Re : Les trucs qu'on se foutrait volontiers dans le cul
Je ne sais pas mais tu pourrais peut être te faire bouffer le cul par un mexicain et faire un heureux
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Je ne sais pas mais tu pourrais peut être te faire bouffer le cul par un mexicain et faire un heureux
Je ne sais pas mais tu pourrais peut être te faire bouffer le cul par un mexicain et faire un heureux
Rendre service. Un sacerdoce de l'azil
Le sud.
Le truc à gauche, évidemment.
Bon et l'article aussi tant qu'à faire, rapport au contenu assez rectal.
Il a compris que l'écologie c'était bien une idée de droite. Un idée de gens qui galèrent pas pour sortir la tête de l'eau.
Essayer d'arrêter la surconsommation c'est pas très très à droite.
Essayer d'arrêter la surconsommation c'est pas très très à droite.
Je te le concède. Du coup je doute de leur positionnement
Si les pauvres sont encore plus pauvres, ils consomment encore moins et donc décroissance.
Ça c'est un mythe. Les pauvres achètent des tonnes de cochonneries pour se sentir plus riche. Ça consomme énormément de merde, le plus souvent en plastique, qui finissent rapidement à la poubelle puis dans les océans. Salauds de pauvres !
Le pire c'est que le type s'appelle Ferréol
Le pauvre peut-il servir de bio-carburant?
Essayer d'arrêter la surconsommation c'est pas très très à droite.
Alors laisse moi te parler d'eelv et sa meilleure representante, barbara pompili...
Ça c'est un mythe. Les pauvres achètent des tonnes de cochonneries pour se sentir plus riche. Ça consomme énormément de merde, le plus souvent en plastique, qui finissent rapidement à la poubelle puis dans les océans. Salauds de pauvres !
Enculés!
Le pauvre peut-il servir de bio-carburant?
Soleil vert revival
Ça c'est un mythe. Les pauvres achètent des tonnes de cochonneries pour se sentir plus riche. Ça consomme énormément de merde, le plus souvent en plastique, qui finissent rapidement à la poubelle puis dans les océans. Salauds de pauvres !
Encore du troll c'est ça ?
reblochon a écrit:Ça c'est un mythe. Les pauvres achètent des tonnes de cochonneries pour se sentir plus riche. Ça consomme énormément de merde, le plus souvent en plastique, qui finissent rapidement à la poubelle puis dans les océans. Salauds de pauvres !
Encore du troll c'est ça ?
Y a une part de vérité faut croire, car des économistes ont déjà expliqué le truc. Entre autre le succès des dollar store (comme dollorama au Canada) en période de crise économique. Moins tu as de sous, plus tu achètes des cochonneries, dans les meubles et objets utilitaires, mais aussi au niveau alimentaire (le pauvre affectionne les chips et les boissons gazeuses, la junkfood quoi). Ça doit être la double peine avec la sous-éducation plus fréquente chez nos amis de l'exclusion économique.
Je ne sais pas si c'est vrai, mais empiriquement je trouve que cela se tient.
Ok donc tu ne sais pas mais tu affirmes quand même que c'est un mythe. Classique reblochon.
Ok donc tu ne sais pas mais tu affirmes quand même que c'est un mythe. Classique reblochon.
L'etude en question se nomme "y a qu'à voir comment mes beaux parents sans le sous dépensent et gaspillent pour les fetes de fin d année".
Des chiffres ici :
https://www.insee.fr/fr/statistiques/fi … ntiles.xls
Ca date de 2011 certes, mais le mythe semble être une réalité. Allez y'a un seul truc pour lequel les foyers plus modestes semblent dépenser plus que les foyers les plus aisés et c'est le tabac. Tout le reste y'a vraiment pas photo.
Ne négligeons pas les sources !
Ca date de 2011 certes, mais le mythe semble être une réalité. Allez y'a un seul truc pour lequel les foyers plus modestes semblent dépenser plus que les foyers les plus aisés et c'est le tabac. Tout le reste y'a vraiment pas photo.
Je n'ai pas dit « dépense plus », j'ai dit « achète plus de merde » Est-ce qu'il y a la liste précise des achats effectués dans ton xls que je ne peux pas lire ? Est-ce que le pauvre n'achète pas le cuiseur de riz le plus abordable qui va le lâcher dans 18 mois, tandis que le riche prof va s'acheter celui de qualité qu'il va garder pendant 10 ans ? etc. Dire que les pauvres achètent des produits à rabais, fréquentent plus souvent les dollars store, ou les bazars des sous-sol d'église (là où je fais du bénévolat par exemple, donc je vois un peu ce que ça s'achète !), ce n'est pas si débile comme observation.
Exemple
Étudiant, il a vécu à Montréal avec un revenu annuel de 8000$, pendant 3 ans. Pour survivre, il s’est nourri presque exclusivement de produits du magasin Dollorama.
Les pauvres achètent de la merde ! C'est tout ce que je disais. Je n'étais pas entrain d'expliquer qu'ils achetaient plus de cigarette, moins de poulet, plus de bière, moins de vin. Après je prenais exemple ici, quand t'es pauvre (et là faudrait que je retrouve cette étude) tu manges mal, donc en Amérique du Nord c'est chips, boisson gazeuse, pizza et frites congelées.
Les téléphones portables et les téléviseurs à écran plat remplacent depuis peu les chaussures de sport de marque comme figures ultimes des pratiques consommatoires « déraisonnables » voire « incompréhensibles » des ménages à bas revenus
Alors oui ça va s'acheter le cellulaire bas de gamme, le téléviseur au rabais, l'ordi tout pourri qui tiendra un an avant de tomber en panne (putain j'en ai connu des sans le sous dans ce cas qui m'appelaient pour réparer leur bouse), etc. Ils n'achètent pas PLUS de téléviseur que les riches, mais des téléviseurs moisis.
Dans La Distinction, Pierre Bourdieu s’employa à montrer que les membres des classes populaires développent des modes de consommation propres liés à la nécessité, devenue à travers l’habitus « goût de la nécessité ». Ainsi, les choix alimentaires des ouvriers sont liés à la reconstitution de la force de travail, ne craignant ni le gras ni le « lourd », à l’inverse des classes supérieures qui choisissent des aliments sains et légers[
Les pauvres appartenaient bien à la société américaine et leurs désirs de consommation étaient conformes à la moyenne. Cependant, la pauvreté rend difficile l’accès au marché, par manque d’argent mais surtout par manque de compétences en matière de consommation.
Ce qui les poussent à dépenser selon leurs moyens et donc d'acheter des affaires à bas coût.
Les pauvres sont des proies faciles pour les escroqueries en tout genre, monnaie courante du low-income market (le marché des ménages à bas revenus). Harlem est couvert d’une kyrielle de boutiques de produits électroménagers, qui affichent des prix bien supérieurs à ceux des magasins du reste de la ville, mais offrent deux avantages leur garantissant d’être fréquentés par une clientèle peu aisée : d’une part, ils acceptent de faire crédit, avec des montants de remboursement très faibles (par exemple, un dollar par semaine). En échange, les marchands se réservent le droit de vendre des biens de mauvaise qualité à des prix exorbitants.Les pratiques de ces commerçants obéissent parfaitement aux théories du segment chères à Albert Soan. On en mesure pourtant les limites, quand la qualité des produits est si déplorable que la vente s’apparente à du vol. - David Caplovitz, The Poor Pay More, New York, The Free Press
Le point que les pas pauvres n'arrivent souvent pas à comprendre, c'est qu'être pauvre ça coûte cher, parce qu'on n'a pas souvent accès aux produits de qualité qui bien souvent durent plus longtemps. Sur le long terme, ils arrivent à dépenser plus que la classe moyenne pour le même équipement.
Mais sinon, t'es vraiment entrain de me prendre au mot sur le site de raciste et me faire la leçon ?
En 1993, Jean-Noël Kapferer se réjouissait de la multiplication des magasins de hard discount en France : « La distribution française va entrer pour de bon dans l’ère de la segmentation. Ces magasins, qui existent depuis 1988, se différencient des grandes surfaces traditionnelles en ce qu’ils proposent des produits d’entrée de gamme, dont les prix sont abaissés par la réduction des coûts de présentation : les étalages des magasins sont rudimentaires et les produits, n’appartenant pas à des marques connues, n’ont pas à supporter de surcoûts liés au marketing. En rappelant les produits de marque, formes et couleurs des emballages accentuent la proximité avec les produits de moyenne gamme des supermarchés. Ainsi, ces magasins offrent aux ménages modestes une consommation qui ressemble fort à celle des catégories moyennes. Leur essor tendrait à prouver que les pauvres ne possèdent pas de culture de consommation propre, mais partagent celle des classes moyennes, tout en disposant de moyens monétaires inférieurs.
[…]Ceux dont l’absence de travail et la faiblesse des sociabilités (autres que familiales) compromettent la participation à la société peuvent trouver dans la consommation un lien avec le monde extérieur. Les travailleurs sociaux soulignent la difficulté d’existences faites de désirs non satisfaits. « Le pauvre avec une maison, un appartement tout simple, une chaise et quatre table, c’est pas concevable aujourd’hui ! […]Le pauvre, il est aussi dans un système de consommation et on lui demande d’être dans un système de consommation.
Une fois de plus, les pauvres achètent des produits au rabais. La perceuse sans fil noname qui va lui péter dans les mains après 6 mois, tandis qu'une Dewalt aurait tenu 3 ans. Pour faire souvent de la réno chez des gens pas très fortunés, quand ils me sortent leurs outils, je peux te dire que la moitié est bon pour la poubelle. De là à comprendre pourquoi ils n'arrivaient pas à bricoler eux-mêmes, je ne vois pas comment ils auraient pu faire mieux avec ça. Alors ça sort le duck tape et ça raffistole comme ça peu. Fallout4 en vrai. Etc. Les pauvres ça achète souvent des produits de merde (je vais le répéter souvent, pas de panique)
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