Dans les trucs débiles, il y a les neutral stalkers qui s'installent à la place du commando Duty, devant chez Freedom, et qui vont se taper un trajet au village de bloodsuckers.
Il y a une grosse anomalie électrique sur le chemin. Le premier meurt comme un con. Le deuxième sort son arme et se met à flipper (forcément, le script dit que son pote vient de mourir, mais le responsable n'existe pas) en se déplaçant en plein milieu de l'anomalie et en crevant aussi. Généralement, le troisième a une chance de s'en sortir en courant autour et en ne marchant qu'une ou deux fois dedans.
Idem pour les gars qui meurent à cause d'un feu dans un tonneau. Déjà ca c'est con, mais tous les guignols autour qui sortent leur flingue et se balladent partout en cherchant la source du danger, c'est bof.
Il n'empêche qu'il reste très immersif comme jeu, que l'ambiance est unique (longer une zone radioactive et finir par la visualiser uniquement à l'oreille avec le compteur Geiger, c'est étonnant). Dans certains jeux où le personnage transporte 3 à 400 kilos de matériel tout en courant et en sautant partout, le gameplay est privilégié, mais bof le réalisme et l'immersion.
Dans d'autres, la gestion des éléments pas importants devient chiante et casse le jeu lui même. Dans Stalker, j'ai trouvé ça équilibré. C'est sûrement pour ca que j'ai passé des plombes à me ballader, à flinguer des chiens, à chercher des planques et à faire des missions secondaires (juste pour le plaisir, car de toutes facons, on peut avoir du fric infini donc des armes et armures infinies).
se parti de couilles molles, le PS