers sont tous publics. Un fichier répréhensible sera vite dénoncé et écarté par la communauté.
Omeno est donc, sur le papier, un projet très prometteur. En pratique, la grande lenteur des téléchargements (due à la bande passante consommée pour garantir l'anonymat) risque de décourager un grand nombre d'utilisateurs. Mais pour combien d'années ? La vitesse des réseaux augmente constamment et sera telle qu'un jour, il sera peut-être possible d'utiliser un tel disque dur virtuel sans même avoir à télécharger les contenus.
Nan mais si la communauté peut censurer des fichiers c'est naze, c'est du Freenet light
Nan mais si la communauté peut censurer des fichiers c'est naze, c'est du Freenet light
Non. A partir du moment où chaque modification est controlée, on se retrouve sur un système de type Wiki. Et ca marche.
Tu vois beaucoup de photos de cul, sur wikipedia ?Même sur les articles sur le cul, il y a des estampes japonaises.
Non mais quand le gars parle d'un fonctionnement a la wiki c'est juste pour un systéme d'anti-fake, c'est pas pour rendre le truc tout public comme le vrai wiki.
Tu vois beaucoup de photos de cul, sur wikipedia ?Même sur les articles sur le cul, il y a des estampes japonaises.
On se réveil: si c'est géré par la communauté, il y aura du cul et du warez.
Et qui te dit que des gens supprimeront pas systématiquement ce genre de trucs, puisque justement c'est modifiable par n'importe qui ?
"Vous pouvez ajouter un dossier ou même en supprimer un (en expliquant pourquoi)"
Si on nous demande une explication, c'est que c'est vérifié.
Et qui te dit que des gens supprimeront pas systématiquement ce genre de trucs, puisque justement c'est modifiable par n'importe qui ?
Je pense plutot à une suppression des fichiers audio et vidéo par les détenteurs des droits. Ca doit pas s'appliquer au cul uniquement. Films récents, albums audio, etc...
Mouais, plutôt que d"un meilleur P2P, je rêve d'une "mémoire" artistique, et plus particulièrement musicale. Un truc où tu puisses downloader un morceau introuvable, le genre ultra-confidentiel ou échec commercial, article qui n'est plus vendu, plus édité.
Sinon, j'avais déposé un concept de réseau communautaire de partage de fichiers par pigeons porteurs de disque dur.
Et heu... Les prototypes n'ont pas donné les résultats attendus.
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